Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

mercredi 7 septembre 2022

Cette drôle de crise

 

Que nous soyons en crise, depuis le début du Covid, personne ne le niera. Mais, selon ce que vous soyez (très) riche ou de revenu modeste, cette crise se vit très différemment. « Ma petite entreprise connaît pas la crise » est un peu à côté. Il faudrait plutôt lire : « ma très grande entreprise … » Quelques rappels pour le démontrer.

En 2020, la crise du Covid (je sais que la pandémie a commencé en 2019, mais l’effet s’est fait sentir réellement depuis début 2020) a été accompagnée par des confinements dans bon nombre de pays, notamment dans les pays occidentaux. Le résultat en fut un appauvrissement généralisé (et inutile car sans effet sur la pandémie) notamment pour les classes moyennes et en même temps, des bénéfices plantureux chez les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft). Comme le commerce était devenu inaccessible par décision des gouvernements, tout s’est concentré sur le numérique. Ainsi, il y a eu un genre de transfert des richesses hors des poches des classes moyennes dans les poches de ces entreprises dirigées par les hommes les plus riches de la planète.

Dès début 2021, nous voici au temps de la deuxième épisode. Les « vaccins » [1] arrivent avec leur publicité organisée de façon appuyée par les gouvernements et leurs cohortes de scientifiques. Depuis la signature des contrats (secrets) avec les grandes compagnies pharmaceutiques, les bénéfices de ceux-ci ont été astronomiques. Pfizer, par exemple, a gagné quelques 80 milliards de dollars et le compteur tourne toujours. D’où est venu cet argent ? Vous le savez, n’est-ce pas ? De nos poches de contribuables. Ce sont nos gouvernements qui paient des prix plutôt intéressants, du moins, si vous êtes du côté de l’industrie, ou plutôt inquiétants si vous êtes simple citoyen. Il y a donc de nouveau un gigantesque transfert de richesse. De la poche de nos pays dans les caisses de « Big Pharma » et de ses patrons qui de toute évidence ne doivent pas connaître la crise.

Une année plus tard, début 2022, voici l’étape suivante. Poussée par la politique occidentale, la guerre éclate en Ukraine. Sans discuter ici des responsabilités, notons tout simplement les conséquences financières de ce conflit. Elles sont doubles. D’un côté, l’industrie de l’armement est entrée dans une période particulièrement faste. Partout on augmente les budgets, tant pour les besoins nationaux que pour envoyer des armes sophistiquées en Ukraine. Sans que nous ayons eu quelque chose à dire, nos gouvernements sont entrés dans un état de guerre de facto contre la Russie. Cela entraîne de nouveau un transfert d’argent, en cours, des moyens nationaux vers une industrie qui se porte très bien, merci.

L’autre conséquence fait la une de nos média : faute de gaz, les prix de l’énergie explosent. Si vous regardez les profits des compagnies pétrolières (Shell, Total énergies, etc.), vous constaterez un autre transfert énorme de vos poches vers ces compagnies. Cela se passe sous le regard approbateur des écologistes, peu importe leurs couleurs politiques, qui semblent jurer par la disparition des voitures personnelles, et par les fermetures forcées dans le monde de l’alimentation, à commencer avec les fermiers, comme aux Pays-Bas (et dans plusieurs autres pays). Ainsi, on va « sauver le climat » comme on a sauvé le soldat Ryan. Ce qu’on ne dit pas c’est qu’ainsi on va aussi dépeupler le monde. Car on est trop nombreux, beaucoup trop nombreux, des milliards trop nombreux.

On commence donc par prendre votre argent et vos biens. Mais ce n’est que le début.

L’ensemble de ces transferts est toujours en cours avec une intensité variable, mais toujours dans le même sens. « Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux ! » avait dit Klaus Schwab du Forum économique mondial. A tout cela il faut ajouter la transition en cours du paysage économique, de l’argent privé vers l’argent numérique contrôlé totalement par « les autorités ». Si vous vous comportez comme elles le veulent, vous aurez accès à votre argent. Dans le cas contraire, … Ce sera un monde merveilleux dans lequel les seuls criminels seront ceux qui auront le pouvoir.

Une drôle de crise ! Les uns s’enrichissent comme jamais auparavant, les autres s’appauvrissent lentement mais surement, jusqu’à devenir superflus, quantités négligeables et candidats à l’esclavage ou à la suppression.

J’espère que vous avez remarqué que jusqu’ici, ce que j’écris n’a aucun rapport avec un quelconque complotisme. Ce sont les simples faits de ce que notre monde est déjà devenu ou en train de devenir.

