Dans les deux articles précédents, ici et ici, je ne me suis occupé que de faits vérifiables. Des faits que
l’on ne veut peut-être pas entendre aujourd’hui, mais des faits cependant. N’y
cherchez aucun complotisme. Le complotisme est présent quand on veut cacher les
faits, ou les évacuer. Rappeler ces faits est faire œuvre de bienfaisance
sanitaire, surtout dans ces moments où le virus rend fou trop de gens.
Une
mise-à-jour
Depuis mes deux derniers articles,
plusieurs nouvelles études ont été publiées :
L’étude suivante a cherché à analyser le
bien ou mal fondé d’un traitement à base d’hydroxy-chloroquine : https://hcqmeta.com/. Vous
pouvez trouver un commentaire sur cette
étude ici. La principale conclusion est la suivante : Dans 100%
des études de cas d’un traitement précoce, l’effet positif indique qu’on
diminue les hospitalisations et les décès de 65%. Vous imaginez, 65% en
moins, presque deux-tiers ! C’est énorme ! Transposez ce chiffre sur
les statistiques du Covid de ces derniers 10 mois. Transposez-les sur les cas
de vos familles et amis. Vous comprenez ce que j’appelle les faits ? Vous commencez
à comprendre où pourrait se situer le complotisme ?
Pourquoi
a-t-on refusé ce traitement dès le début ? C’est comme si on envoie l’armée
à la guerre en commençant par lui enlever les armes. Personne ne fait cela !
L’autre
dimanche, le 20 décembre 2020, était un jour historique. Pour la première fois
depuis l’invasion du virus, j’ai vu une publicité pour encourager les gens à
prendre de la vitamine D. Pourquoi ? Parce que cela bâtit l’immunité. On
ne le disait pas, bien sûr – cela aurait indisposé certains –, mais il s’agit
de la défense du corps contre le Coronavirus. Mais pourquoi seulement
maintenant ? J’avais déjà lu cela en mai dans un article israélien. Et
pourquoi dans une publicité d’une agence wallonne et non de la bouche de nos
experts ? Ne sont-ils donc pas soucieux que les gens se protègent contre
le virus ? Ont-ils décidé de refuser tout moyen en dehors de leurs gestes
barrière ? Je reprends mon illustration : c’est comme si on envoie l’armée
avec des épées contre une armée moderne. Si on fait cela, on doit aimer le massacre
…
Ni
prévention, ni traitement. J’ai entendu de la bouche d’un médecin généraliste
français que l’on ne proposait que le traitement des 4 D :
Domicile, dodo, doliprane (= daffalgan), décès. Depuis qu’il a commencé à traiter
ses patients covid avec les traitements connus (mais disputés en haut lieu), il
n’a plus compté un seul décès parmi ses patients covid … (voir l’excellent documentaire
Mal traités. Pourtant, encore
en cette fin du mois de décembre à la RTBF, on déclarait péremptoirement que
ces traitements ne donnent pas de résultats.
On mise
tout sur les vaccins. Bien sûr, comme on le répète inlassablement, on a des
vaccins sans risque, efficaces jusqu’à 95%. C’est de la propagande, bien évidemment,
car personne n’a le recul nécessaire pour pouvoir évaluer ces vaccins
sur le terrain. Aux jours de la propagande, les faits ont la vie dure ! La
propagande va en TGV, la vérité va à pied. Pourtant, là aussi, des études
commencent à voir le jour, en dehors de ce que j’avais déjà mentionné dans mon
article précédent.
Permettez-moi
d’ajouter un
article plus ancien en anglais, de mai 2020.
Il explique l’arrière-plan des vaccins ARN, comment cela fonctionne. L’article
contient aussi quelques mises-en-garde importantes. Voici la conclusion en
français :
Parfois, on ne voit pas la forêt à cause de l’attention donnée aux
arbres. Votre corps possède déjà une nanotechnologie d’ARNm qui peut identifier
les agents pathogènes et les détruire. Cela fait partie du système immunitaire
avec lequel vous êtes né.
Votre système immunitaire est capable de prouesses étonnantes d’auto-préservation,
mais seulement s’il est correctement alimenté avec les nutriments et les
éléments dont il a besoin pour fonctionner comme prévu. Une carence en vitamine
D entraîne une suppression immunitaire, et une personne carencée en vitamine D
ne répondra probablement pas très bien à un vaccin ARNm, quelle que soit la
technologie avancée.
