Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

mardi 5 novembre 2024

La nature est-elle en train de nous vomir ?

 


Aujourd’hui, chaque catastrophe déclenche une avalanche d’avertissements sur le réchauffement climatique, avec moultes explications pour nous faire comprendre l’extrême urgence d’abandonner toutes sortes de choses : les voitures à énergie fossile et l’industrie automobile, les vaches et l’agriculture, l’avion etc. etc. L’avenir de la planète dépend de nos sacrifices écologiques pour drastiquement diminuer la "pollution" par le CO2. Ainsi va l’idiologie mal renseignée et dont les thèses ont été déprouvées de manière claire.

Mais on ne présente guère d’autre explication à ce qui nous arrive à répétition et se sentir démuni ne nous va pas très bien. C’est tellement réconfortant de pouvoir dire et croire qu’on va régler le problème. La mentalité d’Angela Merkel et son « Wir schaffen dass ». Mais un mauvais diagnostic doit nécessairement conduire à un mauvais traitement. Cela peut conduire à la mort du patient, et c’est probablement là que conduira le diagnostic écolo. Mais y a-t-il une autre lecture possible à ce qui nous arrive ?

Bien sûr qu’il y en a.

1.       On peut raisonner qu’il n’y a pas de crise exceptionnelle. Ce qui vient de se passer à Valence est une répétition de pareilles catastrophes à Valence durant les années 1321, 1328, 1340, 1358, 1406, 1427, 1475, 1517, 1540, 1581, 1589, 1590, 1610, 1651, 1672, 1731, 1776, 1783, 1845, 1860, 1864, 1870, 1897, 1949 ,1957 et maintenant 2024. Ce qui change est la destruction progressive du milieu par des décisions humaines, une bétonnisation irréfléchie et une croissance de la population. Le même genre d’argument est sans doute valable pour d’autres catastrophes récentes. Notons que les média officiels n’en parlent jamais. L’histoire semble être un domaine inconnu dans les rédactions dès que l’on parle climat.

2.      On peut aussi maintenir que l’homme a joué et continue à jouer un rôle direct et sinistre dans un certain nombre de catastrophes, peut-être y compris à Valence. Depuis quelques 70 ans, on cherche à influencer la pluviométrie par géo-ingénierie. On entend régulièrement parler des chemtrails. Est-ce que l’homme joue à l’apprenti sorcier et cela lui est-il en train d’exploser au visage ? On n’en parle pas – secret défense, sans doute – mais c’est devenu un secret de polichinelle.

Mais cela ne résout pas tout. Je pense aux ouragans qui se sont abattus à répétition sur la Floride. Et cela ne peut s’appliquer aussi facilement aux autres catastrophes, genres tremblements de terre et volcanisme. Et les effets sur l’agriculture sont de plus en plus marqués.

En fait, il y a une toute autre lecture possible, aujourd’hui raillée par presque tout le monde mais qui n’en est pas moins fondée et pertinente, et qui pourrait englober les autres explications sans réel problème. Cette lecture prend en compte la sagesse d’un autre âge lorsque les hommes avaient encore un peu conscience qu’ils n’étaient pas le produit du hasard et du temps. Et, du coup, qu’ils étaient redevables de leurs opinions, de leurs décisions et de leur conduite. Avant de me déclarer fou et complètement naïf, laissez-moi présenter cette autre explication à ce que notre monde est en train de vivre.

En mars 2020, au début de la pandémie du Covid, j’avais écrit un article sur mon blog sur La pandémie et la Bible. (https://alternatio.blogspot.com/2020/03/la-pandemie-et-la-bible.html) Voici le début de cet article :

« La présente pandémie, peut-elle être liée de manière directe à la Bible ? La réponse doit être négative. Il y a un lien beaucoup plus général, et j’y reviendrai. Mais il n’est pas possible de conclure que, bibliquement, c’est le déclencheur de la fin. C’est un domaine dans lequel il faut rester très prudent, sans pour autant être naïf sur ce que cette pandémie pourrait avoir comme conséquences : un contrôle bien plus draconien de la population, une pression pour créer un gouvernement mondial et la tentation d’utiliser les mêmes pouvoirs devant d’autres crises, réelles ou perçues, comme le climat.

Y a-t-il un éclairage biblique sur cette pandémie ? La question n’est pas simple. Quel risque de raccourcis et d’impasses ! Ne vaut-il pas mieux se cantonner à quelques leçons spirituelles et ne pas s’égarer dans les dédales d’une éventuelle fin de monde ? Derrière la question se pointe pourtant une autre : Qu’est-ce que Dieu cherche à nous dire à travers cette pandémie moderne ? […] Pourquoi cela arrive-t-il à notre monde et en notre temps ?

Penser que Dieu ne parle pas à travers un tel événement revient quasiment à dire qu’il ne s’occupe pas de ce monde, qu’il en est absent. Non seulement, il tient ce monde en sa main, mais il nous a aussi donné des indications sur ce qui doit arriver avant le retour de Jésus. Et ce retour arrive ! À force d’avoir refoulé les questions prophétiques par peur de tomber dans de l’extrémisme, on a perdu la capacité de discerner les temps et d’oser conclure que nous sommes effectivement entrés en cette dernière partie de l’Histoire. La pandémie est peut-être le coup de clairon qui doit nous réveiller. Christ revient, et avant son retour, des temps difficiles arriveront. »

J’y avais aussi cité les dernières paroles de la prophétie d’Ézékiel 7 :

Voici : la ruine vient, ils chercheront la paix sans pouvoir la trouver. Désastre sur désastre viendront les submerger, il y aura un afflux incessant de mauvaises nouvelles. Ils solliciteront en vain quelque révélation de la part du prophète, la loi fera défaut au prêtre et les responsables du peuple seront dépourvus de conseil. Le roi prendra le deuil, et le prince sera vêtu des habits des temps de malheur, le peuple du pays aura les mains tremblantes. C’est d’après leur conduite que je les traiterai et je les jugerai selon ce qu’ils méritent, et ils reconnaîtront que je suis l’Éternel.

Le temps qui a suivi le Covid correspond tristement à ce que j’écrivais il y a plus de quatre ans. Depuis le Covid, nous allons de crise en crise. Nous subissons l'attaque concertée du mensonge et de la guerre et cela sans aucune forme réelle de débat. Notez les six questions dominantes de ces derniers quatre ans : le Covid, l’idéologie écologique et sa destruction de l’Occident, la guerre de l’OTAN contre la Russie en Ukraine, la pression omniprésente et déstructurante de la pensée LGBT et transgenre, la guerre contre Israël et, depuis bien plus longtemps, mais toujours plus regardé comme « normal », le fléau de l’avortement. Ces questions ont totalement transformé notre société au point d’avoir créé un monde nouveau, engloutissant les hommes, les biens et le bien dans une course vers l’Apocalypse.

Mais voilà que notre planète se rebelle avec une intensité croissante. Comme si elle ne supporte plus les hommes. Des catastrophes à répétition secouent le monde tantôt ici, tantôt là-bas, semant la mort et la dévastation. Pourquoi ? Voici un texte biblique dans lequel on rappelle les mêmes choses, fût-ce à une autre échelle. Le langage nous frappe comme désuet, mais ne partez pas en riant. Car l’actualité de ces propos est déconcertante.

