Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

mercredi 28 avril 2021

Covid-19, ma démarche

 

Voilà une bonne année que nous vivons une pandémie qui semble ne pas vouloir en finir. Cela a suscité un flot d’articles, de vidéos et d’études pour expliquer ou pour questionner. Personne ne niera qu’une grande peur s’est abattue sur nos pays. Le port religieux du masque en est une indication. Une année est une bonne durée pour jeter un regard en arrière et pour essayer de comprendre. En ces quelques pages, j’aimerais expliquer mon vécu de cette année. 


 Les débuts

Tout a commencé en février 2020. Notre église a connu sa première hospitalisation pour Covid, alors qu’on n’en avait pas encore le diagnostic et qu’on en ignorait encore tout.

Une sœur est revenue de France où elle était partie pour participer dans une réunion. Elle est tombée gravement malade avec des problèmes pulmonaires mystérieux. Une autre sœur lui a fidèlement rendu visite; il n’y avait pas encore de soupçon de contagion. Au tout début du mois de mars, elle était présente lors d’un enterrement auquel je présidais et, ensuite, a rendu visite à ma femme à l’hôpital. Je pense que c’est elle qui m’a contaminé et j’ai eu, environ une semaine plus tard, des symptômes grippaux avec une toux sèche persistante. Cela a duré environ dix jours avant que je retrouve un état de santé normal. La personne qui m’a probablement contaminé est elle-même tombée assez gravement malade et, en cette même période, le Covid de la première sœur a été confirmé.

Entretemps, à l’hôpital, ma femme a été exposée au Covid par sa voisine de chambre, premier cas Covid de l’hôpital. Avec les visites de la sœur mentionnée et de moi-même, elle a donc subi une triple exposition au Covid, sans que nous en étions au courant. Toujours est-il qu’elle n’en a subi aucune conséquence, bien que personne à risque (âge et asthme). J’y reviendrai plus loin.

Quand je suis sorti de mon état « grippal », nous avions déjà commencé le premier confinement.

A partir du 21 mars, le Covid commence à figurer sur ma page Facebook. Dès le 23 mars, je reproduis un article du Parisien sur le Professeur Raoult où il dit notamment :

… je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 600 patients hospitalisés et 75 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.

Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?

Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait.

[…] Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves.

[…] A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science.

Cet article – et d’autres – ont éveillé mes doutes sur ce que nous disent les autorités avec leurs « experts ». Pourquoi les guillemets ?

  • -        Parce que la France a dans son sein un des meilleurs experts au monde sur la question et a décidé de l’ignorer. En Belgique aussi, nos « experts » partagent essentiellement la même opinion. Ceux/celles qui ont des opinions divergentes sont ignorés, voire méprisés.
  • -        Parce que nous ignorons le degré d’inféodation des « experts » à l’industrie pharmaceutique – nous l’ignorons quasi totalement en Belgique et partiellement en France.
  • -        Parce que, dans l’urgence des milliers de décès, on ne peut pas se permettre le luxe d’ignorer des traitements qui semblent donner de bons résultats. Quand on se le permet quand même, on vise autre chose que le bien des malades. Dans ce cas, et il faudra bien se le demander, on est « expert » de quoi ? Des statistiques ? Par moment, j’ai effectivement une forte impression qu’on est intéressé seulement dans les statistiques, à la quasi exclusion des autres drames mortelles causées par cette pandémie, comme le taux des suicides.

Le 28 mars, je publie mon article La pandémie et la Bible sur le lien entre pandémie et jugement. Le lendemain, notre ancien trésorier meurt du Covid. Nous avons une vingtaine de malades dont plusieurs à l’hôpital dans des états graves, voire très graves. Loin de moi de banaliser cette épidémie !

Le 24 avril, je lis une étude intéressante sur sott.net, site multilingue. A cette date, après les chiffres catastrophiques de la première vague, l’auteur montre que le pourcentage de personnes qui ne sont pas décédées à cause du Covid dans la population des différents pays est partout à peu près pareil. Une étude des CDC, plus récente, confirme essentiellement ces chiffres (le nombre de cas actuellement dans le monde est de moins de 2% de la population mondiale. Je pense qu'un cas est quelqu'un avec un test positif). L’article présentait la liste suivante :

99.9,9574% de la population italienne n’est pas morte du Covid
99.9,9529% de l'Espagne
99.9,9664% de la France
99.9,9720% du Royaume-Uni
99.9,9934% de l'Iran
99.9,9997% de la Chine
99.9,9436% de la Belgique
99.9,9933% de l'Allemagne
99.9,9754% des Pays-Bas
99.9,9804% de la Suède
99.9,9997% de l'Australie
99.9,9975 % du monde

Le 3 mai, je transmets un premier vrai questionnement des dessous de la pandémie qui affirme ceci : « l’OMS utilise la pandémie pour se diriger vers un nouvel ordre mondial qui s’inspire du régime oppressif de la Chine. » Peu à peu, je découvre un tas de choses étonnantes autour de cette pandémie et la manière des autorités de se détourner de tout traitement pour choisir la seule voie de vaccins, encore en voie de développement.