Le zinc, le sélénium et le magnésium sont des éléments essentiels qui
ont tendance à être déficients chez les personnes dont la fonction immunitaire
est médiocre. La supplémentation en ces minéraux permet au système immunitaire
d’atteindre son plein potentiel, ce qui rend les vaccins à ARNm largement
obsolètes.
En effet, nous pourrions dire que les vaccins ARNm sont la création d’une
société abusée qui a censuré la vérité sur la nutrition pendant si longtemps
que presque tout le monde pense que nous devons devenir des mécaniciens
médicaux pour résoudre tous les problèmes du corps en utilisant des
nanotechnologies avancées et des percées coûteuses. Mais en réalité, votre
système immunitaire fonctionne gratuitement… et vous êtes né avec. Malheureusement,
la plupart des gens refusent de nourrir leur système immunitaire avec les
composants nécessaires pour soutenir un fonctionnement efficace. Et presque
personne dans quelque position d’autorité ou de pouvoir que ce soit n’osera
recommander la nutrition alors qu’il y a tant d’argent à gagner grâce aux
vaccins et aux produits pharmaceutiques brevetés.
Et si la réponse au coronavirus était aussi simple que de recommander de
la vitamine D et du zinc ? Si seulement nous étions assez sages pour
permettre à notre propre nanotechnologie interne de faire son travail, nous n’aurions
pas besoin d’essayer de détourner les cellules du corps en utilisant des
interventions médicales élaborées, coûteuses et risquées.
De la même manière que la loterie est une taxe pour les personnes qui ne
peuvent pas faire des maths, les vaccins sont des médicaments pour ceux qui ne
comprennent pas la nutrition.
On
commence aussi à lire que l’usage de lignes cellulaires d’embryons avortés dans
certains vaccins covid serait une fausse affirmation. Cela est erroné. L’article
suivant entre davantage dans cette discussion.
L’article
suivant traite des problèmes rencontrés par les vaccins Pfizer et Moderna. En voici quelques détails. L’article mentionne
des résultats négatifs chez les plus de 55 ans, des tests défectueux sur
animaux et poursuit :
Alors pourquoi
les principaux promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez,
nous ont-ils mis en garde avec insistance contre les dangers uniques et
effrayants inhérents au développement d’un vaccin contre le coronavirus ?
Dans cette séquence vidéo,
Offit, Hotez et même Fauci [le monsieur Covid aux USA] (dans un moment d’inadvertance),
préviennent que tout nouveau vaccin contre le coronavirus pourrait déclencher
des réactions immunitaires létales, une « amplification du vaccin »,
lorsque des personnes vaccinées entrent en contact avec le virus. Au lieu de
procéder avec prudence, Fauci a fait le choix imprudent d’accélérer
les vaccins, partiellement financé
par Gates, sans études
essentielles sur les animaux avant de passer aux essais
cliniques humains qui pourraient fournir un avertissement précoce de réponses
immunitaires incontrôlables.
Ailleurs, dans un autre article référencé à
la fin du précédent, le Dr Suhab Siddiqi, ancien directeur de la chimie chez
Moderna, a déclaré à CNN : « Je ne laisserai pas [le vaccin] être
injecté dans mon corps. Je demanderai : Où sont les données de toxicité ? »
A tout ceci, permettez-moi d’ajouter trois
articles que j’avais référencés sur ma page Facebook sur les tests PCR et les
masques :
· Un article de William
Engdahl sur globalresearch.ca, et traduit en français, met au défi l’approche
allemande de la gestion de la crise. Et pourtant, l’Allemagne ne déplore que 21.567
décès covid-19 soit presque trois fois moins que la France.
· Sur les PCR faux positifs reconnus par l’OMS.
· Et sur
l’origine très problématique d’un certain nombre de masques. Il s’agit de masques fabriqués en Chine par des esclaves ouïgours.
C’est clair, quelque chose ne tourne pas
rond sur la planète Covid.
La
question logique suivante est celle de l’origine du virus.
C’est une question controversée. La réponse
officielle est qu’on ne le sait pas. On suggère les chauvesouris, les
pangolins, et un possible passage vers l’humain. En soi, un tel passage est
possible. Par exemple, une des variantes récentes du virus est le résultat d’un
passage entre les visons (au Danemark) et les hommes.
Mais d’autres réponses sont possibles et,
peut-être, probables.