Tu ne coucheras pas avec la femme de ton prochain pour te rendre impur avec elle. Tu ne livreras pas l’un de tes enfants pour les sacrifices à Molok, car tu ne déshonoreras pas ton Dieu. Je suis l’Éternel. Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme ; c’est une abomination. Tu n’auras pas de rapports sexuels avec une bête pour te rendre impur avec elle. Une femme n’ira pas s’accoupler avec un animal ; c’est une dépravation. Ne vous rendez pas impurs par une de ces pratiques ; c’est en s’y adonnant que les nations que je vais déposséder en votre faveur se rendent impures. Le pays entier a été souillé, et je vais intervenir pour punir sa faute, et le pays vomira ses habitants.

Vous, au contraire, vous obéirez à mes lois et à mes ordonnances et vous ne commettrez aucun de ces actes abominables, ni l’autochtone, ni l’étranger qui réside au milieu de vous. Car toutes ces abominations ont été commises par les hommes du pays qui y ont séjourné avant vous, et le pays en a été souillé. Craignez donc qu’il ne vous vomisse, vous aussi, si vous le souillez, comme il va vomir la nation qui vous a précédés. Car tous ceux qui commettront l’un ou l’autre de ces actes abominables seront retranchés de leur peuple. (Lévitique 18.20-29)

Ce texte qui date du milieu du deuxième millénaire avant Christ rappelle au peuple d’Israël, sur le point d’entrer dans la terre promise à Abraham et à sa descendance par Isaac et Jacob, pourquoi les premiers habitants, les Cananéens, étaient en voie de disparition. Voici les raisons telles que Dieu les énumère par la bouche de Moïse :

  1.    Infidélité sexuelle rampante.
  2.    Sacrifices d’enfants.
  3.    Pratiques homosexuelles.
  4.    Zoophilie.

Quelques remarques nécessaires :

La plupart de ces choses n’ont pas vraiment besoin d’explication. Mise à part la zoophilie, dont on n’entend guère parler, ces choses sont devenues d’une très grande banalité. A tel point qu’aujourd’hui citer cela choque un nombre grandissant de personnes. Dire aujourd’hui ce que Dieu dit ici pourrait vous amener devant un tribunal dans certains pays. Mais il est hautement improbable que Dieu ait changé d’avis depuis, n'est-ce pas ?

Les sacrifices à Molok, une divinité cananéenne, souvent imaginée comme un taureau ou autre animal, dans les bras duquel, chauffés à blanc, on déposait les bébés ou petit enfants qu’on venait sacrifier. Récemment, lors de l’ouverture des Jeux du Commonwealth à Birmingham, on a repris la forme originale de cette idole dans une cérémonie dont on devrait au moins questionner le goût douteux et l’intention troublante. On tuait des petits enfants pour les sacrifier à cette idole dans une pratique hideuse que le prophète Jérémie condamne à nouveau des centaines d’années plus tard, preuve de l’attraction durable de cette horreur. Sacrifier des enfants, ses enfants, à une religion, à une idéologie, à une liberté dévoyée, est une chose étrange et contre nature. Nous la condamnons sans hésitation dans des cultures dites primitives, mais une fois revue et reformulée, toute société est capable de renouveler la même horreur. Entre pédophilie et avortement, la même frénésie destructrice se détecte aisément. La deuxième a été promue comme un droit inaliénable dans nos sociétés sophistiquées, la première … heureusement pas encore, mais certains y travaillent.

Ainsi, notre culture, je parlerai plutôt d’une inculture, pratique à grande échelle ce que Dieu condamne. Cela peut pousser à la moquerie ou à l’indignation – on rencontre les deux – mais là n’est pas la question. Il nous faut faire attention à ce qui suit. Dieu dit que le pays de Canaan vomira ses habitants à cause de ces pratiques. Je ne vous demande pas d’être d’accord avec cela ou de rester indifférent. Cela est la liberté de chacun. Mais je veux attirer votre attention sur cette condamnation étonnante.

Quand je vois et que j’entends ce qui se passe comme catastrophes terribles et toujours plus fréquentes à ce qu'il paraît, je pense à ce texte. Dieu est-il en train de nous dire quelque chose ? Notre monde est-il en train de nous vomir à cause de notre conduite ? En adoptant une conduite que Dieu condamne depuis toujours, avons-nous joué avec le feu ? Sommes-nous au début du temps où les factures nous sont présentées par le divin Huissier ? Vous savez, si vous avez laissé derrière vous « les vieux mythes » de la foi biblique en vous disant que ça ne risque pas, vous pouvez décider d’ignorer ce Dieu étrange et continuer votre vie à votre façon. Cependant, sachez que la menace pèse sur notre monde. Fermer les yeux pourrait être très coûteux.

Il vaut mieux accuser le climat, n’est-ce pas ? Se raconter qu’on peut fléchir les effets d’un réchauffement, fût-il imaginaire, en changeant de voiture, et continuer à pécher contre Dieu et contre nous-mêmes. Et nettoyer les évidences de la vomissure de notre monde sans soigner le mal. Jusqu’à ce que nous périssons. 

Relisez la citation du prophète Ézékiel ci-dessus. Et demandez-vous où sont les Cananéens.



samedi 21 septembre 2024

Le monde est « à l’aube d’une profonde transformation systémique » 'Klaus Schwab

 Sans que les média officiels n'en pipent mot, l'ONU a organisé pour ce week-end une grande réunion dans le but de changer l'ONU et de changer le monde, notre monde. Il n'est pas de trop que de qualifier ce projet d'étape importante vers un gouvernement mondial et vers la société de l'Antichrist annoncé. 

Mais tout ce qu'on vous dit se résume au sport, à la musique et à la condamnation d'Israël, des Juifs. C'est comme si on nous dit : "Oubliez-nous, svp, et nous ne vous oublieront pas."

Dans ces deux articles, rappelez-vous que l'obsession du climat est non-fondée. C'est une excuse pour mieux vous emprisonner.


La plupart des gens n’ont aucune idée que « le sommet de l’avenir » créera une ONU 2.0


Le 8 septembre 2024 par Michael Snyder

 

L’ONU veut avoir un plus grand contrôle sur les affaires mondiales, et le « Pacte pour l’avenir », qui doit être adopté lors du « Sommet de l’avenir » qui se tiendra ces 22 et 23 septembre, contribuera grandement à faire de ce projet une réalité. Mais même si le « Sommet de l’avenir » n’est qu’à quelques jours, presque personne n’en parle et les médias grand public l’ignorent presque entièrement. D’énormes décisions qui pourraient affecter considérablement l’avenir de tous les habitants de la planète sont sur le point d’être prises, et la quasi-totalité de la population n’a absolument aucune idée de ce qui se passe.

C’est exactement ce que les mondialistes aiment. Ils ne veulent pas que le grand public soit au courant de leur programme alors qu’ils le font avancer sans relâche.

Selon le site officiel de l’ONU, l’idée du Sommet de l’avenir a été « conçue au plus fort de la pandémie de COVID-19 » il y a quatre ans :

En 2020, l’ONU a fêté ses 75 ans et a marqué l’occasion en lançant un débat mondial sur les espoirs et les craintes pour l’avenir.

Ce fut le début d’un processus qui allait finalement aboutir, quatre ans plus tard, à la convocation du Sommet du futur, un événement majeur qui se tiendra en septembre prochain au siège de l’ONU, juste avant le débat annuel de haut niveau de l’Assemblée générale.

