Choquant, cette image ? Oui, bien sûr ! Mais ce n’est pas la bonne question. Est-elle vraie ou fausse ? Est-elle une appréciation juste de ce qui se dessine, ou en est-elle une exagération grossière ?
En fait, nous ne le savons pas, du moins, pas encore. On
peut espérer qu’elle soit exagérée et craindre qu’elle soit déjà rattrapée par
la réalité.
Il s’agit du passeport vaccinal qui se veut permission de
rouvrir le monde après (?) le Covid. Mais qui sera aussi, inévitablement, l’exclusion
des nouveaux pestiférés de ces temps modernes : ceux qui ont refusé de se
faire vacciner. Et, honnêtement, c’est bien fait pour eux, diront certains. Le
virus nous a faits trop souffrir et pendant trop longtemps. Il est temps d’en
finir, et tant pis pour ces fichus complotistes.
Cela dit, permettez-moi quelques remarques.
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Le vaccin, est-il donc si sûr que cela ? Ce
n’est pas l’impression qu’on nous donne. Une fois vacciné, tu ne peux donc plus
attraper le virus, ou contaminer ton voisin ? Tu n’auras plus besoin du masque
et autres mesures barrière ? Etc. La réponse est un ‘non’ systématique.
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Pour combien de temps un tel passeport serait-il
valide ? Personne ne le sait.
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Es-tu donc protégé contre les mutations
nombreuses actuelles et à venir de ce virus, pour ne rien dire d’autres à venir ?
On l’ignore.
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Quid d’une société trackée jusqu’au dernier
individu – n’oubliez pas que nous parlons de passeport digital, idéal pour un
contrôle total.
Ces
questions sont essentielles et les réponses sont très malaisées et une
indication du genre de société que nous voulons pour nous et pour nos enfants.
Ce qui vous paraît aujourd’hui une bonne idée pourrait se révéler être le début
d’un cauchemar.
Mais d’autres questions doivent être posées et reposées.
Pourquoi faut-il à tout prix un vaccin incertain aux effets
à long-terme inconnus – et peut-être menaçants ? Il y a des mesures
préventives efficaces : vitamines C et D, zinc, qui peuvent protéger la
plupart des gens contre le virus et là où ce n’est pas suffisant, réduire
significativement la gravité de la maladie. Il y a aussi des traitements de
plus en plus nombreux et efficaces. La seule Hydroxychloroquine bien utilisée
aurait pu éviter 60-70% des hospitalisations et décès (le résumé de l’étude se
trouve sur ce blog). Et il y a plusieurs autres molécules efficaces et peu
chers. Pourquoi bloque-t-on leur usage en médecine de première ligne ? Nos
scientifiques et politiciens, sont-ils si soucieux que l’industrie
pharmaceutique se fasse des milliards ? Y ont-ils un intérêt personnel ?
Ça y ressemble sérieusement !
Veut-on donc ce reset du monde auquel aspire le Forum
Mondial de Davos et ses ignobles parasites super riches ?
Alors ceux qui ne sont pas d’accord avec la musique imposée
n’ont qu’à être traités de vermine à écarter du chemin si pas de la vie ? Des
gens à porter l’étoile jaune, signe annonciateur de leur élimination prochaine
et désirée ?
C’est là que nos gouvernements semblent nous mener pas à
petit pas. Et le bon peuple suit, aveugle, sourd et muet. Des années de « Bonne
Année et, surtout, Bonne Santé ! » l’ont conduit à tout
sacrifier sur l’autel de la santé telle qu’on l’espère.
Sachons pourtant qu’aucune garantie de survie n’est
accordée. L’ogre qui réclamera demain en sacrifice humain les nouveaux
pestiférés ne sera jamais satisfait. Il réclamera d’autres victimes. Devinez
qui ...
Il est temps de retrouver notre bon sens.