Mais il faudrait aller un peu plus loin. Il faudrait se poser la question de la collusion possible entre les élites auxquelles j’ai fait référence. Autrement dit, est-il possible que nos politiques, nos responsables sanitaires, nos banquiers, nos média et nos principaux industriels agissent d’un commun accord, conscient ou non ?

L’article suivant décrit les pourtours d’une telle collusion :

Le Forum économique mondial : héros ou méchant ?

Joel Agius

27 juillet 2022

Dans les films et les émissions de télévision, nous sommes souvent exposés à l’histoire du bien contre le mal. Généralement, l’intrigue implique un héros qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour arrêter les plans perfides du méchant. Nous regardons, nous applaudissons et nous sommes satisfaits lorsque le héros gagne.

Nous avons vu ce trope si souvent que la société s’est désensibilisée à ce récit, incapable tragiquement de le reconnaître dans le monde réel.

Le 24 janvier 1971, un ingénieur et économiste allemand nommé Klaus Schwab a fondé une fondation à but non lucratif appelée Forum économique mondial (WEF). Basée à Genève, en Suisse, l’organisation se décrit comme « indépendante, impartiale et non liée à des intérêts particuliers ».

Quelle ironie !

Depuis sa création, le WEF s’est transformé en une organisation internationale non gouvernementale de lobbying à huis clos ayant des liens avec la plupart des gouvernements, des bureaucraties et des entreprises du monde. En fait, le mot ‘liens’ est un euphémisme. Le WEF a créé des programmes de formation pour les futurs dirigeants mondiaux, dont beaucoup occupent aujourd’hui des postes stratégiques dans les gouvernements et les bureaucraties du monde entier. La religion n’est pas en reste, puisque le pape François figure sur la liste des contributeurs à lagenda.

Quel que soit le pays d’où vous venez, un rapide coup d’œil à votre gouvernement révélera probablement la présence de dirigeants, de responsables de l’élaboration de l’agenda et de collaborateurs du WEF. S’ils ne sont pas directement impliqués, certains d’entre eux ont probablement travaillé pour des entreprises partenaires ou dans le cadre d’un programme intégré. Cette affaire internationale incestueuse conduit à ce que des individus qui promeuvent l’agenda du WEF s’immiscent dans la politique intérieure, dans ce qui serait ordinairement appelé un conflit d’intérêts.

Quant à savoir si l’agenda du WEF est ‘mauvais’ ou non, cela dépend de ce que vous pensez du démantèlement du capitalisme, de la propriété privée, de la vie privée et de la liberté pour les remplacer par un gouvernement mondial centralisé et non élu qui se nomme lui-même.

Ce programme n’est pas caché. Il est exposé dans des centaines de milliers de pages, de romans, de forums et de longues vidéos promotionnelles. Dans les protestations mondiales de ces derniers mois, organisées directement contre l’ingérence du WEF, on a qualifié cette organisation de sinistre.

Une partie de l’agenda du WEF peut être lue sur son site web. En 2022, ils se concentrent sur le changement climatique, l’intelligence artificielle, la cybersécurité, l’éducation, l’emploi, le Metavers, la fabrication, l’économie numérique, l’identité numérique, le commerce, l’investissement, la santé, l’énergie, la diversité, l’inclusion, etc. Cette organisation se vante d’avoir un plan pour remodeler chaque aspect de la société. Pour la réinitialiser. Pour reconstruire en mieux. Pourquoi ? Rappelez-vous que la macro-gestion du monde est le domaine des méchants des films de James Bond et des pires tyrans de l’histoire.

Et ça se passe toujours mal.

Mais c’est peut-être le but. Les fortunes changeront de mains pendant le chaos et une fois que la société se sera effondrée sur elle-même, elle pourra être reconstruite dans un format rentable – un format où les gens sont plus facilement contrôlés et où les élites jouissent d’une position encore plus élevée, régnant sur le reste d’entre nous comme dans les anciens systèmes féodaux. La dystopie politique n’est pas un fantasme. Ils vont faire du socialisme mondial une réalité.

Il y a quelques mois, Klaus Schwab a déclaré, tel un méchant monologuant son plan de maître :

« Ce dont nous sommes vraiment fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération comme le premier ministre Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons donc dans les cabinets ».

Ce n’est pas un bon choix de mots si vous cherchez à paraître héroïque. Schwab a poursuivi en disant que plus de la moitié des membres du cabinet de Trudeau « sont issus de nos jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial ». C’est terrifiant mais vrai.

