Voici la deuxième question d’une série de quatre. Questions que cette drôle de pandémie nous pousse, nous force à nous poser. C’est une pandémie unique en son genre. Unique par le refus d’un traitement efficace, ce qui fait dire à certains que le seul but était, est, de réduire la population. Raccourci terrifiant ? Peut-être. Mais signe que les gens ne sont pas nécessairement prêts à tout gober. On ne peut pas rejeter un traitement efficace et, en même temps, investir des millions dans un médicament, le Remdevisir, cher et inefficace. [1] Mais bon, le salut ne sera-t-il pas dans le nombre de vaccins ? Encore un bon mois et le vaccin nous délivrera du mal ! Si vous le dites !
Faut-il se faire vacciner ? La
question a un côté superflu. Bien sûr que oui ! Pour être très clair, nous
avons fait vacciner nos enfants. Nous nous faisons vacciner contre le tétanos.
Que l’on ne m’accuse donc pas d’un discours “antivax” primaire ! Mais je
ne me ferai pas vacciner contre le Covid. Laissez-moi vous expliquer mes
raisons.
Nous avons tous une vague idée du principe
derrière les vaccins qui nous vient de l’histoire d’un certain Louis Pasteur. On
inocule les gens avec un bout de maladie rendue inoffensif pour provoquer le
corps humain à former des anticorps qui nous protégeront contre la maladie dans
l’avenir. Mais cela est devenu un peu plus compliqué. Les avancées dans la
technique ont rendu possible plusieurs développements en vue d’avoir des
vaccins toujours plus efficaces. Cela a eu pour conséquence que nos vaccins
modernes ne contiennent plus la même chose qu’au passé. On y a ajouté des
adjuvants comme l’aluminium (https://www.youtube.com/watch?v=NrL384ATWUs&fbclid=IwAR0-EkNeDLrbjpDh0frC0Tg-5YyuLG1m9nhCOb1UQev7us5_a-f_5bnVk0Y), on y a incorporé des lignées cellulaires
inquiétantes et on veut agir sur le plan de la cellule avec des vaccins ARN ou
ADN. J’aimerais parler un peu des deux derniers.
Des vaccins à problème éthique
Un certain nombre de vaccins incorporent
des lignées cellulaires de fœtus avortés. Cela est le cas pour certains vaccins
destinés aux enfants. C’est aussi le cas pour nombre de vaccins contre le
Covid. Cela pose un problème éthique évident : Puis-je être opposé à l’avortement
et pourtant profiter d’un traitement ou d’un vaccin qui utilise des fœtus avortés ?
Je ne pense pas seulement au fait d’“ingurgiter” sa propre espèce
(rappelez-vous de la maladie dite de la vache folle !). Je pense surtout
aux implications morales. Si j’accepte un vaccin pour la fabrication duquel on
se sert de lignées cellulaires de fœtus avortés, mon opposition à l’avortement a-t-elle
encore un vrai fondement ? En fait, je deviendrais un hypocrite. Je suis
contre, mais pour ma santé je ferai une exception !
L’Institut européen de bioéthique (IEB) a
reproduit un article de l’Institut Charlotte Lozier aux Etats-Unis. En cet
article, vous pouvez lire l’explication de ce qu’implique une lignée de
cellules fœtales. Voici le lien : https://www.ieb-eib.org/fr/actualite/recherche-biomedicale/recherche-medicale/vaccins-contre-le-coronavirus-et-utilisation-de-cellules-de-ftus-avortes-etat-des-lieux-1922.html?backto=bulletin.
L’article donne aussi la liste des vaccins pour lesquels à un moment ou à un
autre, on s’est servi de lignées cellulaires fœtales. Vous verrez que les trois
vaccins les plus mentionnés dans le contexte belge, Pfizer, Moderna et AstraZeneca,
se trouvent tous concernés par ce problème.
La question qui se pose donc à chacun de
nous est celle-ci : Suis-je d’accord de profiter des avortements pour
mieux garantir ma propre santé ?