Le Sommet a été conçu au plus fort de la pandémie de COVID-19, alors que l’ONU avait le sentiment que, plutôt que de coopérer pour faire face à cette menace mondiale qui nous affectait tous, les pays et les peuples s’étaient séparés.

Tout cela semble très bien jusqu’à ce que l’on commence à creuser les détails.

Il existe une page spéciale consacrée au Sommet du futur sur le site Web de l’ONU, et elle nous dit que ce sommet sera une « occasion unique en une génération » de créer un « nouveau consensus international » :

Le Sommet est un événement de haut niveau, qui rassemble les dirigeants mondiaux pour forger un nouveau consensus international sur la manière dont nous pouvons offrir un meilleur présent et préserver l’avenir.

Une coopération mondiale efficace est de plus en plus essentielle à notre survie, mais difficile à réaliser dans une atmosphère de méfiance, en utilisant des structures obsolètes qui ne reflètent plus les réalités politiques et économiques d’aujourd’hui. Cette opportunité qui ne se présente qu’une fois par génération est l’occasion de rétablir la confiance et de démontrer que la coopération internationale peut atteindre efficacement les objectifs convenus et faire face aux menaces et opportunités émergentes.

Quand vous dites que quelque chose est une « opportunité qui ne se présente qu’une fois par génération », c’est assez dramatique.

Quels sont les objectifs qu’ils espèrent atteindre exactement ?

L’ONU dit que le Sommet du futur se concentrera sur cinq domaines principaux :

L’événement sera composé de sessions et de plénières autour de cinq axes principaux (le développement et le financement durables ; la paix et la sécurité ; un avenir numérique pour tous ; la jeunesse et les générations futures ; et la gouvernance mondiale), ainsi que d’autres sujets qui touchent à l’ensemble du travail de l’ONU, notamment les droits de l’homme, l’égalité des sexes et la crise climatique.

C’est ce cinquième domaine qui me préoccupe le plus.

La « Gouvernance mondiale » n’est qu’une façon élégante de dire « gouvernement mondial », et il semblerait qu’il existe de grands projets pour changer la façon dont l’ONU fonctionne.

Sur le site Internet de l’ONU, il y a un PDF intitulé « SOMMET DU FUTUR 2024 : QUEL BUT ATTEINDRA-T-IL ? », et il n’a pas été facile pour moi de le trouver.

Sur la deuxième page de ce PDF, il y a une section intitulée « TRANSFORMER LA GOUVERNANCE MONDIALE », et elle contient des plans très alarmants pour une ONU bien plus forte que celle que nous avons aujourd’hui :

Un Conseil de sécurité avec une composition et des méthodes de travail actualisées, lui permettant d’être plus efficace, plus représentatif et plus fiable. Une Assemblée générale revitalisée avec un rôle plus important dans la paix et la sécurité et l’aspiration àtrouver une femme Secrétaire générale. Un ECOSOC plus fort et des mesures en faveur de la revitalisation de la Commission de la condition de la femme. Une Commission de consolidation de la paix renforcée qui établit des liens plus efficaces avec d’autres acteurs, notamment les institutions financières internationales.

Un pilier des droits de l’homme de l’ONU renforcé, mieux doté en ressources et mieux coordonné. Une ONU qui utilise efficacement l’innovation, les données, les outils numériques, la prospective et les sciences (comportementales) (ONU 2.0) et un système de développement de l’ONU financé de manière durable. Des partenariats approfondis entre l’ONU et d’autres parties prenantes, notamment la société civile, le secteur privé, les organisations régionales, les parlements nationaux et les autorités locales et régionales.

Quand avons-nous eu l’occasion de débattre de tout cela ?

Si l’ONU doit apporter des changements radicaux au fonctionnement de l’ONU, n’est-ce pas quelque chose dont nos dirigeants devraient parler ?

Je n’aime particulièrement pas le terme « ONU 2.0 ».

Je ne sais pas exactement ce que ce terme signifie, mais je ne veux pas en faire partie.

Les changements que l’ONU prévoit de mettre en œuvre immédiatement sont reflétés dans un document connu sous le nom de « Pacte pour l’avenir » qui devrait être adopté lors du « Sommet de l’avenir ».

L’un des aspects les plus inquiétants du « Pacte pour l’avenir » est qu’il semble donner à l’ONU un rôle central lors de tout futur « choc mondial » :

Le troisième projet du Pacte pour l’avenir a été publié le 27 août et est actuellement examiné par les États membres de l’ONU. Ce projet poursuit la discussion autour des « chocs mondiaux » et de la manière dont ces chocs nécessiteront une réponse mondiale.

Par exemple, une section intitulée « Nous renforcerons la réponse internationale aux chocs mondiaux complexes » stipule qu’il est nécessaire d’avoir une « réponse internationale coordonnée et multidimensionnelle aux chocs mondiaux complexes et le rôle central des Nations Unies à cet égard ».

L’ONU définit les « chocs mondiaux complexes » comme des événements qui « ont des conséquences gravement perturbatrices et néfastes pour une proportion significative de pays et de la population mondiale ». Ces chocs nécessiteraient une « réponse multidimensionnelle, multipartite, et de l’ensemble du gouvernement et de la société ».

Essayez un instant d’imaginer ce que serait l’ONU si elle devait prendre les décisions lors de la prochaine pandémie mondiale. Je ne pense pas que ce soit quelque chose que nous souhaitons tous.

En cas de « choc mondial », l’ONU se verrait apparemment accorder des pouvoirs d’urgence « pour une période déterminée » :

Ces chocs potentiels nécessiteraient l’activation de « plateformes d’urgence » qui pourraient donner à l’ONU plus de pouvoir pour répondre à ces urgences apparentes. Le document indique que l’ONU présentera aux États membres « des protocoles pour la convocation et la mise en œuvre de plateformes d’urgence basées sur des approches flexibles pour répondre à une série de chocs mondiaux complexes différents ».

Alors que l’ONU affirme que ces plateformes d’urgence ne seront « convoquées que pour une période déterminée » et ne seront pas une institution ou une entité permanente en ce qui concerne la souveraineté nationale, les critiques de l’ONU craignent que ces plateformes d’urgence ne soient saisies et utilisées pour accorder à l’ONU de nouveaux pouvoirs juridiques.

Si le Pacte pour l’avenir est adopté, ce sera l’ONU qui déterminera quand un « choc mondial » se produira. Et ce sera aussi l’ONU qui décidera quand il faudra lui accorder des pouvoirs d’urgence et pendant combien de temps ces pouvoirs devront être en vigueur.

Il va sans dire que c’est un cauchemar qui attend d’arriver.

Personnellement, je tire la sonnette d’alarme à ce sujet depuis longtemps. J’ai écrit sur le Sommet de l’avenir et le Pacte pour l’avenir dans un livre que j’ai publié l’année dernière, et qui a contribué à informer beaucoup de gens sur ce que l’ONU prépare.

Malheureusement, presque personne d’autre n’en parle, et donc 99% de la population n’a aucune idée de ce qui se passe.

Les 22 et 23 septembre, le Sommet de l’avenir aura lieu et le Pacte pour l’avenir sera adopté, et les changements qui sont sur le point de se produire pourraient avoir des conséquences énormes pour chaque homme, femme et enfant de la planète entière.