Parmi les anciens Young Global Leaders figurent le président français Emmanuel Macron, la première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern, le premier ministre belge Alexander De Croo et toute une série d’autres politiciens occupant des postes gouvernementaux.

Sont également associés au WEF des noms célèbres tels que le Premier ministre britannique sortant Boris Johnson, ainsi qu’une bonne partie des députés conservateurs – dont la plupart étaient candidats à la direction du parti.

Si vous essayez d’éviter le statut de méchant, ce n’est pas une bonne idée d’organiser votre conférence annuelle dans un village de ski suisse. La liste des orateurs de l’Agenda de Davos 2021 et 2022 comprend la désormais ancienne chancelière allemande Angela Merkel, le président chinois Xi Jinping, le premier ministre indien Narendra Modi, le premier ministre israélien Naftali Bennett, le premier ministre japonais Kishida Fumio, le premier ministre indonésien Joko Widodo, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Kristalina Georgieva et notre ancien premier ministre [australien] Scott Morrison.

Les débats sont une chose, mais le WEF a-t-il un réel pouvoir ? De plus en plus, la réponse est : beaucoup trop.

Le projet 100 millions de fermes est au cœur d’une grande partie de la destruction agricole. Prenez, par exemple, l’industrie agricole néerlandaise. Les agriculteurs ont subi un impact financier considérable en raison de la politique climatique inepte mise en œuvre par le gouvernement néerlandais, qui cherchait désespérément à se conformer à l’agenda climatique Net Zero du WEF et aux objectifs de durabilité des Nations unies. Les agriculteurs ont été informés qu’en raison des niveaux élevés d’ammoniac résultant du ruissellement de leurs vaches, et afin de protéger la population de moustiques, ils devront perdre 30% de leur bétail. Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, est un contributeur à lagenda du WEF.

L’histoire est similaire au Sri Lanka, où le WEF a retiré l’article du Premier ministre Ranil Wickremesinghe intitulé « This is how I will make my country rich by 2025 » (Voici comment je vais rendre mon pays riche d’ici 2025), après qu’un conflit civil ait renversé le gouvernement en raison de l’interdiction des engrais pour les objectifs climatiques. Les manifestants pauvres et affamés ont été qualifiés de fascistes par le régime. Le gouvernement britannique leur a emboîté le pas en annonçant l’année dernière qu’il paierait les agriculteurs âgés pour quils prennent leur retraite en échange de leurs terres. Cela fait partie d’une mesure visant à centraliser la propriété, de sorte que les exploitations agricoles privées soient regroupées entre le gouvernement, les entreprises et une poignée de riches propriétaires. Ce n’est peut-être pas ce qu’ils annoncent, mais c’est ce qui se passe.

Cela nous ramène au slogan effrayant du Forum économique mondial : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». Ou dans ce cas, comme le dit Nick Dixon de Lotus Eaters, « Vous ne sèmerez rien et vous serez heureux ».

Outre l’agriculture, l’engagement du WEF auprès de l’OMS s’est renforcé tout au long de la pandémie de Covid, où les entreprises partenaires se sont lancées dans la production de vaccins, d’EPI et de systèmes numériques pour les passeports vaccinaux. Dans un article publié par le WEF le 5 mai 2021, il est dit dans « Qu’est-ce qu’un ‘passeport vaccinal’ et en aurez-vous besoin lors de votre prochain voyage ? » :

Il est important que nous nous appuyions sur l’organisme normatif (l’OMS) pour créer les exigences en matière de titres de vaccination. Le Forum est impliqué dans le groupe de travail de l’OMS pour réfléchir à ces normes et penser à la manière dont elles seraient utilisées.

Les passeports vaccinaux ont été utilisés comme mesure de contrôle. Le WEF, en collaboration avec l’OMS, cherche à intégrer sa plateforme mondiale d’identité numérique (que l’Australie et d’autres nations mettent en ligne) à un système international de passeports sanitaires. L’Union européenne met également en œuvre le certificat numérique COVID de lUE, qui n’est valable que pendant neuf mois après la deuxième dose.

L’acceptation d’un passeport vaccinal numérique s’est répandue par articles successifs. Selon une enquête Ipsos, « la plupart des adultes sont d’accord avec les passeports vaccinaux pour les voyages », allant même jusqu’à dire que « plus des trois quarts des personnes dans le monde pensent qu’ils devraient être obligatoires pour les voyages ». Si l’on creuse un peu plus, on s’aperçoit que cette enquête a été commandée par le Forum économique mondial, comme l’indique Ipsos. Il est peu probable qu’elle reflète la majorité de l’opinion mondiale.