Le 29 octobre 2020 sur Nexus, la
généticienne française Alexandra Henrion-Caude a été interviewée. Dans cet interview,
dès le début de la vidéo, elle explique qu’une séquence brevetée a été
introduite dans le virus. Ce brevet se trouve ici. Il est hautement improbable, dit-elle, qu’une
telle insertion soit naturelle. L’article suivant, plutôt technique, en donne plus de
détails.
Autrement dit, il y aurait eu ingénierie
humaine.
Plusieurs versions
relatant une manipulation humaine existent. La première que j’ai relevée est
celle qui se trouve dans l’article suivant : Les
preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2, qui date de début
juillet 2020. En voici quelques citations avec leurs sources :
Montagnier a décrit
le Sras-Cov-2 comme un « virus Frankenstein » créé par l’homme
qui combine différents types de virus. Selon Montagnier, ce virus Frankenstein
a été fabriqué à partir d’un coronavirus naturel, provenant d’une
chauve-souris, mais à ce modèle ont été ajoutées des séquences très similaires
au VIH-1 et au parasite Plasmodium falciparum, lui-même responsable du
paludisme. Cet élément pourrait expliquer pourquoi l’hydroxychloroquine — un
médicament antipaludéen — est efficace contre le Sras-Cov-2.
À la question : « Le
coronavirus n’est-il pas naturel ? », Montagnier a répondu : « Non,
il ne l’est pas, c’est le fruit d’un travail de professionnels, de
biologistes moléculaires, il s’agit d’un travail très précis, que l’on pourrait
qualifier de travail d’horloger ».
Les affirmations de
Montagnier sur les insertions techniques de
séquences du VIH dans le Sras-Cov-2 ont été confirmées par une étude intitulée
« Étrange similitude d’insertions uniques dans la protéine Spike du
2019-nCoV avec celles de la GP120 et du Gag inhérents au VIH-1 », qui a dû être rétractée en raison d’une « pression trop forte ».
Deux autres éminents virologistes, à savoir
Ruan Jishou de l’université de Nankai et Li Huan de l’université de Huazhong, sont
indépendamment arrivés à la même conclusion.
Notes du traducteur — la
GP120 est une glycoprotéine exprimée par le VIH-1 et le précurseur Gag est la
protéine virale et principal composant du VIH-1. Voir le résumé en français de
cette publication scientifique ICI.
[…]
Fang Chi-tai, professeur d’étiologie à l’université nationale
de Taiwan, a déclaré que le Sras-Cov-2 était probablement d’origine humaine.
Dans la séquence génétique du Sras-Cov-2, il existe quatre acides aminés
supplémentaires qui n’existent pas dans les autres coronavirus. Selon Fang, les
mutations naturelles des virus n’entraînent que de petites modifications
singulières, il est donc suspect qu’un virus qui aurait muté naturellement
acquière soudainement quatre acides aminés. Ces acides aminés pourraient avoir
été ajoutés artificiellement pour faciliter la transmission du virus.
Le Dr Soňa Peková,
biologiste moléculaire tchèque, a expliqué que le Sras-Cov-2 a
été créé par l’homme en raison de son « centre de contrôle »
profondément modifié :
[...] si la
nature avait créé de manière chaotique et aléatoire les modifications
génétiques massives et les transcriptions, insertions, délétions et autres
changements complexes d’une ampleur propre à modifier le centre de contrôle de
l’ARN Sras-Cov-2, le virus aurait simplement péri, parce qu’il n’aurait
pas pu fonctionner de manière ordonnée.
[…]
Il s’agit d’un
nouveau virus qui n’existait pas chez l’homme auparavant, mais qui se lie de
façon extraordinairement élevée aux récepteurs humains, ce qui est très
surprenant. Il est presque parfaitement adapté à l’homme, et il ne pourrait
l’être plus.
L’adjonction
artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d’un site de
clivage de type furine, l’introduction de quatre acides aminés supplémentaires,
la modification d’un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l’être
humain... Tous ces éléments prouvent qu’il s’agit d’un virus conçu par des
êtres humains. Et n’oubliez pas qu’il ne s’agit là que des preuves
présentées par les rares scientifiques qui ont osé s’exprimer.
Certaines de ces
affirmations ont été mises en doute depuis, mais pas toutes, voir
ici. La conclusion générale semble toujours rester une option valable.
Made
in USA ?
L’auteur présente
ensuite ses raisons de croire que le Sras-Cov-2 trouve son origine à Fort
Detrick en Virginie, USA, un site militaire étroitement lié à la CIA. Il s’agit
de la plus grande installation militaire de fabrication d’armes biologiques au
monde, et l’une de ses activités principales consiste à créer de nouveaux virus
d’origine humaine.
