Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

jeudi 27 janvier 2022

Les chrétiens et la vaccination (Covid)

 


Il y a un malaise. L’Église de Jésus-Christ est confrontée à une politique, surtout sanitaire, toujours plus invasive. Dans son désir de tout soumettre à ses règles incohérentes, l’État est en train de créer une société dystopique. Quoi que l’on puisse dire, cela touche les chrétiens et les églises et cela crée une division qui ne dit pas, encore, son nom.

·         L’État nous prescrit ce que nous devons porter en nous réunissant pour adorer Dieu.

·         L’État veut nous forcer à nous méfier de nos prochains en les voyant d’abord comme des personnes qui risquent de nous infecter avec une maladie qu’il prétend être extrêmement dangereuse et contre laquelle il a interdit l’usage des traitements pourtant efficaces.

·         L’État nous « encourage » très fortement à nous faire injecter des produits inconnus qui sont toujours en phase de test.

·         L’État instaure la discrimination entre les gens sur la base d’un pass sanitaire dont les noms et les contours changent régulièrement.

·         L’État abolit les libertés sur le fondement d’une vérité non avérée, mais qui est la seule à avoir droit d’être répétée inlassablement dans les média.

·         L’État crée une identité numérique par QR code qui se mue peu à peu en un système qui exclut ceux qui ne veulent pas s’y soumettre de la vie culturelle, sportive, sociale, etc. et qui commence à ressembler étonnamment à la marque de la Bête annoncée en Apocalypse.

La plupart des églises et des structures cultuelles adoptent les règles imposées par l’État sans coup férir et sans critique aucune. Ceux et celles qui pensent voir plus clair et osent critiquer ces mesures se trouvent marginalisés et, peut-être bientôt, exclus des cultes. Par-ci, par-là, ce système se met déjà en place.

La clé de voûte de ce système est la vaccination en voie de devenir obligatoire. Est-elle sans conséquence pour le chrétien ? Autrement dit, est-ce un non-problème pour l’Église ? « Tant que l’on ne touche pas à la liberté de culte », il n’y a pas raison de s’inquiéter ? Pour rappel, Hitler n’a jamais touché à la liberté de culte. Il n’y avait donc aucune raison pour les églises et les chrétiens de ce temps d’entrer en résistance contre l’Etat ? Poser la question est déjà y répondre. [1]

Il est un besoin impérieux de se poser et de poser des questions difficiles et, pour le dire dans les vieilles paroles de la Loi de Moïse, de « veiller attentivement » à son âme, à ses choix, à ses comportements et à leurs conséquences.

 

Les vaccins Covid et l’infanticide

Tous les vaccins actuellement utilisés se servent de l’infanticide dans les différentes phases de leur développement. La liste est disponible ici et ici. Souvent, on parle de l’usage de l’avortement, mais cela n’est pas adéquat. Le processus d’obtention des lignées cellulaires fœtales (comme HEK 293 [2]) nécessite bien un infanticide. Voici deux citations d’un article sur la question :

Le professeur Gonzalo Herranz Rodrígue a enseigné l’histologie et l’embryologie ainsi que l’éthique médicale à l’université de Navarre (Espagne). Il en a été le vice-chancelier (1974-1978) et doyen de la faculté de médecine (1978-1981). Il était sans aucun doute une sommité dans le domaine du développement prénatal de l’homme. Il a également été vice-président de la Commission d’éthique du Comité permanent des médecins européens (1986-1988). Voici son témoignage : « Ni les embryons provenant d’avortements spontanés, ni ceux provenant d’avortements par voie vaginale ne peuvent être utilisés pour la collecte de cellules embryonnaires. Dans les deux cas, l’embryon est contaminé par des micro-organismes. La bonne approche consiste à pratiquer une césarienne ou à retirer l’utérus. Ce sont les seules manières de garantir la stérilité bactériologique. En tout état de cause, pour obtenir des cellules embryonnaires, il faut procéder à un avortement programmé, en choisissant l’âge de l’embryon et en le disséquant vivant pour prélever des tissus destinés à être introduits dans des milieux de culture. »vii

Le pathologiste et microbiologiste italien, Pietro Croce, aujourd’hui décédé, fait également partie de ceux qui n’ont pas hésité à révéler publiquement ce qu’ils savaient. Dans son livre « Vivisection or Science ? », paru en 1988, il écrit : « Il existe des cliniques spécialisées dans l’avortement. Les femmes qui s’y rendent sont persuadées par des discours habiles qu’elles doivent prolonger leur grossesse le plus longtemps possible (plus le fœtus est développé, plus le prix qu’on en obtiendra sera élevé.) Au moment convenu, le fœtus est retiré par césarienne. Comme dans beaucoup de cas, cela se produit à la 28ème semaine (entre 6 et 7 mois), on ne peut plus parler de fœtus, mais d’un enfant qui crie et qui bouge. »viii