 

https://endoftheamericandream.com/most-people-have-no-idea-that-the-summit-of-the-future-will-create-un-2-0-on-september-22nd-and-23rd/

 

Klaus Schwab affirme que le monde est « à l’aube d’une profonde transformation systémique »

 

Le dernier rapport du Forum économique mondial identifie la transition vers « l’ère intelligente », la montée de la « désinformation » et les changements démographiques vers un monde vieillissant comme des facteurs clés conduisant à une « profonde transformation systémique ».

Tim Hinchliffe

Ven 13 sept. 2024 - 7 h 00 HAE

 

(The Sociable) — Le fondateur du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, affirme que le monde subit une profonde transformation systémique motivée par cinq changements interconnectés.

Dans l’introduction du rapport annuel 2023-2024 du WEF, le fondateur du WEF a déclaré que nous vivions une époque de transformation et que plusieurs facteurs étaient à l’origine de cette transformation systémique :

Nous sommes à l’aube d’une profonde transformation systémique motivée par des changements interconnectés dans un monde en évolution rapide.

Les cinq « changements interconnectés » comprennent :

         La transition de l’ère industrielle à l’ère intelligente,

         La transition conflictuelle d’un monde unipolaire à un monde multipolaire,

         La nécessité d’une transition vers une économie verte,

         Les changements démographiques d’un monde jeune à un monde vieillissant,

         La polarisation sociétale et la montée de la désinformation.

Examinons ces transitions une par une, en commençant par ce que l’on appelle « l’ère intelligente ».

L’« ère intelligente » a été inventée par Schwab lui-même lors du Sommet mondial des gouvernements de cette année, qui s’est tenu en février dernier à Dubaï, aux Émirats arabes unis.

Là, le mondialiste non élu a déclaré que la quatrième révolution industrielle – qui conduira à la fusion de nos identités physiques, biologiques et numériques – alimentait une transition mondiale de l’humanité vers une nouvelle ère appelée l’Âge intelligent dans laquelle « l’humanité bénéficiera de beaucoup plus d’opportunités et de possibilités ».

Nous parlons de la transition de l’humanité vers une nouvelle ère, qui ne se caractérise pas seulement par le changement technologique […] Nous avons d’abord connu la transition de la société agricole à la société industrielle il y a environ cent ans, mais aujourd’hui nous parlons de la transition vers ce que j’appellerais « l’ère intelligente ».

J’avais environ 20 pages de texte, et j’ai demandé à ChatGPT : «Résumez le texte et dites-moi maintenant, sur la base de notre discussion, à quoi ressemblera la nouvelle ère – l’ère intelligente ». — Klaus Schwab, World Governments Summit, 2024

Schwab a insufflé son idée d’un âge intelligent dans ChatGPT, et voici ce que ChatGPT lui a dit :

En envisageant un avenir propulsé par les technologies de la quatrième révolution industrielle, nous voyons une NOUVELLE AUBE de la civilisation humaine – une aube qui harmonise la technologie avec les besoins et aspirations les plus profonds de l’humanité.

Cette mission se déroule au sein d’une société où l’intelligence artificielle, la robotique, l’Internet des objets, l’impression 3D, le génie génétique, l’informatique quantique deviennent les fondements de notre vie quotidienne, tout en étant guidés par un profond respect des valeurs humaines, de la créativité et du monde naturel.

Le paysage géopolitique passe d’un monde unipolaire dominé par une seule superpuissance à une réalité multipolaire avec de multiples nations influentes. — Klaus Schwab, Rapport annuel du WEF, 2023-2024

Pendant le prochain changement interconnecté dans le rapport annuel 2023-2024 du WEF, Schwab parle d’un passage d’un monde unipolaire à un monde multipolaire.

Le WEF prévoit cette transition depuis de nombreuses années.

Si vous vous souvenez de la célèbre vidéo de 2016 qui déclare « Vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux », vous vous souviendrez également qu’une autre des « 8 prédictions pour le monde en 2030 » du WEF déclare également :

La domination des États-Unis est terminée. Nous avons une poignée de puissances mondiales. Les États-nations auront fait leur retour :

Les États-Unis ne seront pas la première superpuissance mondiale. Une poignée de pays domineront.

Aujourd’hui, huit ans après cette déclaration pronostique, Schwab affirme que la transition d’un monde unipolaire à un monde multipolaire « apporte à la fois des opportunités de coopération mondiale diversifiée et des défis découlant de tensions géopolitiques accrues ».

« Équilibrer les intérêts nationaux avec la stabilité mondiale nécessite une diplomatie nuancée et une collaboration internationale », ajoute-t-il dans le dernier rapport annuel.

Ce changement, selon Schwab, est le résultat d’un conflit.

Un conflit peut signifier beaucoup de choses, comme des conflits entre nations comme la course aux armements technologiques entre les États-Unis et la Chine, la guerre Ukraine-Russie ou la situation israélo-palestinienne sans fin.

Il peut également signifier la détérioration des nations par des troubles civils, des politiques de frontières ouvertes ou l’effondrement des économies par des programmes de zéro émission nette et une inflation paralysante.

Les cyber-pandémies et les urgences de santé publique de portée internationale pourraient également correspondre au profil de « conflit » menant à un monde multipolaire.

Le changement climatique et la dégradation de l’environnement nous obligent à passer à une économie verte. — Klaus Schwab, Rapport annuel du WEF, 2023-2024

Le prochain changement interconnecté de Schwab qui propulse une profonde transformation systémique est ce qu’il appelle une « transition vers une économie verte ».

Selon Schwab, « l’urgence de lutter contre le changement climatique n’est pas seulement un impératif moral, mais aussi une voie vers la résilience économique et l’innovation ».

Le changement climatique, et plus particulièrement le carbone, les combustibles fossiles et les gaz à effet de serre, ont toujours été les épouvantails des mondialistes non élus.

Si, dans l’ère post-pandémique, nous décidons de reprendre nos vies comme avant (en conduisant les mêmes voitures, en prenant l’avion vers les mêmes destinations, en mangeant les mêmes choses, en chauffant notre maison de la même manière, etc.), la crise de la COVID-19 aura été un gaspillage en ce qui concerne les politiques climatiques. — Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : The Great Reset, 2020

Comment se fait-il que moins de quatre mois après que l’OMS ait déclaré que la COVID-19 avait atteint le statut de pandémie en mars 2020, Klaus Schwab et Thierry Malleret aient déjà publié leur livre, « COVID-19 : The Great Reset », dans un laps de temps aussi court – le 9 juillet 2020 ?

Si vous lisez entre les lignes, il devient de plus en plus clair que le soi-disant programme de la grande réinitialisation allait toujours utiliser le changement climatique comme catalyseur :

Certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà en première ligne de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir profiter du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus vastes. Ils feront, en effet, « bon usage » de la pandémie en ne laissant pas la crise se perdre.

Lorsque la COVID est arrivée, le WEF a repris bon nombre des résultats qu’il souhaitait obtenir avec le changement climatique – moins de déplacements en voiture et en avion, contrôle des discours et surveillance numérique de suivi et de traçage – et les a imposés à la réponse à la pandémie, de sorte que les différences dans les résultats souhaités sont devenues presque indiscernables.

En fait, la grande réinitialisation est un programme pré-pandémique « vérifié » comme un plan de relance post-COVID.