Fort Detrick
utilise également une technologie avancée appelée CRISPR-Cas9 pour extraire des
virus certaines séquences génétiques bien précises. Selon un article publié en 2017 dans Nature,
les équipes de Fort Detrick ont utilisé cette technologie pour extraire des
séquences virales codant pour un « site de clivage de la furine ».
Coïncidence ou pas, il s’agit selon certains chercheurs de l’inattendu
site de clivage de la furine trouvé dans le Sras-Cov-2 qui lui confère sa
virulence exceptionnellement élevée et prouve qu’il est d’origine humaine.
L’auteur rapporte des cas de maladies respiratoires
autour de Fort Detrick en juillet 2019 avec une ressemblance étonnante au Covid
dans ses symptômes et dans les analyses au laboratoire. Plus tard, fin octobre,
300 soldats américains sont arrivés à Wuhan pour les 7mes Jeux mondiaux
militaires qui se sont tenus du 18 au 27 octobre 2019. Juste avant le voyage,
certains de ces soldats américains s’étaient
entraînés à
Fort Belvoir, situé à 80 kilomètres de Fort Detrick et à 9 kilomètres de
Springfield, en Virginie — le premier foyer infectieux de la mystérieuse
maladie respiratoire. Les résultats des Américains lors de ces jeux ont été
décevants. Ils sont arrivés 35me derrière des nations comme l’Iran, la Finlande
et la Slovénie. De nombreux athlètes étrangers venus de France, de Belgique, d’Allemagne, d’Italie, de Suède, ou
du Luxembourg ont révélé qu’ils
étaient tombés malades lors de ces Jeux et ont pensé, rétrospectivement, qu’ils
avaient contracté le Covid-19. Le premier cas officiel de Covid à Wuhan date du
2 novembre, six jours après les jeux militaires.
Comme par hasard, Fort
Detrick a reçu du CDC une ordonnance de cessation et d’abstention
et fut fermé le 15 juillet 2019, treize jours seulement après le début de la
mystérieuse épidémie respiratoire à Springfield, en Virginie. Un
scientifique chevronné a décrit l’atmosphère de Fort
Detrick d’alors comme étant « marquée par la peur et la suspicion ».
Fort Detrick a ouvert à nouveau en avril 2020,
alors que la pandémie était en déclin.
Jusque-là mes citations de cet article fort
intéressant de Pierre Lescaudron.
Le virus vient donc des Etats-Unis ? En
fait, c’est peut-être plus compliqué que cela.
Made
in Wuhan ?
En
septembre, le Dr. Li-Meng
Yan – une virologiste chinoise (MD, PhD)
qui s’était enfuie du pays, abandonnant son travail à la prestigieuse
université de Hong Kong – est apparue à la télévision anglaise où elle a
maintenu que le SARS-CoV-2 a été créé en laboratoire par des scientifiques
chinois.
Dans
l’article suivant, elle présente ses découvertes et ses conclusions. Le
texte intégral de son étude se trouve à la fin de cet article sur Internet. J’en
reprends ici quelques paragraphes.
« Les
preuves montrent que le SARS-CoV-2 devrait être un produit de laboratoire créé
en utilisant les coronavirus de chauve-souris ZC45 et / ou ZXC21 comme modèle
et / ou structure élémentaire. En nous appuyant sur les preuves, nous postulons
en outre une voie synthétique pour le SRAS-CoV-2, démontrant que la création en
laboratoire de ce coronavirus est pratique et peut être accomplie en environ
six mois. »
Voici la
punchline : Le motif de liaison au récepteur du SRAS-CoV-2 Spike ne peut
pas naître dans la nature et aurait dû être créé par génie génétique.
Sa
conclusion :
La protéine
Spike, en particulier le RBM qu’elle contient, a dû être manipulée
artificiellement, suite à quoi le virus a acquis la capacité de se lier à hACE2
et d’infecter les hommes.
Ceci est soutenu
par la découverte d’un site unique de digestion par une enzyme de restriction à
chaque extrémité du RBM.
Un site
inhabituel de clivage de la furine peut avoir été introduit et inséré à la
jonction S1 / S2 de la protéine Spike, ce qui contribue à l’augmentation de la
virulence et de la pathogénicité du virus.