J’apprends en ce mois de mai par une étude israélienne que la vitamine D a un effet protecteur prouvé sur le coronavirus. Plus tard, en automne, s’ajoute à cela l’effet du zinc. (Lorsque j’ai découvert cela et vu le taux élevé de vitamine D chez ma femme lors d’un examen à l’hôpital, je me suis dit que j’avais là l’explication de sa résistance à la maladie. Il y a sans doute eu d’autres facteurs, mais je pense que celui-ci pesait de tout son poids.) Mais jamais nos autorités n’ont pris la peine d’en avertir la population. Bien au contraire, elles découragent activement tout traitement de la maladie par le protocole développé à Marseille par le professeur Raoult ou des protocoles semblables. Une étude sérieuse, plus tard en cette même année, prouve que sa mise en œuvre précoce aurait diminué les hospitalisations et les décès de 65% ! Cela fait tout de même environ 12.000 personnes juste pour la Belgique qui n’auraient pas dû mourir … Et nous ne serions pas indignés ?

Mais je vais trop vite ! Dès le mois de mai 2020, on commence à parler déconfinement et je prends connaissance des directives proposées à nos églises. Des directives imposées, sans aucune vraie discussion et sans réflexion critique. Le sujet semble tabou. Il ne semble y avoir aucune conscience que nos autorités sont en train de mentir au peuple. On soumet la population, et les églises, à un régime autoritaire qui n'admet d'aucune contradiction. Il faut suivre le flûtiste enchanté. Mais vers où ?

Avec l’automne, la contestation contre la version officielle prend de l’ampleur. Et avec elle, la censure. J’ai été censuré moi-même et cela m’a poussé à écrire un article en fin septembre qui est toujours d’actualité. C’est quoi, cette version officielle ? Pour vaincre le virus, il faut décourager toute prophylaxie (vitamine D, zinc, …) et décourager voire interdire tout traitement (hydroxychloroquine, ivermectine, azithromycine, …) pour ne laisser que deux voies autorisées : les mesures barrière et la vaccination. Mais, par exemple, des études sérieuses montrent la non-efficacité des masques. Quant aux vaccinations, voyez l’article suivant sur mon blog. Pour les traitements donnés à l’hôpital, l’avis de cette pneumologue mérite attention.

 

Un mot sur la question éthique.

Les vaccins – du moins tous ceux actuellement utilisés en Belgique – ont été préparés avec le secours de l’industrie de l’avortement. A lui tout seul, ce fait devrait poser problème aux chrétiens. Mais dans un article du CPDH, un médecin explique qu’il n’y a pas de raison de s’inquiéter, même si ce n’est pas une situation idéale. Il n’en faut guère plus pour que nombre de chrétiens endorment leur conscience et suivent le mouvement général. Les arguments bibliques de l’article laissent à désirer, mais le tableau à la fin de l’article est très utile.

L’avortement constitue un marqueur de première importance dans la rébellion de l’humanité contre Dieu. En aucune façon, un chrétien ne peut y souscrire, l’encourager ou l’approuver. C’est un mal qui conduit l’humanité à sa perte. Jusque-là, peu de chrétiens seront en désaccord avec moi. Mais qu’en est-il de la responsabilité dans le cas d’un vaccin développé avec le concours de l’avortement ? L’article en question cite l’exemple catholique : « La Congrégation pour la doctrine de la Foi, dans sa “Note sur la moralité de l’utilisation de certains vaccins anti-Covid-19” (traduit ici de la version anglaise), fait appel à la notion de “degrés de responsabilité dans la coopération au mal”. Elle y affirme que “dans les organisations où des lignées cellulaires d’origine illicite sont utilisées, la responsabilité de ceux qui décident de les utiliser n’est pas la même que celle de ceux qui n’ont pas voix au chapitre dans une telle décision”. » L’article rappelle que « ce problème de “coopération au mal” se pose de la même manière lorsque nous payons nos impôts (dont une partie servira à rembourser des IVG etc) ».

Il faudrait éviter un mal plus grand – le décès pour cause de Covid – en acceptant, ou en prescrivant (comme le fait le Vatican pour ses résidents) la vaccination, peu importe le vaccin – de toute façon, on n’a pas de choix de vaccin. Je note simplement l’acception tacite du récit officiel sur le Covid, y compris le silence de mort sur les traitements alternatifs. Prophylaxie et traitements permettent de relativiser sérieusement l’urgence et de désamorcer la panique. Mais l’auteur de l’article semble l’ignorer.

En suggérant la comparaison entre la question des viandes sacrifiés aux idoles (1Corinthiens 8) et les vaccins, l’auteur en vient à l’approche biblique. Il écrit : 

« Ainsi, nous trouvons là une certaine analogie avec la question de l’acceptation ou non de certains vaccins anti-Covid liés à des cellules d’origine fœtale. Certains les rejettent quelles qu’en soient la portée ou les conséquences (même s’il n’y a pas d’autre possibilité de se protéger et de protéger les autres), car ils établissent un lien de responsabilité directe avec le fait que Dieu réprouve l’IVG; ils ne peuvent donc accepter de tels produits. D’autres les accepteront sans que leur conscience ne se retrouve souillée pour autant, sans avoir en pensée d’approuver par là même l’IVG, en raison des arguments qui ont été dits plus haut. »
Dr Michel Cambrelin.