Pour en savoir un peu plus sur l’usage de fœtus
dans les vaccins en général, lisez l’article interpellant de Jacques Duverger :
https://bibleetsciencediffusion.org/index.php/2020/11/13/vaccinator-sortie-prochainement-en-france-par-jacques-duverger/
Oui, mais … Il y aura nécessairement des « oui,
mais » dans la mesure où c’est la peur entretenue par les média qui nous conseillent. "Moi mourir du Covid parce que le vaccin qui me sauvera a profité un peu des
avortements ?" Plus ce moi est au centre de notre vie, plus la
question rencontrera ce « oui, mais ». Cela a d’autant plus forte
raison si notre opposition à l’avortement est plus hésitante. L’idée de mourir
pour ses convictions peut nous paraître très spirituel, mais si cela tient plus
du romantique que d’une foi profonde, au moment où le choix sera mis
brutalement sous nos yeux, nous nous laisserons conduire par la pitié de
nous-mêmes, et bien de gens nous encourageront dans ce sens.
Des vaccins rapides
Les
vaccins contre le Covid ont été développés avec une grande rapidité. Est-ce un
problème ? Peut-être que l’expérience précédente de la grippe H1N1 en 2009
devrait nous inspirer un peu plus de prudence aujourd’hui. Dans un article sur
la vaccination contre cette grippe en Suède, un journal suisse, le 20 minutes, rapporte
ceci :
Un vaccin développé à la hâte ? Plus question. Comme des centaines
de jeunes compatriotes, Meissa Chebbi est narcoleptique [2] depuis une vaste campagne
contre le H1N1 qui, onze ans plus tard, entame la confiance des Suédois envers
les antidotes contre le Covid-19.
« Je ne recommencerai jamais » de prendre un vaccin développé
en urgence, « sauf si vous devez absolument le prendre, en danger de mort »,
dit à l’AFP la jeune Suédoise de 21 ans. « J’attendrai cinq ans, quand on
connaîtra les risques », affirme l’étudiante.
En 2009, les autorités sanitaires locales ont appelé les Suédois à se
faire – volontairement – vacciner contre la grippe porcine, avec le Pandemrix
produit par le laboratoire britannique GlaxoSmithKline.
Plus de 60% de la population – près de six millions de personnes – avait
répondu à l’appel, un record mondial, dans un pays où aucun vaccin n’est
pourtant obligatoire.
Mais comme Meissa, des centaines de personnes, principalement des
enfants et des jeunes adultes, ont développé une narcolepsie du fait d’un effet
secondaire du vaccin. En cause : un adjuvant dont le rôle était de
démultiplier l’effet immunitaire.
« Ça
a détruit ma vie », explique Meissa, qui avait onze ans à l’époque. « Je
m’endors tout le temps … »
La peur liée à l’urgence dans une pandémie
qui soulève de vraies inquiétudes n’est pas bonne conseillère. Surtout si un
traitement existe. Ce qui devrait nous inquiéter encore plus, c’est que l’industrie
pharmaceutique semble s’être protégée contre les effets secondaires de leurs
vaccins. C’est du moins ce qu’affirme l’article suivant de fin août 2020 :
https://archive.vn/CfRUV. En voici deux
paragraphes :
Parce qu’il y a une quasi-garantie que
dans un programme de vaccination majeur, certaines personnes seront blessées ou
même tuées par le vaccin, certains pays ont mis en place des fonds publics
spéciaux pour indemniser les personnes touchées. L’OMS soutient ce
modèle de dommages-intérêts pour les vaccins, financé par les contribuables.
Les États-Unis disposent d’un tel fonds,
tout comme de nombreux pays européens, dont le Royaume-Uni, l’Allemagne, la
Suède, l’Italie (et la France). Il pourrait être utile de vous informer sur le
système approprié dans votre propre pays si vous craignez de prendre le vaccin.
Une chose est certaine cependant : en ce qui concerne le Covid-19, les capitaux
privés ont décidé qu’ils ne voulaient être concernés en rien par les
conséquences à long terme de leurs vaccinations.
Cela a été contredit (https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2QvjCHfHeADejaW2Ey4yeMooe8m-lUbol9Q0oC_OQpldzAsJieFv2ZYS8#Echobox=1600790762). Mais cela n’enlève rien au fait que l’industrie
pharmaceutique a sérieusement essayé de se dédouaner en cas de pépin. Ce n’est
pas très rassurant.
Un nouveau vaccin
Plusieurs des vaccins en préparation
(Pfizer, Moderna, …) sont des vaccins d’un type nouveau.
Le vaccin de Pfizer fait partie des
quatre projets en développement chapeautés par le gouvernement américain.
"BNT162b2" repose, comme le vaccin de Moderna, sur la technologie de
l'ARN messager.
Comme son compatriote de Pfizer, l’"ARNm-1273"
développé par Moderna repose sur une technologie qui n’a pas encore fait ses
preuves : l’ARN messager. Les scientifiques déclenchent une réponse
immunitaire en injectant un fragment du code génétique du virus.