Cette réalité est atroce. On avorte un enfant qui doit rester vivant et qu’on découpe ensuite vivant et sans anesthésie (pour ne pas endommager les cellules dont on a besoin). L’équivalent biblique le plus proche est le sacrifice d’enfants vivants, immolés par le feu au dieu Moloch mentionné dans l’Ancien Testament. On peut penser à Lévitique 18.21 et à 2Rois 23.10. La Bible en parle comme d’une abomination, 2Chroniques 23.8 : « Il [le roi Ahaz] offrit des parfums dans la vallée de Ben-Hinnom et fit brûler ses propres fils pour les offrir en sacrifice aux idoles, commettant ainsi la même abomination que les nations païennes que l’Eternel avait dépossédées en faveur des Israélites. »

Tout ceci est tellement atroce que l’on peut comprendre cette remarque du Dr Cambrelin dans l’article reproduit par le CPDH, « Vaccins contre la Covid-19 : Un-questionnement-éthique-pour-le-chrétien ». Il écrit : « Les avortements en question n’ont pas été provoqués pour les besoins de la science : il s’agissait d’IVG demandés par la mère pour ses raisons personnelles. » Comme source, il cite ceci : « “Ces avortements ont été réalisés dans le cadre légal et avec le consentement des mères concernées, mais il n'ont pas été réalisés dans le but de développer des vaccins”, a affirmé le groupe de recherche de l'université d'Oxford sur les vaccins dans un communiqué. » Nous savons maintenant que cela n’est pas la réalité. Le crime est intentionnel. Il l’est car ces choses continuent à se faire.

Voilà donc ce qu’on veut dire quand on affirme que ces vaccins sont contaminés par l’avortement et l’infanticide. Est-il étonnant que bien de chrétiens aient de gros problèmes de conscience devant ces produits ?

Oui, mais ne faut-il pas faire une distinction entre ceux qui se servent de l’infanticide – les chercheurs, les laborantins – et ceux qui acceptent seulement de se faire vacciner ? Michel Cambrelin argumente en faveur de cette différence. Il cite un exemple catholique : « La Congrégation pour la doctrine de la Foi, dans sa “Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid-19” (traduit ici de la version anglaise), fait appel à la notion de “degrés de responsabilité dans la coopération au mal”. Elle y affirme que “dans les organisations où des lignées cellulaires d’origine illicite sont utilisées, la responsabilité de ceux qui décident de les utiliser n’est pas la même que celle de ceux qui n’ont pas voix au chapitre dans une telle décision”. » L’article rappelle que « ce problème de “coopération au mal” se pose de la même manière lorsque nous payons nos impôts (dont une partie servira à rembourser des IVG etc) ». Mais cela est-il vrai ? Peut-on saucissonner les responsabilités au point de les faire disparaître comme par magie ? Au lieu de raisonner en chrétien, se peut-il que l’on ne raisonne plus qu’en Jésuite ?

Faut-il éviter un mal plus grand – les décès pour cause de Covid – en acceptant, ou en prescrivant (comme le fait le Vatican pour ses résidents) la vaccination, peu importe le vaccin – de toute façon, on n’a pas de choix de vaccin. Je note simplement l’acception tacite du récit officiel sur le Covid, y compris le silence de mort (ce mot a tout son poids …) sur les traitements alternatifs. Les traitements connus mais interdits ou fortement découragés permettent de relativiser sérieusement l’urgence et de désamorcer la panique. Mais le Dr Cambrelin semble l’ignorer.

Dans le même article, en suggérant la comparaison entre la question des viandes sacrifiés aux idoles (1Corinthiens 8) et les vaccins, l’auteur en vient à l’approche biblique. Il écrit : 

« Ainsi, nous trouvons là une certaine analogie avec la question de l’acceptation ou non de certains vaccins anti-Covid liés à des cellules d’origine fœtale. Certains les rejettent quelles qu’en soient la portée ou les conséquences (même s’il n’y a pas d’autre possibilité de se protéger et de protéger les autres), car ils établissent un lien de responsabilité directe avec le fait que Dieu réprouve l’IVG; ils ne peuvent donc accepter de tels produits. D’autres les accepteront sans que leur conscience ne se retrouve souillée pour autant, sans avoir en pensée d’approuver par là même l’IVG, en raison des arguments qui ont été dits plus haut. »

La phrase que j’ai mise en italiques est fallacieuse. Car il y a d’autres possibilités de se protéger et de protéger les autres ! Ce sont des possibilités plutôt efficaces dès qu’on analyse la mise en œuvre de ces traitements en divers endroits. Il ne faut pas non plus oublier qu’environ 99% de la population ne tombe pas malade du Covid ! Depuis quand faut-il faire vacciner toute la population pour une maladie qui touche moins qu’un pourcent ? En fait, la comparaison avec 1Corinthiens 8 est erronée. Paul peut dire qu’une idole n’existe pas. Mais l’avortement est un problème réel qui s’aggrave chaque année et dont nos parlements – en plein Covid ! – ont discuté pour en étendre encore la pratique. Ce n’est pas une question cultuelle, mais une question éthique sur le bien et le mal. En acceptant la pratique de se servir de l’avortement et pire encore, de l’infanticide, pour fabriquer des vaccins, nous disons à notre monde que nous, chrétiens, nous n’y voyons pas de problème insurmontable tant que nous y trouvons notre avantage. Que cela soit l’opinion du Pape est une chose. Ses opinions contre la Bible sont légion ! Mais que cela soit la position de chrétiens convaincus est une chose totalement différente et inquiétante. N’est-il pas de notre responsabilité de protester contre cet état de choses ? N’est-ce pas une des vocations de nos structures cultuelles dirigeantes ? En lieu et place, on ne dit rien. Et qui ne dit mot consent … Consentir à une abomination ?