La phrase que j’ai mise en italique est fallacieuse. Car il y a d’autres possibilités de se protéger et de protéger les autres ! Ce sont des possibilités plutôt réelles, puisque 99% de la population ne tombe pas malade du Covid ! Depuis quand faut-il vacciner toute la population pour une maladie qui touche moins qu’un pourcent ? Protéger les autres ? Mais depuis quand se fait-on vacciner pour protéger les autres ? C’est nouveau et suspect, un argument pour faire pression sur les gens. En fait, la comparaison avec 1Corinthiens 8 est erronée. Paul peut dire qu’une idole n’existe pas. Mais l’avortement est un problème réel qui s’aggrave chaque année et dont nos parlements – en plein Covid ! – ont discuté pour en étendre encore la pratique. Ce n’est pas une question cultuelle, mais une question éthique sur le bien et le mal. En acceptant la pratique de se servir de l’avortement pour fabriquer des vaccins, nous disons à notre monde que nous, chrétiens, nous n’y voyons pas de problème insurmontable tant que nous y trouvons notre avantage. Que cela soit l’opinion du Pape est une chose. Ses opinions contre la Bible sont légion ! Mais que cela soit la position d’une œuvre comme le CPDH est une chose totalement différente et inquiétante. N’est-il pas de notre responsabilité de protester contre cet état de choses ? N’est-ce pas une des vocations de nos structures dirigeantes ? En lieu et place, on ne dit rien. Et qui ne dit mot consent …

Les vaccins n’ont pas que ce problème-là. Malgré toutes les assurances données par leurs fabricants – ce qui n’est que très logique – il y a de vrais soucis avec leurs effets à court et à long terme. Sur ces derniers, il n'y a aucun recul. En plus, il faudra probablement se faire revacciner souvent, ce qui ne fait qu’augmenter les risques. 

Finalement, tout revient à une question de confiance. De tout côté, on nous demande de faire confiance. Mais en qui ? En une industrie pharmaceutique qui figure parmi les plus puissantes au monde ? Faire confiance aux média, aux affirmations des uns, aux réfutations des autres ? Aux « fact-checkers » ? A la science ? Mais laquelle, pratiquée par qui et payée par qui ? Mentir sciemment est devenu tellement commun qu’il est devenu quasi impossible d’être sûr de quoi que ce soit. On ment par erreur ou à dessein, ou parce qu’on est immergé dans un système mensonger malgré soi. 

L’excès de confiance nuit gravement à la vie, sauf quand elle est placée dans le Dieu de la Bible. Cela n’est pas une phrase pieuse, un peu bateau ! La Bible dit expressément que des temps d’une grande séduction viendront sur les hommes. Parlant de l’Antichrist qui vient, Paul dit :

 « La venue de cet impie se fera par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges mensongers et avec toutes les séductions de l’injustice pour ceux qui périssent parce qu’ils n’ont pas accueilli l’amour de la vérité pour être sauvés. C’est pourquoi Dieu leur envoie une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n’ont pas cru à la vérité mais ont pris plaisir à l’injustice soient condamnés. » (2Thessaloniciens 2.9-12)

Cela s’étend-il à notre époque ? Poser la question est déjà y répondre. Cela s’étend-il aussi à ce qui entoure cette funeste pandémie ? Là, les réponses varieront, mais la question doit être posée avec insistance.

Alors que faire ? Ne rien faire ? C’est toujours la voie la plus facile et qui semble la plus sûre. On ne se mouille pas. Mais combien de fois cela aboutit-il à nager avec le courant … comme un poisson mort ? J’ai décidé d’agir à mon niveau en tant que pasteur : j’ai envoyé une lettre à mon église, en janvier, pour avertir les gens. Beaucoup de médecins ont aussi agi, dont voici un exemple.

Me ferais-je vacciner s’il y avait un vaccin « classique », non contaminé par l’industrie de l’avortement et non-génique (et qui respecte Lévitique 19.19? Peut-être. Je serais certainement prêt à le considérer sérieusement. Dans la limite de mes connaissances, je n’en connais qu’un, celui sur lequel travaille l’Institut Jean-Paul II aux Etats-Unis. Cependant, il faut se rappeler l’avis très réservé du Pr Raoult sur la possibilité même de créer un vaccin pour ce genre de virus. Alors de deux choses l’une : comme les vaccins existent, il a eu tort et on devrait faire confiance à l’industrie pharmaceutique. Ou alors, ces vaccins devraient être sujets à caution. Il me semble que c’est l'option qu’il faut choisir, ne fut-ce que par principe de précaution. Est-il possible que nous soyons les objets d’une énorme manœuvre de séduction ? Que l’on vise non pas notre santé, mais l’instauration d’un contrôle et d’un pouvoir mondiaux ? Jusque là, on a eu une confiance quasi aveugle dans l’establishment médical. Mais peut-être que cette confiance n’est plus méritée. Les trois articles du journaliste Derrick Broze sur le filet tissé par Bill Gates devrait au moins nous rendre conscients que tout pourrait ne pas être aussi bienveillant qu’on aimerait le croire.

 

Et si je me trompe ?

C’est possible. Nous devons nous poser cette question et, parfois, douter de nos convictions et corriger nos erreurs. Nous sommes pécheurs et n’avons aucune garantie de détenir la vérité ! Cela m’arrive régulièrement, dans cette question, de me demander si tout ce que j’ai dit ne repose pas sur du vent. Si je ne suis pas en train de me battre contre des moulins à vent comme Don Quichotte.