Dans le rapport annuel 2023-2024 du WEF, Schwab déclare que la lutte contre le changement climatique et la transition vers une économie verte sont un « impératif moral » – un impératif qui ne peut être résolu que par « des efforts coordonnés entre les gouvernements, les entreprises et la société civile ». En d’autres termes, Schwab appelle à la fusion des entreprises et de l’État, ce que l’on appelle aussi le fascisme et le corporatisme, ainsi qu’à la société civile – qui se compose de technocrates, d’universitaires et d’ONG non élues comme le Forum économique mondial, pour agir en notre nom dans le meilleur intérêt de la société :

Les tendances démographiques révèlent un monde en transition d’une population majoritairement jeune vers des sociétés vieillissantes, avec des disparités géographiques importantes.

Le prochain changement de transformation de Schwab concerne le vieillissement de la population et les disparités géographiques.

Il affirme que « ces changements ont un impact sur les marchés du travail, les systèmes de santé et les structures de sécurité sociale. De plus, ces changements démographiques influencent les schémas de migration, présentant à la fois des défis et des opportunités pour favoriser la croissance inclusive et la cohésion sociale. »

Il y a aussi un élément technologique dans le vieillissement et même la diminution des populations.

S’exprimant lors de la réunion spéciale du Forum économique mondial de cette année sur la collaboration mondiale, la croissance et le développement énergétique à Riyad, en Arabie saoudite, le PDG de BlackRock, Larry Fink, a déclaré que les pays développés dont la population diminue seraient mieux préparés aux problèmes sociaux qui découlent du « remplacement des machines par des humains ». Fink a soutenu que les pays développés dont la population diminue seraient les « grands gagnants » en ce qui concerne la qualité de vie, car ils disposeront de toutes les technologies pour stimuler la productivité et élever leur niveau de vie :

Je peux affirmer que dans les pays développés, les grands gagnants sont les pays dont la population diminue […] Ces pays développeront rapidement la robotique, l’IA et la technologie […] Les problèmes sociaux que l’on rencontrera en remplaçant les machines par des humains seront beaucoup plus faciles à résoudre dans les pays dont la population décline.[1]

Pour Fink, moins de personnes signifie une meilleure qualité de vie dans le monde développé grâce à l’automatisation.

Pour les populations croissantes du monde en développement, en particulier en Afrique, l’éducation sera essentielle, selon le PDG de BlackRock.

« Le paradigme de la croissance démographique négative va changer, et les problèmes sociaux que l’on rencontrera en remplaçant les machines par des humains seront beaucoup plus faciles à résoudre dans les pays dont la population décline », a déclaré Fink.

« Pour les pays dont la population augmente, la réponse sera l’éducation – pour les pays qui n’ont pas de fondement en matière d’État de droit ou d’éducation, c’est là que le fossé va devenir de plus en plus extrême », a-t-il ajouté.

Dans un monde de plus en plus complexe et en évolution rapide, les sociétés connaissent une polarisation accrue à mesure que les gens cherchent à réaffirmer leur identité. Cela se manifeste par des divisions culturelles, politiques, idéologiques et sociales et par la montée de la désinformation. — Klaus Schwab, Rapport annuel du WEF, 2023-2024

Et pour compléter les cinq changements interconnectés de Schwab menant à une transformation systémique, il y a la désinformation.

Et quelle meilleure façon de s’assurer que nous sommes tous sur la même longueur d’onde que de qualifier de « désinformation » tout ce qui ne correspond pas au discours des mondialistes non élus !

Selon le rapport 2024 du WEF sur les risques mondiaux, les fausses informations sont la principale préoccupation mondiale pour les deux prochaines années, mais personne n’est plus coupable de diffuser de fausses informations et de détruire la confiance que les mondialistes non élus du WEF et leurs partenaires publics et privés.

La désinformation et la mésinformation diffusées par des mondialistes non élus, des gouvernements, des grandes sociétés pharmaceutiques, des grandes entreprises technologiques et des soi-disant experts en santé publique à partir de 2020 ont conduit à une société à deux vitesses où les personnes qui ont décidé de ne pas prendre le soi-disant vaccin ont perdu leur emploi et ont été interdites de participer à de nombreux aspects de la société tandis que les petites entreprises ont été fermées en raison des confinements, et le monde a connu le plus grand transfert de richesse des classes inférieures vers les classes supérieures de toute l’histoire de l’humanité.

De nombreuses vies ont été ruinées tandis que les plus puissants continuaient de s’enrichir.

Dans le rapport annuel 2023-2024 du WEF, Schwab a déclaré que pour lutter contre la polarisation et la désinformation, « il faut favoriser des dialogues inclusifs, promouvoir la compréhension mutuelle et créer des environnements où des points de vue et des identités divers peuvent coexister harmonieusement ».

Mais le WEF ne souhaite pas une telle diversité de points de vue :

Une plus grande réglementation des réseaux sociaux et une meilleure protection contre les fausses informations pourraient contribuer à soulager les individus de la charge de filtrer la mésinformation ou la désinformation et à placer la responsabilité sur le gouvernement ou les entreprises qui supervisent ces réseaux.

Afin de protéger leurs récits, le WEF appelle les entreprises et les gouvernements à réglementer la désinformation sur les réseaux sociaux.

En retirant aux individus la responsabilité de filtrer la désinformation, ils ne veulent pas que vous réfléchissiez et décidiez par vous-même – ce serait une responsabilité trop lourde à assumer.

Au lieu de cela, vous devriez externaliser votre réflexion critique et donner toute votre confiance aux bureaucrates du gouvernement et aux technocrates non élus.

À partir de l’année prochaine, Schwab quittera son rôle de président exécutif du WEF pour devenir président du conseil d’administration.

Le WEF tiendra sa prochaine réunion, les Sustainable Development Impact Meetings, du 23 au 27 septembre.

 

Reprinted with permission from The Sociable.

https://www.lifesitenews.com/analysis/klaus-schwab-says-world-is-on-the-cusp-of-a-profound-systemic-transformation/

 


vendredi 30 août 2024

La lâcheté morale de l’Église

Le grand rabbin d'Afrique du Sud accuse les "chefs" du monde chrétien.
Nous ferions bien de l'écouter avec soin.

 


Melanie Phillips

30 août 2024

 

Le grand rabbin d’Afrique du Sud, le Dr Warren Goldstein, a une fois de plus fait entendre des vérités cruciales que d’autres ont honteusement ignorées.

Il a accusé le pape François et l’archevêque de Canterbury, Justin Welby, d’être indifférents au meurtre de chrétiens noirs en Afrique et à la menace terroriste en Europe tout en étant « carrément hostiles » aux tentatives d’Israël de combattre les forces djihadistes dirigées par l’Iran.

« Le monde est enfermé dans une bataille de valeurs civilisationnelles, [1] menacé par le terrorisme et le djihad violent », a déclaré Goldstein. « À un moment où l’avenir même de l’Europe est en jeu, ses deux plus hauts dirigeants chrétiens ont abandonné leur devoir le plus sacré de protéger et de défendre les valeurs de la Bible. Leur lâcheté et leur manque de clarté morale menacent le monde libre. »

Les accusations virulentes de Goldstein étaient justes.

Les chrétiens d’Afrique sont victimes de massacres barbares et de persécutions de la part des islamistes depuis des décennies. Il y a deux ans, Portes Ouvertes, une organisation qui soutient les chrétiens persécutés, observait : « En vérité, il existe très peu de pays musulmans – ou de pays à forte population musulmane – où les chrétiens peuvent éviter l’intimidation, le harcèlement ou la violence. »

En janvier 2024, un rapport de Genocide Watch confirmait que, depuis 2000, 62.000 chrétiens au Nigeria ont été assassinés par des groupes islamistes dans le cadre d’une tentative continue d’exterminer le christianisme. En outre, plus de 32.000 musulmans nigérians noirs modérés et individus non religieux ont été massacrés.