Oui, mais cela vaut pour bien d’autres vaccins ! C’est vrai et c’est le Covid qui nous a rendu conscient de ce problème. Voici la liste de ces autres vaccins. Voir aussi ici et ici. L’éveil de nos consciences devrait sans doute avoir des conséquences au-delà du Covid. Nous avons découvert que la science médicale est comme le reste de la science. Si une chose est avantageuse, on finira par flouer les barrières éthiques. Quand cela va jusqu’à fermer les yeux sur l’infanticide, ne devrions pas nous réveiller et résister à de telles pratiques ?

 

Les risques liés aux vaccins Covid

La Bible accorde beaucoup d’importance au corps. Les pratiques qui dégradent le corps sont interdites, comme les tatouages : « Vous ne vous ferez pas d’incisions sur le corps à cause d’un mort et vous ne ferez pas dessiner des tatouages sur le corps. Je suis l’Eternel. » (Lévitique 19.28) Dans le Nouveau Testament, cela est poussé plus loin. Considérez ceci : « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit son temple, Dieu le détruira. Car son temple est saint, et vous êtes ce temple. » (1Corinthiens 3.16,17) Sans vouer un culte à son corps, le croyant en prendra soin et veille à ne pas le détruire sciemment. Cela nous encourage à une attitude prudente devant les multiples produits qui agressent notre corps.

Cela ne concerne pas seulement les drogues, le tabac ou l’alcool. Par exemple, John Rappoport cite ceci du British medical journal :

BMJ 7 juin 2012 (BMJ 2012:344:e3989). Auteur, Jeanne Lenzer. Lenzer fait référence à un rapport de l'Institute for Safe Medication Practices : « Il [l'Institut] a calculé qu'en 2011, les médicaments sur ordonnance étaient associés à deux à quatre millions de personnes aux États-Unis subissant des blessures graves, invalidantes ou mortelles, dont 128.000 décès. »

Le rapport a appelé cela « l'un des périls les plus importants pour les humains résultant de l'activité humaine ».

Le rapport a été compilé par des chercheurs extérieurs qui ont consulté la propre base de données de la FDA sur les « événements indésirables graves [médicaux] ».

Le lien avec les produits aujourd’hui vendus comme des vaccins contre le Covid (de plus en plus de médecins n’utilisent plus le mot ‘vaccin’ ; pour eux il s’agit d’un traitement) est évident et important. Beaucoup d’effets secondaires continuent à être rapportés dans les bases de données officielles (VAERS et EUDRA) comme dans les témoignages des premiers concernés : les victimes et/ou leurs familles. Le lien commun entre ces événements est qu’ils sont apparus de façon particulière et brutale depuis la vaccination. Cela est nié aujourd’hui par certains « experts ». Ainsi, par exemple, il n’y aurait en Belgique que quelques décès – dont le rapport à la vaccination ne serait même pas prouvé – et relativement peu d’effets secondaires graves. Dans les hôpitaux belges on aurait aussi en section Covid majoritairement des non-vaccinés (affirmations à la RTBF au 19 janvier 2022).

Cela ferait de la Belgique un ilot d’exceptions. Par exemple, aux Pays-Bas on rapporte au 3 janvier 2022 : 2.625 décès et 3.230 effets secondaires graves. Ces chiffres ont été vérifiés avec soin, et cela d’autant plus qu’ils ne correspondent pas aux chiffres officiels du LAREB qui ne rapporte que 620 mentions de décès au 9 janvier 2022. Cela indiquerait qu’aux Pays-Bas, on rapporte plus de quatre fois moins de décès sur le site officiel que sur le site du Meldpunt. Aux Etats-Unis, on mentionne un écart bien plus important entre les statistiques officielles du VAERS et la réalité. Cet article (et celui-ci nettement plus court) explique pourquoi et comment on devrait corriger ces statistiques et argumente pour un facteur de sous-rapportage (URF) de 41. Il est intéressant de voir comment fonctionne le système en Belgique. Voici le témoignage d’un médecin bruxellois sur ses difficultés à rapporter son AVC provoqué par le vaccin Moderna. Sa conclusion est qu’on fait tout ce qu’on peut pour que les effets secondaires ne soient pas répertoriés.

Les effets secondaires

Il y a une discussion sur la réalité de ces effets et sur leur importance statistique. Après tout, dit-on, avoir un nombre x de décès sur autant de millions d’injections, c’est « normal ».