Le plus souvent quand cela m’arrive, je reviens à ce point précis pour me forcer à bien raisonner : Pourquoi, en pleine épidémie, avec des milliers de morts sur les bras, nos gouvernements ont-ils interdit le recours à des traitements efficaces ? Pourquoi, maintenant que nous avons plus de recul, persistent-ils dans cette attitude ? Pourquoi tout parier sur les vaccins ? Pourquoi avoir laissé mourir les gens, et particulièrement les aînés, sans soins réels ? Pourquoi nous avoir enfermés dans ce mortel « Domicile-Dodo-Daffalgan-Décès » que rappelle un médecin français au début du film Mal traités ? Vous voyez, je n’arrive pas à comprendre cela autrement. Et je me pose la question : Pourquoi ? C’est la question qui fâche.

Tout ceci est-il une simple affaire de gros sous ? Ça l’est ! Pour les fabricants de vaccins, c’est le jackpot et Bill Gates l’avait bien compris, et tweeté, dès octobre 2019. L’augmentation des prix annoncée par Pfizer va dans ce sens. C’est une affaire de gros sous et la pandémie a créé ses millionnaires et ses milliardaires. Mais est-ce que l’indécence s’arrête là ?

Quand on lit ou entend les propos du Forum économique mondial (WEF, Davos) sur le Great Reset, on se rend compte que certains se voient bien profiter de la crise. Après tout, il ne faut jamais gaspiller une bonne crise ! Ce sont des gens très riches, très puissants et très pressés. Certains de leurs projets ont des relents apocalyptiques, du genre d’Apocalypse 13. Les différents projets d’un contrôle massif de la population, à l’image de ce qui se passe en Chine, sont à faire froid dans le dos.

Sommes-nous en train de plonger rapidement dans ce qui a été annoncé dans l’Ecriture ?

Chaque jour, on nous rabâche les oreilles avec les résultats, les assurances et les prescriptions des scientifiques. Comme si la parole scientifique est l’ultime autorité. Du moins, la parole de ces scientifiques qui se rangent à la parole majoritaire. Les autres sont écartés et ignorés. Mais nous oublions un peu trop vite le soutien actif des scientifiques (et des industriels) pour les projets des Nazis, et cela des deux côtés de l’Atlantique. Aujourd’hui, ils semblent tout-puissants, et notre culture nous a rendus leurs esclaves obéissants. Est-il temps d’y résister ? Beaucoup le croient. Il est plus tard qu’on ne le pense !

 

Je prie que nos vies d’église ne sombrent pas dans la médiocrité ni dans la trivialité. La Bible dit : « Tu ne suivras pas la multitude pour faire le mal », Exode 23.2.

Permettez-moi de terminer avec deux citations trouvées récemment et que j’apprécie :

« Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. » Mark Twain.

« Truth does not mind to be questioned. A lie does not like to be challenged. »

 

Pour ceux qui se haussent les épaules en lisant ce texte indigeste – des paroles d’un complotiste et rien d’autre, dira-t-on –, n’oubliez pas votre responsabilité envers ceux sous votre garde. Et merci de m’avoir lu quand même ! Mais sachez qu’il n’y a guère de complotisme dans mon texte. J’ai seulement relaté les faits. Si vous aviez raison et que la fin est encore confortablement loin, tant mieux ! (quoi que …) Je ne vous en voudrai pas d’avoir raison. Mais si vous avez tort, tremblez !

 

 

Egbert Egberts

Ougrée, le 28 avril 2021 (dernière modification le 5 mai 2021)

samedi 10 avril 2021

Lettre pastorale Pâques 2021

Ma lettre aux chrétiens du 2 avril 2021.


Chers Frères et Sœurs en Christ,

Christ est ressuscité !

Au milieu des troubles et des menaces autour d’une épidémie qui n’en finit pas, nous nous apprêtons à fêter Pâques. Plus que jamais, cela se fait dans un monde qui a tourné le dos à Christ. Il reste encore quelques souvenirs de l’Evangile, mais ils disparaissent chaque année un peu plus. En même temps, des problèmes de moins en moins gérables apparaissent dans tous les coins de notre monde. « Christ est ressuscité ! » est de moins en moins audible au fur et à mesure que notre société plonge vers l’Apocalypse.

Mais « Christ est ressuscité ! » n’était pas un message adressé d’abord au monde. Il s’adresse d’abord aux disciples du Christ. A la première Pâque chrétienne, le message inquiète les autorités, mais sans plus. Ils ne peuvent le comprendre car il dépasse totalement le cadre de leur pensée. Leur raison n’a aucune place pour une telle réalité nouvelle. Mais la nouvelle transforme les chrétiens. Leur nuit se change en jour, leur deuil en joie et leur désespoir en espérance. Christ est ressuscité : tout est désormais possible ! Malgré la résistance et la persécution, ils se sont mis à répandre cette nouvelle par leurs vies transformées autant que par leur conviction profonde. Le résultat a été que l’Evangile a pénétré partout, des palais jusque dans les prisons.

Nous sommes les héritiers de leur témoignage. Ils étaient au début d’un mouvement mondial. Nous sommes au bout de ce mouvement. Nous sommes passés d’un petit groupe de disciples engagés à une foule innombrable de « chrétiens » de nom. Tantôt ici, tantôt là-bas, des persécutions violentes ont cherché à exterminer les disciples de Jésus. Mais ils n’ont pas abandonné. Leur foi en le Christ vivant les a encouragés, même quand tout était contre eux. Aujourd’hui, 340 millions de chrétiens vivent sous des régimes de persécution. Cela va de la violence meurtrière des djihadistes jusqu’à la pression inlassable du régime chinois. Derrière ses manifestations visibles de la haine, nous reconnaissons la lutte sans relâche du dragon d’Apocalypse 12 qui cherche à dévorer quiconque met sa confiance dans le Christ.