Selon un rapport de 2020 de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, les chrétiens du Myanmar, de Chine, d’Érythrée, d’Inde, d’Iran, du Nigeria, de Corée du Nord, du Pakistan, de Russie, d’Arabie saoudite, de Syrie et du Vietnam sont persécutés.

Ces faits ont été rapportés en juin par Peter Baum pour The Daily Blitz. Pourtant, les médias grand public ignorent presque totalement ces atrocités. Il n’y a pas de manifestations dans les villes occidentales pour accuser ces pays de faciliter les crimes contre l’humanité. Il n’y a pas de pétitions inspirées par des ONG à la Cour internationale de justice (CIJ) pour déclarer ces pays et ces groupes coupables de génocide.

Au lieu de cela, les médias et les élites occidentales diabolisent Israël comme le paria du monde pour s’être défendu contre ces islamistes génocidaires. Ce double standard unique et flagrant est la marque de fabrique de l’antisémitisme classique.

L’attitude des dirigeants de l’Église est encore plus étonnante. Les centaines de milliers de victimes de cette persécution sont leurs fidèles. Le but de cet assaut est la destruction totale de la foi qu’ils dirigent.

Pourtant, Welby et le pape n’ont guère exprimé plus que des expressions occasionnelles d’inquiétude mesurée. Et même là, ils refusent généralement de nommer ce qui se passe par son nom propre – la guerre islamiste pour éradiquer le christianisme et détruire l’Occident.

La guerre de dix mois menée par l’Iran et ses mandataires contre Israël après le pogrom du 7 octobre est un front crucial dans cette attaque contre la civilisation occidentale. Pourtant, comme l’a dit Goldstein, le pape et Welby sont restés passifs pendant que les chrétiens africains étaient « massacrés par des groupes djihadistes ayant des liens directs avec les ennemis d’Israël à Gaza et en Cisjordanie ».

L’idéologie djihadiste, a-t-il dit, constitue également un danger clair et présent pour l’Europe. En raison des politiques d’ouverture des frontières, les immigrants ont afflué au Royaume-Uni et dans toute l’Europe, beaucoup d’entre eux « brandissant une idéologie djihadiste violente profondément hostile au christianisme, à la démocratie libérale et aux valeurs occidentales ».

Le résultat a été une montée de l’antisémitisme qui a laissé les Juifs de la diaspora dans la peur. Pourtant, sur l’idéologie qui alimente cet assaut civilisationnel, Welby et le pape sont restés silencieux. Au lieu de cela, ils ont recyclé la propagande des islamistes qui diabolise et délégitime Israël par des mensonges.

En décembre dernier, le pape a qualifié de « terrorisme » la guerre d’autodéfense menée par Israël à Gaza contre le génocide.

Le mois dernier, Welby a approuvé l’avis consultatif de la CIJ selon lequel l’occupation des « territoires palestiniens » par Israël était illégale. L’avis de la Cour, qui devait tout à la politique et pratiquement rien au droit, était entièrement basé sur des mensonges et des distorsions.

Pourtant, Welby a commenté, avec une passion qui lui manque totalement lorsqu’il parle du massacre des chrétiens en Afrique, qu’Israël était coupable de « discrimination systématique » ; qu’il « refusait au peuple palestinien la dignité, la liberté et l’espoir » ; et que « mettre fin à l’occupation est une nécessité légale et morale ».

Tout cela était un mensonge. Israël n’occupe pas illégalement les zones contestées de la « Cisjordanie » de Judée et de Samarie. Au contraire, les Juifs sont le seul peuple à avoir un droit légal à de nombreux égards – depuis les termes du Mandat de 1922 sur la Palestine, puis par le biais des lois internationales d’autodéfense et de celles permettant la rétention de territoires qui sont toujours utilisés à des fins belliqueuses – sur ce qui est aujourd’hui Israël, la « Cisjordanie » et Gaza.

Alors pourquoi le pape et l’archevêque se livrent-ils à une perversité aussi impie ? La raison est en partie psychologique, en partie politique, mais surtout théologique.

Il y a d’abord la peur de contrarier le monde musulman et, par conséquent, de provoquer encore plus de persécutions contre les chrétiens.

Deuxièmement, il y a une auto-flagellation intériorisée correspondant aux libéraux occidentaux qui se flagellent eux-mêmes pour leur « privilège blanc ». En 2020, Welby a déclaré qu’il avait honte de l’attitude anglicane envers les Noirs et a déclaré que l’Église était « profondément raciste institutionnellement ». Le pape, un acolyte de la « théologie de la libération » de gauche, a un état d’esprit anti-occidental similaire.

La raison profonde, cependant, est théologique. Cela a été mis en lumière par le défi le plus aigu de tous que Goldstein a lancé à l’archevêque de Canterbury.

En soutenant la décision de la CIJ selon laquelle la « Cisjordanie » et Jérusalem-Est sont des « territoires occupés » sur lesquels l’État juif n’a aucun droit légitime, a déclaré Goldstein, Welby rejetait en fait la Bible – qui, en plus de la théologie, est un livre de faits historiques.

En effet, selon Goldstein, les frontières d’Israël, qui sont décrites à plusieurs reprises dans la Torah comme étant la parole de Dieu, incluent les anciennes terres de Judée et de Samarie qui, avec Jérusalem, figurent également dans d’autres livres de la Bible comme le royaume historique d’Israël.

Le principal défi de Goldstein n’était cependant pas politique ou juridique, mais religieux. Dans la Bible, la promesse de Dieu aux Juifs de toute la Terre d’Israël est un « serment éternel », une « alliance inconditionnelle ». Pour un croyant religieux, cela doit remplacer tout le reste sans limite de temps.

Pourtant, l’approbation par Welby de la décision de la CIJ selon laquelle Israël était en occupation illégale suggérait qu’il ne considérait pas la parole de Dieu comme éternellement contraignante. Welby était-il donc vraiment un croyant religieux, se demandait le rabbin, ou considérait-il la promesse de Dieu comme un simple mythe?

Cela touche directement au cœur de l’attitude impie de Welby – le problème profond et durable que certains chrétiens ont avec le judaïsme lui-même.

Les chrétiens fidèles aux Écritures hébraïques aiment les Juifs et soutiennent Israël, sachant que le christianisme dérive du judaïsme. D’autres chrétiens, qui n’ont pas un tel respect pour les Écritures hébraïques, n’ont pas un tel amour pour les Juifs.

Pour ces chrétiens, le refus implacable des Juifs d’accepter la divinité de Jésus représente un reproche éternel adressé à l’Église pour avoir répudié son parent spirituel. Cela crée des tensions internes sur la question de savoir si le christianisme peut réellement être justifié.

Le cœur de l’antisionisme chrétien est donc la perception par certains chrétiens que les Juifs représentent un défi permanent à la foi chrétienne elle-même.

Ces chrétiens ne peuvent pas reconnaître que le monde musulman représente une menace, car cela signifierait reconnaître la victimisation musulmane des Juifs. Ces chrétiens ne peuvent pas accepter que les Juifs soient victimes de guerres de religion, car les personnes qui ont persécuté les Juifs bien plus que les musulmans étaient les chrétiens, dont la tentative d’éliminer la contestation juive du christianisme a abouti à des siècles de massacres de juifs à travers l’Europe.