Disons d’emblée que 100% des vaccinés de n’importe quel vaccin sont morts ou mourront. Mais ils ne meurent pas tous en même temps, peu après la vaccination et de causes atypiques. Chaque jour, il décède entre 300 et 350 personnes en Belgique de causes diverses. Le site de Statbel en donne le détail. Pour attribuer les décès suite aux injections Covid à la survenue naturelle de la mort dans la population, il faudrait trouver un éventail semblable de causes, et il faudrait les trouver chez des sujets déjà atteints par ce genre de maladies. La plupart des décès interviennent suite à une cause connue et attendue. Est-ce le cas avec les décès dus aux vaccins Covid ?

Parmi les problèmes rapportés suite à la vaccination Covid, les plus mentionnés sont les thromboses et les problème cardiaques (myocardites et péricardites), cf. ici par exemple. Le médecin légiste américain Ryan Cole raconte son expérience ici. Il explique les dommages qu’il a trouvés suite à des autopsies sur des vaccinés. La American Heart Association écrit dans son journal : “Suspected myocarditis occurred in 136 patients (97.8%) following mRNA vaccine, with 131 (94.2%) following the Pfizer-BioNTech vaccine; 128 (91.4%) occurred after the 2nd dose. Symptoms started a median of 2 days (range 0-22, IQR 1-3) after vaccination. » La docteure Nicole Delépine fait un bon survol de la problématique générale dans son article “Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus”. Elle donne notamment une liste des conditions provoquées par les vaccins et qui ont conduit à des décès (la liste date du 7 août 2021).

Lorsqu’on compare les statistiques des différentes vaccinations historiques et celles de la vaccination Covid, la différence est marquante. Rappelons que l’on a vacciné et que l’on continue à vacciner des dizaines de millions de personnes pour différentes maladies. Les signalements de problèmes graves suite à ces vaccinations restent relativement rares. Mais ce n’est pas le cas pour le Covid.


Voici ces statistiques comparatives pour les États Unis (tirées de l’article du Dr Delépine cité plus haut).

Autrement dit, nous trouvons en même temps une fréquence atypique de certaines affections et une augmentation atypique des signalements (ici des seuls décès, mais la même chose s’applique pour les autres effets secondaires). Malgré cela, on n’a pas réagi. Or, dans la médecine avant Covid, on aurait fini par réagir. La médecine depuis le Covid semble donc être devenue une autre médecine.

Pour connaître les effets de ces vaccinations, le mieux est encore d’écouter les victimes. Plusieurs sites réunissent leurs témoignages. 1000 Covid stories aux USA, les nombreux témoignages sur RéinfoCovid, ou cette page du docteur V. Coleman. Il faut ajouter à cela les témoignages de nombreux sportifs concernant les effets des vaccins. Voici un site anglais qui tient à jour une longue liste avec beaucoup de détails. Les mêmes problèmes ont été rapportés dans le monde des pilotes. Lisez cela ! Et dites-vous que vous avez là l’énumération sans fin d’une souffrance cachée, volontairement. Ces morts sont des morts qu’on ne veut pas (re)connaître. Ces handicapés et ces malades sont ignorés sciemment. Quand en avez-vous entendu parler au journal télévisé ? Jamais. Car on ne doit surtout pas décourager les gens d’aller se faire piquer avec ce « vaccin sûr et efficace ».

Ne disons pas que ces vaccins ne posent pas de problème. Ce serait une politique d’autruche. Se faire vacciner c’est exposer son corps à la protéine Spike et ses capacités à faire des ravages dans le corps humain. A court terme, cela est prouvé. A moyen terme, cela commence à se voir. Nous savons, par exemple, que ces « vaccins » n’empêchent ni la contamination, ni la maladie, ni même la mort. Mais dans ce cas, peut-on vraiment parler de vaccins ? Mais si ce ne sont pas des vaccins, à quoi « joue »-t-on ? Et à long terme ? On ignore tout, sauf que certains dommages, comme au cœur, sont définitifs, permanents. Injecter des milliards de gens avec des produits sur lesquels on n’a aucun recul et pour lesquels les études sont toujours en cours, c’est prendre des risques énormes. C’est nous faire prendre ces risques.

Une des premières conséquences visibles de ces deux ans de folie est la crédulité de la majorité devant les affirmations des hommes en blanc au service d’une nouvelle matrice. Une autre conséquence est la censure brutale de toute pensée discordante, de tout partage de résultats qui osent remettre en question le récit officiel. Et la plupart des gens acceptent cette censure sans aucune réaction d’horreur. On crée une autre société sous nos yeux et, comme de braves moutons, le peuple suit les yeux fermés.

En tant que chrétiens, pouvons-nous laisser faire cette offensive contre l’humanité et trouver cela normal ? Pouvons-nous nous soumettre à des produits imposés qui portent atteinte à notre corps ? Et si cela devait nous conduire à la marque de la Bête, aurons-nous seulement encore la capacité de le discerner à temps ?