C’est en nos temps si « éclairés » et si modernes que tout cela arrive à son point culminant. Un virus en est la concrétisation, et le prétexte de l’ultime soumission qui réunira le monde contre Dieu et contre son Christ. Contre toute raison logique et réfléchie, la science et la politique réunissent leurs forces pour contrôler l’humanité afin de la « sauver ». Malheur aux récalcitrants qui persistent à réfléchir indépendamment des média. Malheur encore plus à ceux et celles qui veulent rester fidèles à Christ, l’ennemi juré du pouvoir qui s’installe.

Laissez-moi reprendre une nouvelle du dernier bulletin de Portes Ouvertes :

La persécution devient numérique

Du contrôle d’internet à la recherche de cas contacts dans le cadre de la Covid-19, le nœud coulant de la surveillance se resserre autour du cou de l’Eglise. Imaginez que vous participiez à une rencontre d’église en ligne et que le lendemain vous soyez menotté ! C’est ce qui est arrivé il y a quelques mois à des chrétiens chinois. « Même si c’est un cas isolé, cela s’est produit et peut se reproduire », affirment les partenaires de Portes Ouvertes. Le contrôle constant sous couvert d’enrayer la pandémie sert de prétexte : il s’agit de faire fonctionner la société « dans une nouvelle normalité ».

Portes Ouvertes, avril 2021

Ne nous faisons aucune illusion : la nouvelle normalité sera une société sans chrétiens, sans Bible, sans Dieu, sans église et sans Christ. Ne nous abusons pas à croire que l’Internet sera la réponse magique aux restrictions imposées. Entre les mains athées des puissants, Internet est un outil rêvé pour toujours plus de contrôle. Ne lui faisons pas confiance ! Que jamais il ne remplace la vie !

Si la peur vous fait fuir vos frères et sœurs en chair et en os pour vous réfugier dans une église numérique, tout le monde sera perdant, et vous le premier. Le Covid est une arme contre nous, et trop de chrétiens se laissent manipuler, apeurer et isoler. Ils se laissent vaincre sans même s’en rendre compte ! Cette pandémie (une plandémie ?) est un prétexte pour soumettre les gens. Et cela a un succès retentissant !

Refusons la peur. Ayons la sagesse élémentaire d’une vraie protection physique (vitamine D, zinc) et vivons notre foi et notre église sans anxiété. Cette église de notre temps va sans doute devoir être plus petite et plus discrète. C’est une des grandes leçons de l’Eglise persécutée et nous devrons prendre à cœur cette leçon. « La grande foule » est devant le trône de l’Agneau, Apocalypse 7.9, et pas nécessairement dans nos bâtiments de culte. L’Evangile doit être annoncé, mais les églises devront apprendre à vivre sous le radar. Au lieu de languir après le retour de temps définitivement révolus, sachons nous adapter à notre situation de fin de monde avec courage et foi. Cherchons à vivre cette foi en petits groupes, autour d’une Bible ouverte et unis dans la prière. Préparons-nous à des temps difficiles en sachant que nous ne sommes pas seuls. Mais ne laissons pas les autorités nous interdire une vie d’église ! Non, je ne prêche pas la révolution, même s’il y a de quoi ! Mais ne restons pas seuls et ne laissons pas des frères et sœurs dans la solitude et l’isolement. Réunissons-nous par petits groupes. Certains le font déjà. Pourquoi ne pas faire comme eux ?

Christ est ressuscité ! Cela a constitué un appel puissant à l’action pour les premiers chrétiens. Quand l’Esprit-Saint leur est donné, cinquante jours plus tard, ils ne peuvent plus rester tranquilles. Et nous, pouvons-nous rester tranquilles en attendant patiemment que cette étrange pandémie se passe ? Agissons avec sagesse et détermination ! Christ est ressuscité !

 

Je vous ai déjà écrit sur la situation sanitaire dans ma lettre précédente de janvier 2021 et je n’y reviendrai donc pas ici. Maintenant que la pression étatique et médiatique augmente – sans raison réelle, nous disent beaucoup de médecins – restons fermes dans nos convictions. Si cela vous intéresse, sachez que je partage régulièrement des nouvelles à ce sujet sur mon compte Facebook.

 

Je termine par ces mots connus de l’apôtre Pierre :

“Ne vous laissez pas distraire, soyez vigilants. Votre adversaire, le diable, rôde autour de vous comme un lion rugissant, qui cherche quelqu’un à dévorer. Résistez-lui en demeurant fermes dans votre foi, car vous savez que vos frères dispersés à travers le monde connaissent les mêmes souffrances. Mais quand vous aurez souffert un peu de temps, Dieu, l’auteur de toute grâce, qui vous a appelés à connaître sa gloire éternelle dans l’union à Jésus-Christ, vous rétablira lui-même; il vous affermira, vous fortifiera et vous rendra inébranlables. A lui appartient la puissance pour toujours. Amen !” (1Pierre 5.8-11)

 

Votre pasteur


vendredi 2 avril 2021

Lettre pastorale janvier 2021

 Voici le texte de ma lettre à nos chrétiens sur le covid-19.