Et donc, alors que les islamistes d’aujourd’hui assassinent des chrétiens et des Juifs, tentent de conquérir l’Occident et représentent une menace terrifiante pour la civilisation elle-même, les dirigeants chrétiens européens ont décidé de se débarrasser de leur parent juif et d’embrasser leur assassin islamiste.

Ils ont abandonné le peuple juif parce qu’ils ont abandonné la Bible hébraïque et avec elle la défense du christianisme et de l’Occident.

 

https://melaniephillips.substack.com/p/the-moral-cowardice-of-the-church?publication_id=77655&post_id=148294067&isFreemail=true&r=8t6ei&triedRedirect=true

 



[1] “[L]orsque Joe Biden, ou Kamala Harris, ou Justin Trudeau, ou U.K. PM Keir Starmer parlent de ‘nos valeurs’, ils ne parlent pas de l’héritage chrétien de notre civilisation commune. Ils parlent d’avortement à la demande, du mois de la Pride, et de tous ces privilèges pelviens de la révolution sexuelle,” Jonathon van Maren.


mardi 13 août 2024

Vivons-nous vraiment la fin des temps ?

 

De temps à autre, il est utile de vérifier où l'on en est dans notre monde en comparaison avec ce que dit la Bible. Le but n'est pas de faire peur,
bien qu'il y a de quoi !, mais de devenir sobre en vue de la prière.

Le 11 août 2024 

Michael Snyder


Est-il possible que Jésus nous ait spécifiquement mis en garde il y a près de 2000 ans contre l’époque dans laquelle nous vivons ? Vous avez peut-être remarqué que les événements mondiaux ont commencé à échapper à tout contrôle ces derniers temps. Normalement, l’été est une période où les choses sont relativement calmes. En ce qui concerne le secteur de l’information, août est censé être le mois le plus calme de tous, car une grande partie du monde est en vacances. Mais cela n’a certainement pas été le cas en 2024. Selon le journaliste Simon Tisdall, ces dernières semaines, nous avons connu un « pic de volatilité, d’instabilité et d’insécurité sans précédent ces derniers temps » :

Août est le mois le plus calme – pour reprendre les mots de TS Eliot – du moins, c’est ce que pensaient les rédacteurs en chef. Les politiciens partent en vacances, les gouvernements ferment, les gens se dirigent vers les collines ou la plage. Il ne se passe pas grand-chose. Ce n’est pas le cas cet été. Le monde connaît ce mois-ci un pic extraordinaire de volatilité, d’instabilité et d’insécurité, sans précédent ces derniers temps. C’est effrayant, c’est choquant, c’est une course folle.

Les révolutions soudaines, les guerres en cours et imminentes, les crimes terribles, les querelles à enjeux élevés, les famines, les crises du coût de la vie, les émeutes violentes et les paniques boursières insondables ne se produisent pas comme des espions isolés mais par bataillons. Dans un monde où la destruction mutuelle, imprégnée de cruauté et de désespoir, est un passe-temps favori des humains, les sombres paysages de La Terre vaine d’Eliot nous font à nouveau signe.

Il a raison.

Mais ce n’est pas parce que les choses ont été folles ces derniers temps que nous vivons la fin des temps. Si nous vivons vraiment la fin des temps, il y a certains signes très spécifiques que nous devrions voir.

Dans Matthieu 24.6-8, Jésus parle de certains de ces signes :

Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres. Gardez-vous d’être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs.

Bien sûr, il y a eu des guerres, des famines, des pestes et des catastrophes naturelles tout au long de l’histoire humaine.

Si nous vivons vraiment à la fin des temps, tous ces éléments devraient se produire simultanément, et l’intensité de chaque élément devrait être à un niveau très élevé.

 

Parlons d’abord de la guerre. Selon l’Institute for Economics & Peace, il y a eu 56 conflits militaires actifs dans le monde l’année dernière. C’est le nombre le plus élevé dont nous ayons été témoins depuis la Seconde Guerre mondiale :

Ukraine, Gaza, Soudan, Éthiopie, Afghanistan, Syrie, République démocratique du Congo, Colombie… et ainsi de suite. Il y a jusqu’à 56 conflits actifs dans le monde, le nombre le plus élevé depuis la Seconde Guerre mondiale. De plus, ces conflits ont une composante de plus en plus internationale, avec 92 pays impliqués dans des guerres hors de leurs frontières. Ces données proviennent du dernier Global Peace Index produit chaque année par l’Institute for Economics & Peace (IEP), un groupe de réflexion qui analyse tout, depuis les investissements militaires et le coût de la violence jusqu’aux lois militaires et aux morts au combat dans 163 États et territoires.

Au moment où j’écris ces lignes, il y a énormément de spéculations dans le monde entier sur la « Troisième Guerre mondiale ». Le conflit au Moyen-Orient est sur le point de se transformer en « guerre totale », ce n’est probablement qu’une question de temps avant que les États-Unis ne soient entraînés dans la guerre en Ukraine et que nous nous retrouvions à combattre directement avec la Russie [1], et au moment où la Chine envahira Taiwan, nous serons en guerre avec les Chinois.

Nous vivons très certainement une époque de guerres et de rumeurs de guerres, et la phase chaude de la « Troisième Guerre mondiale » sera vraiment différente de tout ce que nous avons connu auparavant.

 

Tout au long de l’histoire, la famine a accompagné la guerre. Nous sommes actuellement confrontés à une crise alimentaire mondiale d’une ampleur sans précédent. Au Soudan, une guerre sans fin a créé une famine véritablement terrifiante. On prévoit actuellement que des millions de citoyens soudanais mourront dans les mois à venir :

Après 15 mois de combats dans ce pays entre les Forces armées soudanaises (SAF) et les Forces de soutien rapide paramilitaires (RSF), les experts en insécurité alimentaire estiment que près de 26 millions de personnes (non, ce n’est pas une erreur d’impression !), soit plus de la moitié de la population soudanaise, pourraient souffrir de malnutrition d’ici septembre. Huit millions et demi de ces êtres humains pourraient être confrontés à une malnutrition aiguë. Pire encore, si la guerre continue sur sa lancée actuelle, des millions de personnes mourront de faim et de maladie dans les mois à venir (et peu de gens dans notre monde pourraient même s’en rendre compte).

Que ressentiriez-vous si vous deviez voir votre famille mourir lentement de faim ?

Selon Timmo Gaasbeek, de l’Institut néerlandais des relations internationales, 2,5 millions de personnes au Soudan pourraient périr « d’ici la récolte des cultures en septembre »…

Gaasbeek prévient cependant que les soupes populaires ne peuvent combler que les nombreux trous béants d’un système brisé par les destructions, les déplacements et les mauvaises récoltes dues à la guerre. Son institut estime qu’au rythme actuel de partage de la nourriture, 2,5 millions de personnes pourraient mourir de faim et de maladie d’ici la récolte des cultures en septembre. En d’autres termes, 10 à 20% des Soudanais des zones les plus durement touchées pourraient mourir – des taux de mortalité similaires à ceux subis lors des terribles famines dans certaines régions du Nigeria en 1969, en Éthiopie en 1984 et en Somalie en 1992.

Septembre, c’est le mois prochain !