 

Les mensonges autour de la vaccination

Il y a peu de temps, j’ai écrit une série sur « Les quatre mensonges qui tueront le monde ». En tant que chrétiens, nous avons choisis de suivre celui qui a dit que la vérité nous rendrait libre, Jean 8.32. Cette vérité est d’abord celle du Christ qui est la vérité, Jean 14.6. Mais la vérité ne peut être limitée au seul domaine de la spiritualité. Nous ne devons pas porter de faux témoignage contre notre prochain, Exode 20.16. La vérité libère, le mensonge enchaîne. La vérité fait vivre, le mensonge tue. Lorsqu’on se rend compte que toute cette histoire du Covid est baignée dans le mensonge, on a le devoir de réagir d’une façon ou d’une autre. Laisser au mensonge le champ libre revient à condamner notre prochain (au lieu de le protéger) et à nous condamner nous-mêmes.

Dans cet article, je me limiterai à deux de ces mensonges.

L’interdiction des traitements

Le refrain trop entendu est qu’il faut se faire « vacciner » parce qu’il n’y a aucun traitement qui permet de guérir cette maladie. C’est pour cette raison qu’il a fallu absolument court-circuiter le processus d’autorisation de ces « vaccins ». Car mieux valait un produit expérimental et « être protégé », qu’aucun vaccin et avoir des morts par millions, comme on l’a fait entendre. Mais s’il devait exister des traitements efficaces du Covid, cette raison ne peut plus être invoquée et la politique officielle s’effondre et avec elle, les plantureux bénéfices financières. Ne dites pas que l’argent n’y joue aucun rôle. Quand il entre dans les caisses par milliards, il joue nécessairement un rôle prépondérant. Nier cela c’est être naïf.

« Il n’y a pas de traitement ! » Vous l’avez sans doute entendu par-ci, par-là, comme moi. Mais c’est un mensonge.

En France, dès le début de la pandémie – dès le 13 janvier 2020 – la ministre de la santé de l’époque, Agnès Buzyn, a interdit l’Hydroxychloroquine. Pour bons et loyaux services rendus, le président Macron vient de lui attribuer la légion d’honneur … France Soir a soulevé plusieurs des questions à poser, notamment financières. Ce médicament, tombé dans le domaine public, ne rapportait plus grand-chose. Pourtant, il a été utilisée avec une bonne efficacité à l’IHU de Marseille dans l’équipe du professeur Raoult, et dans plusieurs autres endroits en France et ailleurs. Voici une étude dans le journal Virology de 2005 (déjà !) qui analyse l’effet bénéfique de la Chloroquine sur le SARS-CoV. Je détecte aujourd’hui une joie à peine dissimulée que le professeur Raoult soit évincé de l’IHU. Puis-je tout simplement rappeler le CV de ce scientifique hors pair ?

La même interdiction a frappé l’Ivermectine. Quant à l’usage de la vitamine D ou du zinc pour booster son immunité, les hommes en blanc pratiquent un silence de mort. De mort. Et les média les suivent et les surpassent. Ensuite, ils ont le culot de traiter de fake toute vérité qui n’est pas d’accord avec la leur. Mais pourquoi ne veut-on pas soigner les malades ? Pourquoi empêche-t-on les médecins de le faire ?

Combien de chrétiens suivent aveuglément ce mensonge des autorités ? Combien de morts ce mensonge a déjà causé ?

Protéger les autres

Vous avez bien sûr déjà entendu cela, cette affirmation tellement chrétienne que les païens ne se fatiguent pas de répéter : se faire « vacciner » revient à protéger son prochain. Celui qui a inventé cela devrait recevoir une médaille ! Quelle trouvaille imparable ! L’amour du prochain passe désormais par le « vaccin ». Mais pourquoi n’a-t-on jamais pensé à cela avant ? « Je me fais vacciner contre la polio pour protéger mon voisin. » Quelle ânerie !

Après avoir laissé mourir je ne sais combien de personnes âgées – de maladies diverses, de solitude, de chagrin – on a passé à l’étape suivante : « Vaccinez-vous pour protéger les autres », en faisant ainsi une campagne publicitaire en bonne et due forme pour des produits toxiques qui ont déjà causé la mort de milliers et de dizaines de milliers de victimes innocentes.

Le Christianisme aujourd’hui a produit un article intéressant par Jean Rama qui répond à cet argument spécieux. L’auteur y démonte cet enseignement fake sur la protection d’autrui avec plusieurs raisons. Je me limiterai ici à en évoquer les huit principales sans plus de détail. Pour le traitement de ces points, voyez l’article.

  1.  Il est impropre, voire mensonger, de déclarer à notre prochain que seules les personnes non vaccinées seraient une « menace potentielle réelle » pour lui.

2.       Il n’est pas sage de vouloir faire croire à notre prochain que les vaccins ARN actuels jouissent d’une parfaite efficacité et d’une parfaite innocuité.

3.       Il n’est pas sage d’inciter notre prochain à prendre des décisions disproportionnées : L’acte vaccinal est un acte médical important qui se doit d’être bénéfique pour le patient et proportionnel à la dangerosité hypothétique contre lequel il désire lutter (balance bénéfices-risques).