Le 15 janvier 2021


Chers Amis, Frères et Sœurs en Christ,

C’est avec une grande inquiétude que je vous écris cette lettre. Nous sommes les témoins d’une révolution aux Etats-Unis où s’apprête à monter au pouvoir une administration violemment anti-chrétienne avec le programme radical d’un agenda pro-avortement comme on n’en a encore jamais eu et un agenda également pro LGBTQ qui pourrait déclencher une persécution brutale de tous ceux qui n’épousent pas ce point de vue. Ce serait nous voiler la face que de penser que cela n’aurait pas une influence chez nous. Prions pour nos frères et sœurs là-bas !

Mais notre souci immédiat est le programme de vaccination Covid. La pression monte pour que chacun se fasse vacciner. La liberté de refuser est de plus en plus entourée de mesures voilées pour restreindre la vie des non-vaccinés. Pourtant, il y a de très bonnes raisons de s’inquiéter.

Pourquoi vous écrire cela ? Parce que je suis votre pasteur et que je porte une responsabilité devant Dieu de prendre soin de vous. Ne rien dire sur cette question serait une faute. Permettez-moi donc de vous expliquer ma démarche par cette lettre. En bleu, vous y trouverez des liens sur lesquels il suffit de cliquer pour lire l’article en question. Je fais de mon mieux pour citer des articles en français, mais parfois, vous y trouverez un article en anglais.

1. Notre corps, que Dieu a dessiné, est prévu pour la lutte contre les virus. Notre système immunitaire est là pour ça. Mais à cause de la vie moderne, ce système se porte nettement moins bien que par le passé. Il ne reçoit plus assez de nutriments pour se maintenir. C’est la raison qu’il faut supplémenter ce qui manque. La clé ici sont les trois choses suivantes : Vitamine C, D et Zinc. Par des légumes et des fruits frais, la vitamine C peut se maintenir. Mais notre besoin de vitamine D et de zinc n’est pas satisfait. Il faut donc en chercher ailleurs, à raison d’environ 2.000 unité (50µg) de vitamine D et environ 10 mg de zinc par jour. Voir ce lien pour le dernier. Renseignez-vous dans une pharmacie ou dans un magasin spécialisé. Malheureusement, les autorités sanitaires n’en disent rien. Cela ne semble pas les intéresser. Elles préfèrent nous enfermer derrière un masque. Pourtant, cela est loin de nous protéger. Voyez l’article mis en lien ici. On mise tout sur quelques mesures extérieures pour mieux brider la liberté des gens, en les isolant les uns des autres et en tuant l’économie de trop de gens. On refuse d’encourager la population à se prémunir efficacement contre le(s) virus en suppléant aux manques de notre système immunitaire. Malheureusement, nos autorités n’agissent pas dans l’intérêt du peuple et je suis triste de devoir tirer cette conclusion. A titre personnel, c’est à cause de ces choses, vitamine D et zinc, que ma femme n’a jamais attrapé ce virus, malgré le fait qu’elle y a été sérieusement exposée.

2. Quel traitement ? Faut-il appliquer le traitement des « 4 D », utilisé lors de la première vague ? Domicile, Doliprane (= Daffalgan chez nous), Dodo, Décès. C’est un médecin généraliste français qui le mentionne au début du film Maltraités. A partir du moment où il a commencé à traiter ces patients autrement, dit-il, il n’a plus perdu un seul de ses patients à cause du Covid. Vous avez sans doute lu ou entendu des choses sur l’hydroxychloroquine. Peut-être que mentionner le nom du Professeur Raoult vous cause des boutons. C’est dommage car cet homme est une sommité mondiale dans son domaine et l’un des meilleurs spécialistes de notre temps. Mais comme il n’est pas d’accord avec le point de vue imposé par l’industrie pharmaceutique, on cherche à le ridiculiser et à le condamner. Mais savez-vous qu’une étude sérieuse a permis de connaître l’effet réel de cette molécule ? Vous la trouverez ici et un commentaire ici. La conclusion ? Dans 100% des études de cas d’un traitement précoce, l’effet positif indique qu’on diminue les hospitalisations et les décès de 65%. C’est énorme ! Quand nos autorités sanitaires déconseillent ou interdisent l’usage de l’hydroxychloroquine, c’est cela le résultat : des millions de morts en plus pour rien. Je pense personnellement que cela est criminel. On a dit que ce traitement aurait des risques cardiologiques sévères. Mais il a fallu 70 ans pour le découvrir ! 70 ans d’usage fréquent dans la lutte contre le paludisme. Et tout-à-coup, on découvre que le produit est toxique ? Et on voudrait nous vacciner avec des produits terriblement récents et donc sans recul ? Je ne parlerai pas des autres traitements avec une efficacité prouvée, de peur de vous fatiguer avec une lettre trop longue. Mais ne croyons pas que la vaccination est l’unique chemin du salut. Elle pourrait ne pas être un chemin de salut du tout. Sur ces deux premiers points, voyez l’avis argumenté d’un collectif de médecins français ici.

3. La vaccination. Laissez-moi vous dire courtement pourquoi je ne me laisserai pas vacciner. Vous trouverez tout cela en plus de détail sur mon blog où j’ai consacré trois articles à la question du Covid : les mesures, les vaccins et les causes. De grâce, lisez et réfléchissez avant de décider de vous faire ‘piquer’ ! Et j’espère que le verbe ‘piquer’ qu’on entend ou lit un peu trop souvent aujourd’hui ne soit pas prémonitoire … Et non, je n’ai jamais été un « antivax ».