Ces
transformations ont ensuite eu pour conséquence que le virus du SRAS CoV-2 soit
finalement devenu un agent pathogène hautement transmissible, apparemment
caché, mortel, aux séquelles peu claires et massivement perturbateur.
De toute
évidence, la possibilité que le SRAS-CoV-2 ait pu être créé par des manipulations
de gain de fonction au WIV [le laboratoire de Wuhan] est significative et
devrait être étudiée de manière approfondie et indépendante.
Enfin, ceux qui
sont curieux de savoir comment le virus aurait pu être créé synthétiquement à
Wuhan, voici un schéma proposé par le Dr Yan expliquant toutes les étapes
nécessaires :
Le
professeur italien Giuseppe Tritto est le président de la World
Academy of Biomedical Sciences and Technologies (WABT),
l’Académie mondiale des sciences et des technologies biomédicales, une institution
fondée sous la responsabilité de l’UNESCO en 1997. Il a écrit un livre sur le
virus dans lequel il explique ses raisons pour croire que le virus a été
manipulé à Wuhan avant de s’échapper du laboratoire de haute sécurité. France-Soir
y a consacré un long article ici, et l’on peut aussi
consulter les deux articles anglophones suivants, ici et ici.
De
l’interview reproduit en France-Soir, je citerai les deux questions suivants :
Pourquoi pensez-vous que, d’un point de vue scientifique, le virus
SARS-CoV-2, responsable de la Covid, n’a pas d’origine naturelle, mais est une
chimère recombinante créée en laboratoire ?
JT : « L’hypothèse accréditée jusqu’à
présent par plusieurs scientifiques est que ce virus a été généré dans la
nature par la
combinaison d’un virus de chauve-souris et d’un virus de pangolin.
Mais, pour que cela se produise, il faudrait d’abord attendre entre 40 et 200
ans, selon les experts, et ensuite que les deux espèces concernées partagent la
même niche écologique, ce qui n’est pas le cas ici. En outre, il devrait y
avoir un
hôte intermédiaire qui contracte le virus recombiné et le transmet aux humains :
mais, en ce qui concerne le SARS-CoV-2, il n’a pas encore été trouvé. Ces
éléments suffiraient à rendre l’hypothèse d’une origine naturelle du virus
statistiquement improbable et pour l’instant scientifiquement indémontrable.
Mais, il existe un autre facteur dans le génome du SARS-CoV-2 qui rend cette
hypothèse non plausible.
Dans quel but ce virus chimique aurait-il été créé ? Comme
arme de bioterrorisme ou uniquement pour des études scientifiques ?
JT : Pour donner une réponse, nous devons
revenir en 2005.
Après l’épidémie
de SRAS, l’Institut de virologie de Wuhan a été fondé, dirigé
par la professeure Shi Zheng-Li, qui a repéré des coronavirus de certaines
espèces de chauves-souris et les a recombinés avec d’autres composants viraux
afin de créer
des vaccins.
En 2010, elle est entrée en contact avec des
chercheurs américains dirigés par le professeur Ralph Baric, qui travaille à
son tour sur des virus recombinées basés sur des coronavirus.
Grâce aux virus « mère » fournis par Shi,
Baric crée en 2015
une chimère
SARS-virus de la souris, qui a un effet pathogène sur les
cellules humaines in vitro. À partir de ce moment-là, la Chine et les
États-Unis entrent en concurrence. Shi veut travailler sur un virus plus
puissant pour fabriquer un vaccin plus performant : elle combine in vitro
un virus
de chauve-souris avec un virus de pangolin et en 2017 elle
publie les
résultats de cette recherche dans plusieurs articles scientifiques.
Ses recherches suscitent l’intérêt du secteur
militaire et médico-biologique chinois qui s’intéressent aux armes biologiques
utilisées comme moyen de dissuasion à des fins défensives et offensives.
Ainsi, Shi est soutenue par des médecins et des biologistes du milieu politico-militaire,
comme Guo Deyin, spécialiste des vaccins contre le sida et l’hépatite virale et
expert en techniques de recombinaison génétique.
L’introduction des nouveaux inserts dans le génome
du virus est le résultat de la collaboration entre l’équipe de Shi et celle de
Guo Deyin. La réalisation de cette nouvelle chimère, d’un point de vue
scientifique, est un succès. A tel point qu’une fois l’épidémie déclenchée, les
deux chercheurs ont demandé à l’OMS de l’enregistrer comme un nouveau
virus, le H-nCoV-19 (Human new Covid-19), et non comme un autre virus
dérivé du SARS. Il est raisonnable de penser que Shi a agi uniquement du point
de vue du prestige
scientifique, mais sans tenir compte des risques de
sécurité et des intérêts politico-militaires que ses recherches auraient
suscités ».