4.       Aimer son prochain ne consiste pas à approuver ou conforter ses peurs lorsque celles-ci ne sont pas rationnelles.

5.       Aimer notre prochain ne consiste pas à l’encourager à croire au mensonge qu’une protection complète lui serait offerte par le vaccin actuel.

6.       Aimer notre prochain c’est le laisser libre dans l’exercice de sa responsabilité.

7.       Aimer notre prochain c’est ne pas lui offrir une perspective biaisée et réductrice de la façon dont il peut exercer son amour et sa responsabilité au sein de l’épidémie actuelle.

8.       Aimer notre prochain c’est de ne pas lui faire croire que la « vaccination » serait aussi importante que l’observance d’un commandement divin au sein de sa vie de piété.

 

La vaccination et la soumission à l’État

Permettez-moi de terminer avec cette question : Comme la vaccination est demandée par les autorités politiques, le chrétien ne devrait-il pas se soumettre à l’État ?

Y a-t-il des limites à notre soumission aux autorités ? Durant la guerre 40-45, cette question était au cœur des choses. Aujourd’hui, nous voyons probablement d’un œil très critique la soumission des chrétiens au pouvoir Nazi. Pouvait-on se rebeller contre l’autorité (allemande) en cachant les Juifs ? L’Église pouvait-elle tout risquer, sa survie et la vie de ses membres, pour un peuple si manifestement opposé à Dieu ? Mais jusqu’où doit-on être soumis aux autorités ? Totalement parce qu’« il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées par Dieu » ? (Romains 13.1) Après tout, si Dieu a institué Hitler, le chrétien lui doit obéissance, non ? La seule limite serait donc celle invoquée par Pierre en Actes 4.19, lorsque les autorités interdisent de parler de Dieu. Donc, tant qu’on a la permission de célébrer des cultes, on n’a aucune raison de se rebeller ? Et donc, car c’est la conséquence logique de cela, si le gouvernement s’en prend à certaines catégories de la population – les Juifs, par exemple – cela ne concerne pas l’Église et elle peut continuer à faire comme si tout va bien, plus ou moins.

Avec le recul, peu de chrétiens seraient d’accord avec une telle conclusion, du moins, je l’espère ! Mais cela repose la question du « jusqu’où » de la soumission aux autorités.

Permettez-moi de faire quelques remarques sur le sujet abordé par Paul en Romains 13 :

·   Il y a plusieurs domaines de soumission. Au plus bas niveau se trouve ce que j’appelle la soumission du feu rouge. Je dois respecter la loi et m’arrêter devant un feu rouge. Même dans l’Allemagne hitlérien, ou sous l’Antichrist, il y a des lois que tout chrétien est supposé respecter. Je ne peux pas m’en défaire avec l’excuse qu’Hitler ou l’Antichrist est un bandit et un ennemi de Dieu.

·     Le problème se situe dans plusieurs phrases du texte de Paul : « Les gouvernants ne sont pas à craindre quand on fait le bien, mais quand on fait le mal. Veux-tu ne pas craindre l’autorité ? Fais le bien, et tu auras son approbation, car elle est au service de Dieu pour ton bien. » (Romains 13.3,4) Mais quand le gouvernement fait le mal et nous demande non seulement de ne pas nous mettre à travers son chemin, mais de collaborer, sinon …, que doit-on faire ? Au temps des Nazis, devait-on protéger les Juifs ? La Bible est claire : « celui qui vous touche touche la prunelle de son œil », dit Zacharie 2.12 au sujet du peuple d’Israël. Dans ce contexte particulier, faire le bien, pour un chrétien, c’est être du côté d’Israël, c’est protéger ceux qui sont injustement persécutés. Car faire le bien, pour un chrétien, n’est-ce pas nécessairement le bien devant Dieu ? Mais lorsque je fais ce bien-là, je n’aurai pas l’approbation du gouvernement ! Autrement dit, dans de telles circonstances absurdes, le gouvernement est à craindre quand je fais le bien ! Inutile d’ajouter que ce n’était pas là ce qui était dans la pensée de l’apôtre ! Il n’a pas signé un chèque en blanc pour les autorités et il n’enseigne pas une soumission sans réserves ! Entre ces autorités et l’Église de Dieu il y a un gouffre. À aucun moment, l’Église ne pourra devenir l’exécutant de l’État. Celui-ci est là pour l’ordre dans le monde. L’Église n’est pas « de ce monde ». Quand le gouvernement ment, la soumission sera toujours un problème de conscience. La Bible nous dit de ne pas suivre la majorité pour faire le mal, Exode 23.2. Lorsque l’État fait le mal, le chrétien et l’Église doivent refuser de le suivre, même si cela fait d’eux, d’elle, l’ennemi de l’État. Il est clair que ce « mal » est bien plus évident en regardant en arrière vers le passé, en profitant du recul qu’offre l’histoire, qu’en étant appelé à le confronter aujourd’hui.