Apparemment, un vaccin pour un virus qui mute souvent est une quasi impossibilité. Mais voici qu’en un temps record, nous avons plusieurs vaccins à notre disposition. Seront-ils la solution ? Ou vont-ils aggraver le problème ? Ne croyez rien à ce qu’on nous dit pour nous tranquilliser ! Le fait est que personne n’a assez de recul pour en dire une chose sensée. Mais les risques sont réels. Sur le PDF joint (Eléments connus de balance bénéfice-risque), vous verrez quelques rappels de cela concernant le vaccin Pfizer, et le vaccin Moderna semble encore plus enclin aux complications. La technique prônée par ces deux vaccins est soi-disant sans risque. Après tout, ce sont les industriels par la bouche de ceux et celles qu’elle paie qui nous l’affirment. Savez-vous que le professeur Peronne en France, aussi une sommité de médecine dans son domaine, refuse d’appeler ces vaccins par ce nom ? Il maintient qu’il s’agit non pas de vaccins, mais d’une thérapie génique. Avec tous les risques que cela comporte. Tout cela pour un virus dont plus de 99% de la population ne mourra jamais (en pourcentage, ces chiffres sont toujours plus ou moins justes). J’entends que le gouvernement a même prévu des séances de rattrapage de vaccination pour ceux qui se décident plus tard. Sachez toutefois qu’il n y a aucune séance de rattrapage pour ceux qui voudraient se « dévacciner » … et j’espère être désespérément pessimiste !

Je sais bien que parler de Bill Gates aujourd’hui fait penser à du complotisme de bas-étage. Mais voici ce qu’il a vraiment dit, bien avant le Covid , en parlant du réchauffement climatique en 2010. Il faut, dit-il, réduire plusieurs facteurs, dont la première est la population. Il dit alors ceci : « Il y a maintenant 6,7 milliards de gens sur terre et bientôt, il y en aura 9 milliards. Cependant, nous pouvons réduire ce chiffre par dix à quinze pourcent si nous faisons du bon travail avec des nouveaux vaccins, les soins de santé et le contrôle des naissances. » 10 à 15%, ça fait environ un milliard d’êtres humains … Et cela est dit par un fabricant de vaccins (Moderna) qui est aussi le donateur le plus important de l’OMS, avant n’importe quel pays. Ne le prenez pas au sérieux si vous le désirez. Mais ne soyez pas choqué qu’il y a des gens qui le prennent au sérieux. Ne les accusez pas de complotisme. Accusez Monsieur Gates.

Il y a en plus des problèmes avec l’usage de lignées cellulaires d’enfants avortés. Voyez les articles suivants : Vaccins contre le Coronavirus et utilisation de cellules de fœtus avortés : état des lieux. Un autre article analyse la critique contre ces affirmations. Et, en anglais, un entretien avec une biologiste dans lequel je traduirai ces deux paragraphes :

En fait, ils font naître ces bébés par césarienne. Les bébés vivent encore lorsque les chercheurs commencent à extraire les tissus, au point que leur cœur bat toujours, et sans les anesthésier aucunement, car cela pourrait causer des dommages aux cellules que les chercheurs essaient d’extraire.

Ils enlèvent donc les tissus pendant que le bébé est encore en vie et souffre des douleurs atroces. Ce qui rend tout ceci encore plus sadique.

Allons-nous maintenant profiter de l’industrie de l’avortement pour notre propre santé ? Le pape dit qu’il faut le faire ! Si les médecins disent que c’est sans danger, c’est que c’est sans danger, dit-il. Alors, tant pis pour l’avortement. Ta santé et la santé des autres doivent primer. Je crains que le pape ne fait que confirmer non seulement qu’il n’est pas chrétien, mais qu’il se trouve à une distance spirituelle astronomique de la foi chrétienne.

4. Suis-je donc complotiste ? Je serai très simple. Si nos gouvernements et nos autorités sanitaires, dans la plupart de nos pays, persistent à ignorer les questions d’immunité naturelle, et s’ils persistent à œuvrer contre le traitement efficace du Covid en poussant à tout prix des vaccins sur lesquels on n’a aucun recul réel, c’est qu’ils participent à un complot contre leurs peuples. Vous voyez, je suis un peu à court d’autres raisons satisfaisantes d’un comportement aussi déraisonnable. Si vous avez déniché des raisons valables, dites-le moi.

Ce complot est peut-être motivé par l’argent. Effectivement, l’industrie pharmaceutique a reçu des aides plantureuses (en milliards de dollars et d’euros) pour développer les vaccins. Ces mêmes vaccins sont maintenant vendus avec un profit non négligeable. C’est le jackpot ! Mais, personnellement, je ne suis pas vraiment convaincu que c’est là l’unique motivation derrière ce complot. Des gens très riches et très pressés veulent reprendre le contrôle total de la vie humaine. Nous en voyons actuellement une toute petite partie dans la puissance totalitaire des propriétaires des réseaux sociaux. Le mouvement de la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial veut pleinement profiter de l’occasion fabuleuse de la pandémie. Nous sommes peut-être tout simplement au début de ce qui aboutira au règne de l’Antichrist. Alarmiste ? Je voudrais bien ! Mais les indicateurs ne sont pas en faveur d’une explication simpliste. Pour ceux qui veulent en savoir plus, j’ai joint le PDF suivant : La préparation de la société pour l’antichrist.