Mais la plupart des Américains ne se rendent même pas compte que cela se produit parce que nos grands réseaux d’information ne veulent parler que de Kamala Harris et de Donald Trump.

Selon Reuters, la faim est si forte dans certaines régions du Soudan que les gens préparent littéralement des repas à partir de boulettes de terre juste pour avoir de quoi remplir leur estomac :

Garang Achien Akok est l’un des milliers de nouveaux arrivants dans la région. Akok, sa femme et leurs cinq enfants ont abandonné leur maison dans la région méridionale du Kordofan après que des miliciens arabes à dos de chameaux ont pris d’assaut leur village et incendié leur hutte, a-t-il déclaré.

Akok, 41 ans, est arrivé à Al Lait en décembre, mais il n’a pas de travail et ne peut pas nourrir sa famille. Parfois, ils passent deux ou trois jours sans manger. Lorsque cela se produit, dit Akok, il regarde impuissant sa femme et ses enfants creuser des trous dans le sol avec un bâton, y glisser leurs mains et attraper de la terre. Puis ils roulent la terre en boule, la mettent dans leur bouche et l’avalent avec de l’eau.

Pendant ce temps, les réserves de nourriture dans le monde entier ne cessent de se réduire. CNN a admis que nous sommes confrontés à « la pire crise alimentaire de l’histoire moderne », mais la vérité est que ce n’est que le début.

Une fois que des armes nucléaires seront utilisées, tout changera.

Une étude menée il y a quelques années a déterminé que trois à quatre ans après une guerre nucléaire totale, la production alimentaire mondiale aurait chuté d’environ 90% :

En utilisant des modèles de climat, de récolte et de pêche, les chercheurs ont découvert que les impacts climatiques de la suie d’une guerre nucléaire atteindraient un pic dans les premières années mais dureraient environ une décennie.

Dans le pire des cas, lorsque 150 Tg de suie seraient libérées, la production moyenne mondiale de calories provenant des cultures diminuerait d’environ 90% seulement trois à quatre ans après la guerre nucléaire, selon l’étude.

Cette même étude a conclu qu’environ 360 millions de personnes seraient directement tuées lors d’une guerre nucléaire totale entre les États-Unis et la Russie, et plus de 5 milliards de personnes mourraient de faim à la suite de celle-ci :

Le scénario le plus vaste examiné, une guerre d’une semaine impliquant 4.400 armes et 150 Tg, soit 165 milliards de kilos, de suie – comme celle qui se produirait entre les États-Unis, leurs alliés et la Russie – tuerait directement 360 millions de personnes – et plus de 5 milliards de personnes de faim, selon l’étude. La densité de la suie réduirait les températures mondiales de plus de 58 ºF.

À quoi ressemblerait notre monde si 5 milliards de personnes mouraient simultanément de faim ?

C’est quelque chose à méditer.

 

Si nous vivons vraiment la fin des temps, nous devrions également connaître des épidémies majeures.

Il va sans dire que la crise du COVID a tué des millions de personnes et qu’elle est toujours présente.

Ces dernières années, la grippe aviaire a causé la mort de centaines de millions de poulets et de dindes dans le monde entier, et elle s’est maintenant propagée aux mammifères.

Sommes-nous les prochains ?

Nous ferions mieux d’espérer que non, car l’Organisation mondiale de la santé affirme que plus de 50% des humains qui ont attrapé le virus H5N1 depuis 2003 sont morts.

En 2022, une épidémie de variole du singe (Monkeypox) s’est rapidement répandue sur toute la planète, suscitant beaucoup de craintes. [2]

Aujourd’hui, une version beaucoup plus mortelle, qui se propagerait plus facilement parmi les humains, se propage en Afrique centrale, et l’Organisation mondiale de la santé est extrêmement préoccupée par cette situation.

Et je ne veux certainement pas laisser de côté la dengue. Jusqu’à présent, cette année, il y a eu plus de 10 millions de cas en Amérique du Nord et en Amérique du Sud combinées :

Rien qu’en Amérique, près de 10,4 millions de cas suspects de dengue, une maladie virale transmise par les moustiques, ont été signalés à l’Organisation mondiale de la santé en 2024 au cours de la première semaine de juillet, soit une augmentation de 232% par rapport à la même période l’année précédente.

Le Pérou en est un bon exemple. Lorsque des pluies torrentielles ont commencé à tomber dans ce pays en 2023, une épidémie de dengue record a explosé peu de temps après. Le nombre de cas est estimé à bien plus de 100.000 depuis le début de l’année.

Si vous avez déjà eu un cas grave de dengue, vous ne l’oublierez jamais. On l’appelle « la fièvre des os brisés », car beaucoup de ceux qui développent des cas graves ont littéralement l’impression que leurs os se brisent…

Parce que certains patients ont l’impression que leurs os se brisent, le virus a un surnom inquiétant : « la fièvre des os brisés ».

 

Qu’en est-il des catastrophes naturelles ? En voyons-nous beaucoup ? Il semblerait que l’année dernière, le nombre de « catastrophes d’un milliard de dollars » ait établi un nouveau record historique…

La planète a été assiégée par un record de 63 catastrophes météorologiques d’un milliard de dollars en 2023, dépassant le précédent record de 57 établi en 2020, a déclaré le courtier d’assurance Gallagher Re dans son rapport annuel publié le 17 janvier. Le total des dommages causés par les catastrophes météorologiques en 2023 s’est élevé à 301 milliards de dollars, dont un pourcentage inhabituellement élevé de 57% de ce total étant des dommages assurés.

Pendant ce temps, le sol sous nos pieds tremble avec une régularité alarmante.

La semaine dernière, j’ai écrit un article sur l’étrange activité sismique dont nous avons été témoins sur la côte ouest, sur la côte est, sous les Grands Lacs et au Texas. De l’autre côté du monde, toutes les secousses récentes au Japon ont créé une énorme panique. Les gens font des réserves de nourriture avec frénésie, car ils sont très inquiets devant la possibilité d’un « méga-séisme » :

Les autorités japonaises ont exhorté les gens à éviter de faire des réserves, car l’inquiétude face à un éventuel méga-séisme a déclenché samedi une hausse de la demande de kits de catastrophe et de produits de première nécessité.

Dans son premier avis de ce type, l’agence météorologique a déclaré qu’un énorme tremblement de terre était plus probable après une secousse de magnitude 7,1 survenue jeudi dans le sud, qui a fait 14 blessés.

Samedi, dans un supermarché de Tokyo, un panneau a été installé pour s’excuser auprès des clients pour les pénuries de certains produits, imputables aux « reportages des médias liés au séisme ».

Je suis entièrement convaincu que tout ce que nous avons traversé jusqu’à présent n’est que le début. Nous n’en sommes qu’aux tout premiers chapitres de cette « tempête parfaite », et si je ne me trompe pas, une quantité énorme de morts et de destructions nous attend.

La plupart des gens ne veulent pas entendre cela. La plupart des gens veulent juste entendre que tout va être merveilleux. Mais si nous vivons réellement à la fin des temps, les événements mondiaux se dérouleront exactement comme le dit la Bible.

 

https://endoftheamericandream.com/we-really-are-living-in-the-end-times/

 



[1] Et encore plus si Kamala Harris devait gagner les élections aux USA… [EE]

[2] L’OMS n’est plus nécessairement une source fiable. Le Covid nous a appris cela. Mais le but indiqué dans l’article est tout à fait juste : faire peur. La peur rend les peuples dociles. [EE]