·    C’est quoi, faire le mal ? « Mais si tu fais le mal, sois dans la crainte; car ce n’est pas en vain qu’elle porte l’épée, étant au service de Dieu pour (montrer) sa vengeance et sa colère à celui qui pratique le mal. Il est donc nécessaire d’être soumis, non seulement à cause de cette colère, mais encore par motif de conscience. » (Romains 13.4,5) Manifestement, l’apôtre a en vue les maux de la société que sont le vol, la violence, le meurtre et ce genre de choses. Mais nous devons résister aux autorités quand elles préconisent le crime, même si, pour le chrétien, cette résistance ne pourra s’exprimer par la violence. Lorsqu’on fait le mal visé par l’apôtre, les autorités sont là pour exécuter la colère de Dieu, même si elles-mêmes se rendent coupables des mêmes crimes et pire. Mais notre conscience est redevable à Dieu, et non aux autorités. Peu importe ce que se permettent certains, nous sommes consciemment au service de Dieu. Cela nous rend à la fois plus radical et plus restreint.

Appliquées à notre temps, ces choses doivent guider notre conduite. Comment doit s’exprimer notre soumission à l’État devant la question de l’avortement, ou devant l’imposition des conceptions LGBT ? Ne devons-nous pas y résister ? « En effet, ce qui est juste peut-il s’unir à ce qui s’oppose à sa loi ? La lumière peut-elle être solidaire des ténèbres ? Le Christ peut-il s’accorder avec le diable ? » (2Corinthiens 6.14,15) Lorsque nous faisons le bien aux yeux de Dieu dans ces questions, croyez-vous que les pouvoirs institués par Dieu nous féliciteront ? Un jour, ils nous jetteront en prison parce que nous nous opposons à leurs lois, même s’ils n’interdisent pas le culte.

Les mesures Covid ressemblent de plus en plus au contrôle total par la Bête annoncé en Apocalypse 13. Par soumission aux autorités, l’Église doit-elle humblement suivre chaque restriction et, par exemple, soumettre le culte du Dieu de la Bible à cette marque numérique de la Bête qu’est le pass sanitaire, peu importe sous quel nom on veut le rendre obligatoire ? Aurons-nous bientôt des églises limitées aux soumis aveugles ? Le chrétien devra-t-il se soumettre au projet vaccinal toxique du pouvoir parce que Romains 13 nous l’ordonnerait ? Avons-nous donc été lobotomisés ? Ces produits géniques, ont-ils donc prouvé leur efficacité et leur innocuité ? Et si le projet qui se profile derrière cette politique sanitaire était comparable à la toxicité de ces produits, ne devrions-nous pas résister ?

La soumission prônée par certains n’est autre qu’un refus de regarder plus loin. Nous voulons être tranquilles et vaquer à nos occupations en faisant confiance aux autorités parce que c’est plus facile. Et, par miracle, ce serait faire la volonté de Dieu ?

Des pouvoirs occultes – j’utilise ce mot en son sens premier de caché, mais le sens spirituel n’est pas loin – s’apprêtent à se soumettre le monde dans la dernière rébellion contre le Christ, en réinitialisant la vie humaine et en créant la Bête qui doit venir. Mais si nous ne pouvons pas déjà reconnaître que l’écriture est sur le mur (cf. Daniel 5), comment ferons-nous pour la lire et la comprendre ? Pourquoi sommes-nous devenus aveugles à ce point ? Comment le mensonge, et le menteur qui se profile derrière lui, nous a-t-il fascinés ? Comment est-il possible que nous ayons baissé notre garde pour que l’ennemi nous berne à ce point ?

 

Conclusion

La question posée souvent est : « Un chrétien peut-il se faire vacciner ? » Cette question n’est pas la même que celle-ci : « Un chrétien vacciné est-il encore chrétien ? » Pas plus qu’un chrétien non-vacciné et à qui l’on refuse de participer au culte (comme dans certaines régions du monde aujourd’hui) soit devenu un non-chrétien. Les deux questions sont liées, cela tout le monde peut le voir, mais elles sont différentes.

Tout d’abord, le vocable ‘chrétien’ est un nom que l’on s’attribue ou que l’on attribue à d’autres. Une telle attribution peut être erronée, et cela pour différentes raisons. C’est un qualificatif humain qui ne préjuge pas d’une qualité spirituelle. Certains ont un jugement très (trop ?) large dans ce domaine. D’autres en ont un jugement très (trop ?) étriqué. La question qui doit nous préoccuper est celle-ci : « Puis-je me faire vacciner, moi qui me dis chrétien ? » Autrement dit, Dieu est-il d’accord avec ça ? Etonnamment, posée ainsi, cela ne semble pas préoccuper bien de chrétiens. Pour beaucoup, la question ne semble guère se poser.