5. Le jugement ? Durant la première vague, j’avais écrit un article au titre : La pandémie et la Bible. Vous l’aviez peut-être lu. J’en citerai ici un passage :

Vous voyez, dans un sens réel, la pandémie du Covid-19 est le premier événement “post-Dieu” de notre monde. Dans ces derniers 50 ans, la présence de Dieu a été balayée partout à un degré jamais vu. Il suffit de mentionner le Christ ou la Bible pour récolter un silence gêné. Ils ne représentent plus rien dans l’esprit des gens. Bien au contraire, s’il reste encore un lointain souvenir, il est désagréable. Nous n’avons plus besoin de Dieu et l’on s’est mis à “dédiviniser” et déchristianiser notre société. Tout ce que Dieu ordonne dans la Bible, on l’a renversé. Avortement et euthanasie ont désacralisé la vie, et ça continue avec effronterie jusqu’en pleine crise de corona. Le mariage est évidé de sa réalité originelle et la famille au sens traditionnel – père, mère et enfants – est rejetée comme schéma de base. Chacune de ces décisions a été comme un poing levé contre le ciel. Ne sommes-nous pas les maîtres de notre propre destin ?

Or, voilà que par la pandémie, Dieu se rappelle à notre bon souvenir ! C’est intolérable ! La fin du monde ? M’enfin ! Or, il faut bien le constater, mis à part l’une ou l’autre exception rare, rien ne semble perturber l’apostasie, le détournement massif de Dieu. Ce n’est pas que nous sommes entrés en un temps areligieux. C’est même le contraire. On ne communie plus à l’Eglise, on le fait bien plus dans les stades. Les écrans de jeux sont les lieux de culte de la nouvelle idolâtrie, tandis que les vieilles idolâtries reprennent du poil de la bête : argent, sexe et pouvoir.

Dieu s’est-il donc laissé exproprier ? En gentleman, a-t-il débarrassé le plancher ? Ou viendra-t-il “pour juger les vivants et les morts”, comme le proclame l’Eglise depuis bientôt 2.000 ans ?

Cette pandémie qui n’en finit pas est un jugement. Mais, me direz-vous, on ne peut pas dire cela ! Non seulement on peut le dire, mais on doit sérieusement le considérer. Notre monde a lassé la patience de Dieu et les factures sont dues depuis longtemps. Cela fait rire les païens ? Laissons-les rire. Mais en tant que chrétiens, il est grand temps de réapprendre ce que dit la Bible sur la colère de Dieu.

Je ne dis pas, il faut être clair là-dessus, que Dieu a créé cette pandémie spécialement pour punir l’humanité. Il se sert, comme si souvent, de la bêtise méchante des hommes pour ce faire.

 

J’ai été plus qu’assez long. Vous trouverez bien plus de détails sur mon blog, si vous voulez en lire davantage. Le temps est grave, à la tempête. En tant que pasteur, il m’est commandé dans l’Ecriture de vous avertir. Aucun de nous ne devrait entrer en cette période les yeux fermés. Vous pouvez rejeter tout ce que j’ai dit, c’est votre droit le plus strict. Vous pouvez penser que je déraisonne. Mais vous devez discerner le temps et être vigilant. La Parole de Dieu nous l’ordonne. Quant à moi, et je pense que c’est vrai pour vous aussi si vous êtes chrétien, je suis appelé à aimer la vérité. Pas seulement la vérité chrétienne, comme si on peut saucissonner la vérité (on s’inquiète de la vérité de l’Evangile sans se soucier des mensonges ailleurs). Nous devons être vrai, tout en vivant dans un monde menteur. On est capable aujourd’hui de changer la vérité en mensonge et le mensonge en vérité. On pourra vous prouver demain que le noir est blanc et que le rouge est gris. Et je dis bien prouver. Vous convaincre parce que c’est prouvé. Nous rencontrons cela dans plusieurs domaines en ces jours-ci. Mais nous ne devons pas nous laisser intimider. Nous aimons la vérité et nous devons marcher dans la vérité. C’est ce qui m’a poussé à vous écrire. Mon but n’est pas de vous forcer à telle action ou à telle décision. Cela vous appartient. Mais ne pensez pas que parce qu’on vous dit une chose dans les média – ou dans les média sociaux – que cette chose est vraie.

On m’a demandé si le vaccin est la marque de la bête. J’ai toujours répondu que je ne le croyais pas. Mais le vaccin m’enseigne une chose inquiétante. Si la marque de la bête devait avoir un lien avec notre santé, beaucoup de chrétiens l’accepteraient sans trop réfléchir. Il y a des comparaisons troublantes : on commence à entendre que le refus du vaccin rendra la vie difficile : plus d’avion, plus de cinéma, plus de concert et d’autres idées du même genre. On n’est pas encore au « plus n’y acheter ni vendre » d’Apocalypse 13.17, mais on s’en approche …

 

Jésus va revenir. C’est une bonne nouvelle ! Il a dit : « Quand ces événements commenceront à se produire, levez la tête et prenez courage, car alors votre délivrance sera proche. » (Luc 21.28) Alors, levons la tête ! Prenons courage ! Refusons le découragement. Restons éveillés devant les séductions et les séducteurs de ce monde. Nous ne savons pas ce qui se passera demain, mais nous savons ce qui doit arriver avant le retour du Maître. Qu’il nous garde fidèles, lucides et joyeux.

 

Votre pasteur