Pour
terminer
Il
n’est pas vraiment étonnant que les affirmations d’une origine humaine du virus
ne soient pas très populaires ! Suggérer que nous subissions l’effet d’une
guerre biologique, ou qu’un virus manipulé puisse s’échapper dans la nature ne
sont pas du genre à tranquilliser la population. Etre accusé de porter la
responsabilité de la pandémie, et donc la responsabilité d’autant de morts n’est
pas une perspective enviable. On comprend aisément les mesures prises par le laboratoire
Pasteur en France contre ceux qui répandaient, apparemment sans fondement, un
bruit semblable sur l’implication française.
Comment
évaluer tout ceci ? Plusieurs possibilités se présentent à nous :
1.
Laissez cette question aux spécialistes
et ne vous posez pas trop de questions. Ayez confiance en les experts.
Circulez, il n’y a rien à voir. La réponse des spécialistes – du moins, d’un
grand nombre parmi eux – est que l’origine du virus est naturelle. Mais …
2.
Le refus de vraies mesures préventives et
curatives, sans aucune explication rationnelle et malgré des preuves claires de
leur efficacité, nous encourage à rejeter cette première conclusion. Il y a un
problème. Ce virus n’est peut-être pas aussi naturel que l’on voudrait nous le
faire croire. Il est peut-être temps de délaisser toute naïveté sur la
bienveillance naturelle de ceux qui veulent à tout prix vacciner le monde
entier.
3.
S’il ne faut pas suivre aveuglément toute
théorie de complot, il faut en même temps reconnaître que la politique de salir
la réputation de quiconque ne marche pas selon la bien-pensance majoritaire –
et artificielle car organisée – est une stratégie bien rôdée. Tout médecin, peu
importe ses qualifications et sa réputation, qui ne suit pas l’opinion imposée
d’en haut est traîné dans la boue, ridiculisé et, si possible, exclu.
4.
Mais le fait d’avoir deux théories différentes
sur l’origine, n’est-ce pas la preuve de leur absence de sérieux ? Il y a
en fait trois possibilités : A. Les deux théories sont erronées et le
produit de l’imagination. B. Une des théories est juste et l’autre fausse. C.
Les deux sont justes et indiquent qu’on a travaillé en deux équipes,
indépendantes ou non, sur la création d’un tel virus. Peut-on vraiment décider
qu’A soit la seule option ? On peut vouloir l’imposer et obliger les média
à suivre, mais cela est indicatif d’une dictature.
5.
Si B ou C est vrai, cela prouve-t-il qu’il
y a une conspiration ? Pas obligatoirement. Il y a d’autres raisons
possibles pourquoi des scientifiques travaillent sur des virus – intérêt scientifique,
découverte de vaccins, ... Cependant …
6.
L’influence des gouvernements n’est
jamais très loin, ni aux USA, ni en Chine. Et dans ce cas, toute recherche
scientifique « noble » devient trouble. Avec le régime communiste
chinois – une dictature affreuse – on devrait s’interdire toute naïveté. Ce
régime est brutal et totalitaire, et il recherche la domination mondiale. Penser
que des scientifiques chinois puissent travailler dans le seul intérêt de l’humanité
traduit une incapacité profonde de jugement.
7.
Ce qui nous ramène à l’option désagréable
que ce virus constitue un élément de la guerre biologique, sans nécessairement
pouvoir le prouver ou découvrir les identités des coupables au-delà de tout
doute raisonnable. Croire cela et se tromper n’est pas vraiment très grave.
Ceux qui le croient n’ont aucun pouvoir politique réel. Mais refuser de le
croire, ou d’accepter que la possibilité existe, pourrait être autrement plus
grave, pour la simple raison que ceux qui en seraient capables ont un pouvoir
politique et économique énorme. Puis-je suggérer que le fait même de vouloir
imposer la vaccination tend à accréditer cette option ? On ne l’impose pas ?
Ou pas encore ?
Entretemps,
par une politique étrange, on a mené à l’abattoir des centaines de milliers de
gens et conduit à la ruine l’Occident. Mais qui a ensorcelé nos dirigeants ?
Qui les a aveuglé ? Et dans quel but ? Pour en arriver où ?