Quel sera l’effet à long terme de ce genre
de vaccin ? Par la force des circonstances, on l’ignore. On n’a aucun
recul. Vont-ils faire de la personne vaccinée un genre de produit OGM ? Seront-ils
efficaces et sans histoires ? Nul ne le sait. Voici le commentaire du
professeur Raoult en parlant du vaccin Moderna avec le PDG de Moderna France sur
Sud Radio le 30 novembre 2020 :
J’ai dit que le vaccin relevait de la science-fiction
pour moi; je ne vais pas rentrer dans des explications trop compliquées mais
prenez l’exemple du vaccin contre la grippe, on a mis une quinzaine d’années à
le stabiliser et encore à l’heure actuelle il n’est pas fiable à 100%. Et là,
pour une maladie qu’on connaît depuis un an à peine, certains laboratoires nous
sortent des résultats à plus de 90% ! Non mais franchement, qui peut croire une
chose pareille ? D'ailleurs où sont les études sur ces vaccins parce que je
cherche et je n’ai rien trouvé ! Non ce n’est pas sérieux du tout, certains
vont devenir milliardaire avec cette connerie qui est rabâchée par les Médias
alors quand on me demande ce que je pense du vaccin et de sa réussite, je dis
que je ne joue pas en Bourse, je pense que les Français comprendront, ils sont
moins bêtes que ce que les Politiques veulent croire...
Le professeur Christian Perronne parle d’apprentis
sorciers qui prennent les citoyens du monde pour des cobayes.
Vous l’aurez compris, je ne suis pas fan de
la vaccination contre le Covid. Et je n’ai encore rien dit des passeports
digitaux et des moyens de tracer les vaccinés.
Un de nos problèmes est notre naïveté. Nous
croyons un peu trop facilement à la bonté naturelle de l’être humain et au
caractère civilisé de nos autorités. La blouse blanche quasi unanimement
respectée, est-elle portée automatiquement par les bienfaiteurs de la race
humaine ? Tout cela n’est que fantaisie romantique. L’homme n’est pas bon
par nature et le crime se retrouve à tous les étages de l’échelle sociale.
Beaucoup semblent penser que les gens haut-placés cherchent naturellement le
bien de la plupart, et que les super riches sont fiables par définition. Mais
ce n’est pas vrai.
Y a-t-il
conspiration en haut lieu ? Forcément, même si nous en ignorons les
contours. C’est ne pas le croire qui serait naïf. Croire qu’un Bill Gates,
soutien financier numéro un de l’OMS, n’influence pas de façon déterminée et
déterminante la politique du vaccin dans le monde, c’est mettre sa tête dans le
sable. Son influence est encore plus importante à cause de son implication dans
la Global Alliance for Vaccines and Immunization (GAVI, Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation).
Jaques Duverger a écrit un article intéressant, et troublant, sur la GAVI :
https://bibleetsciencediffusion.org/index.php/2020/11/13/gavi-strategie-vaccinale-ou-strategie-politique/.
Faut-il se faire vacciner contre le Covid ?
Je ne vais pas donner une réponse à cette question. Chacun devra arriver à sa
propre réponse en examinant les faits. Ce n’est qu’ainsi que nos décisions
seront fondées sur des convictions. Ce n’est qu’ainsi que l’on pourra résister
au déluge médiatique et à la pression de nos semblables. Ce que j’ai essayé de
faire, c’est résumer sommairement les raisons derrière ma réponse à
cette question. Se faire vacciner est toujours une affaire de confiance. Quand cette confiance est entamée, persister est une folie.
Le temps est révolu où nous pouvions nous
suffire à nous appuyer sur les opinions des autres. Nous entrons dans une
période de tempête spirituelle et sociale. Seule la maison bâtie sur le roc
résistera à la déferlante de destruction qui vient.
[1] Voir l’article suivant qui résume
assez bien la situation : https://lecridespeuples.fr/2020/07/13/le-scandale-de-lhydroxychloroquine/
[2] La narcolepsie,
aussi appelée maladie de Gélineau, est un trouble de l'éveil sévère.
Cette maladie est caractérisé par des accès de sommeil irrépressibles et une somnolence excessive.
Elle persiste tout au long de la vie et va avoir un impact sur tous les aspects de la vie personnelle, professionnelle,
sociale et familiale du patient (selon le degré de sévérité).