Pour pouvoir répondre à cette question précise, nous devons nous poser plusieurs autres questions. Nous devons devenir curieux. Certains semblent être contents de leur absence de curiosité dans ce domaine. « Je fais confiance ! », disent-ils. Cela ressemble parfois à une éloge de l’ignorance ! Comme si la confiance aveugle aux dires des hommes en blanc soit une qualité, chrétienne de surcroît ! Elle ne l’est pas. Vous voyez, on pourrait ainsi accepter une chose qui est une abomination devant Dieu. Cela est plutôt grave, et j’espère que sur cela, nous sommes au moins tous d’accord. À ceux qui répondent à une telle suggestion que, de toute façon, on ne peut pas savoir et que ça ne peut pas avoir des conséquences, on ne peut pas répondre grand-chose ! Il est plutôt difficile de donner à boire à une âne qui n'a pas soif. Il faut les laisser tranquilles parce qu’ils veulent être laissés tranquilles. Est-il possible que, le jour venu, ils ne sauront pas reconnaître la marque de la Bête, aux conséquences éternelles selon Apocalypse 14.9-11 ? Ce n’est pas à moi de répondre à cette question. Il m’appartient seulement de la poser. On me dira que ce n’est pas être gentil, mais nous n’avons pas été appelés à être des témoins gentils mais des témoins véridiques, Proverbes 14.25.

Dans cet article, je me suis efforcé d’expliquer ce qui est en jeu avec les « vaccins » (ce ne sont pas vraiment des vaccins au sens habituel[3]) contre le Covid. J’ai passé en revue les problèmes et je maintiens que nous devons nous forger une opinion aussi éclairée que possible avant de répondre à la question si nous pouvons nous faire vacciner. Se faire injecter les produits proposés par l’industrie pharmaceutique et ses relais scientifiques et politiques, sans réfléchir, tout simplement parce qu’on veut partir en vacances ou parce qu’on veut « revenir à la normale » pourrait nous coûter bien plus cher que ce que nous avions prévu. La mort et la maladie pourraient être une conséquence à long terme pour beaucoup de vaccinés. Parce que j’aimerais vous éviter une facture impayable, j’ai averti les gens, et particulièrement les chrétiens, depuis plus d’un an.

Pour terminer, laissez-moi énumérer très courtement ce que j’ai présenté dans cet article :

1.   La presque totalité des « vaccins » a été développée et/ou testée avec le secours de l’infanticide (et je n’exagère rien).

2. Les « vaccins » causent des dommages souvent graves et irréparables. Non seulement, ils n’offrent aucune garantie contre la contamination, la maladie et la mort, mais, en plus, ils nous font courir un risque considérable à court, moyen et long terme.

3. En interdisant (ou en niant) les traitements existants pour prévenir la contamination et pour guérir de la maladie, on a condamné beaucoup de gens à mort en faisant croire que le « vaccin » est la seule vraie réponse au Covid.

4. Fallacieusement, on invoque que la protection des autres est une raison majeure pour se faire vacciner.

5. Fallacieusement, certains chrétiens concluent que nous devons être soumis à l’État, même quand celui-ci nous ment, et que la vaccination est donc un devoir pour le chrétien.

Contrairement à ce que l’on répand inlassablement dans les média, ceci n’est pas du complotisme, du fake ou de la fantaisie. Chacun de ces cinq points est fondé dans les faits, bien qu’ils soient cachés par les média et ses commanditaires. Je crois que ces « vaccins » sont une abomination devant Dieu. Je crois donc que cette question n’est pas innocente et sans importance.

Beaucoup de chrétiens se sont faits vacciner sans se poser des questions et sans connaître grand-chose des tenants et des aboutissants. Ils ont fait pour le mieux selon ce qu’ils en savaient. Mais beaucoup commencent à se poser des questions. L’empressement de l’Etat à « vacciner » les enfants avec ces produits toxiques commence à faire hésiter beaucoup de parents. L’accumulation insensée et infinie des « boosters » a fait comprendre à un grand nombre que tout ceci ne repose pas sur du solide. Plusieurs se rendent compte que cette politique vaccinale a surtout été la poule aux œufs d’or pour les fabricants et leurs actionnaires, et que parmi ces actionnaires on trouve sans doute bon nombre des hommes en blanc. L’absence d’un cadastre des intérêts financiers impliqués en dit des volumes. Le contrôle toujours plus totalitaire de notre société inquiète un nombre croissant de gens. Il est donc plus que temps de se poser des questions et de refuser toute collaboration (je prends ce mot au sens qu’il avait durant l’occupation) à un programme à ce point douteux.

Nous ne sommes pas censés être les moutons de ceux qui veulent nous asservir. Ces deux dernières années, la partie la plus lavée et la moins utilisée de notre corps a été le cerveau. Il est temps de le laver moins et de l’utiliser plus. Cela aussi est vivre à la gloire de Dieu.

« Vous avez en effet besoin de persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis. » (Hébreux 10.36)

 

Le 27 janvier 2022

Egbert Egberts



[1] Lorsque je parle de résistance, je ne parle pas de résistance armée. Voir mon livre On n’apprendra plus la guerreEditions l’Oasis.

[2] Human embryonic kidney, rein embryonnaire humain. Cette lignée est utilisée dans la plupart des vaccins Covid. Il provient d’un infanticide suite à l’avortement d’une petite fille néerlandaise en 1972. Cf. cet article.

[3] Même le président du Conseil scientifique français fait cet aveu.