L’expression « laissez-les manger des insectes » est peut-être la phrase la plus souvent utilisée pour se moquer du WEF. Cela s’explique par leur volonté de restreindre le régime alimentaire de la population générale en fonction de l’empreinte carbone. Ils visent également à détruire de larges pans de l’agriculture actuelle et à remplacer le vide commercial par de la viande artificielle produite par des entreprises chimiques. Et des insectes. Selon un article, « les régimes à base de plantes seront essentiels à l’avenir de la planète » pour protéger la biodiversité.

Le pape François a également déclaré aux jeunes Européens que la consommation de viande est ‘autodestructrice’ et mauvaise pour l’environnement. Dans un article consacré à la lettre du pape à la Conférence des jeunes de l’UE, il est fait référence à une étude de l’université d’Helsinki qui « suggère que manger de la viande cultivée en laboratoire et des insectes écrasés est bon pour l’environnement ». Le WEF propose également de nombreux articles sur les dangers du changement climatique, dont l’un traite de l’idée absurde selon laquelle l’action en faveur du climat conduira en quelque sorte à une meilleure inclusion.

Je pourrais continuer, mais cet article serait alors beaucoup trop long. Il suffit de dire que les insectes n’étaient pas au menu de l’événement de Davos…

Le but de cet article est de démontrer que l’agenda du WEF n’est pas une théorie de la conspiration, comme le prétend la presse. Il est réel. Il se déroule sous nos yeux. Des personnes réelles commencent à mourir de faim. Le Forum économique mondial met en place son agenda avec l’aide de nos politiciens et de leur pouvoir législatif. En fin de compte, ce sont eux qui sont prêts à faire des profits sur la misère publique.

Il est crucial que chaque personne qui se soucie de sa liberté, de ses moyens de subsistance, de sa famille, de ses amis et de l’état général du monde se retourne et regarde le WEF dans les yeux. Leur programme menace notre mode de vie même et leur mépris de l’humanité est palpable.

Joel Agius est un écrivain indépendant. Si vous souhaitez lire la suite de son travail, vous pouvez le faire sur JJ’s Outlook ou suivre ses réflexions sur Twitter.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://spectator.com.au/2022/07/the-world-economic-forum-heroes-or-villains/

 

Haute trahison ?

Il est à la fois fascinant et troublant d’observer la route que prend notre société vers l’avenir tracé par les élites. L’étrange pandémie a été le début d’un transfert massif d’argent, comme je l’ai indiqué au début de cet article. C’était la pointe visible de l’iceberg. Mais très vite, on s’est rendu compte que l’argent n’était pas toute l’histoire. Joel Agius, dans son article, parle d’une « affaire internationale incestueuse » en décrivant le WEF et ses agissements. Là, il n’y a plus seulement une affaire de sous. Ce que l’on vise est le pouvoir. On veut toujours l’argent (« vous ne posséderez rien » implique que d’autres posséderont tout), mais on veut beaucoup plus. On veut transformer le monde tel que nous le connaissons. Ce monde nouveau aura nettement moins d’habitants – des milliards (!) de gens en moins – et des structures totalitaires.

Ceux qui conduisent ce coup d’état – c’en est un – ne sont pas de simples commerçants qui ne se considèrent jamais assez riches. Ceux-là sont probablement tout autant utilisés que les autres. Non, au cœur de ce projet il y a des gens riches, certes, mais surtout assoiffés d’autre chose. Prenez Bill Gates. De l’argent, il en a plus qu’il n’en faut même s’il croit sans doute n’en avoir jamais assez. Mais il veut autre chose. Il s’est diversifié dans les vaccins et est devenu le contributeur principal de l’OMS. Pourquoi ? Il est devenu plus récemment le plus grand propriétaire de terres agricoles aux USA. Pourquoi ? Il veut transformer le monde. Par des moyens médicaux (avortements, vaccins), il veut réduire la population mondiale. En supprimant la production de viande, il joue à provoquer la famine. Vous voyez, le grand but n’est pas le fait de gagner plus, mais de devenir incontournable. Notez qu’il ne s’en cache même pas. Il en parle sans vergogne. Et personne ou presque ne le prend au sérieux.

Faut-il conclure que trop de nos dirigeants sont, à des degrés divers, des collabos (au sens de la guerre 39-45) d’une puissance étrangère ? Vivons-nous un coup d’état subtil et redoutable ? Est-ce cela qui explique la collusion manifeste entre les pouvoirs, les finances et les universités ? Ce que nous vivons, est-ce effectivement la mise en œuvre d’un agenda commun, et donc, nécessairement, d’un projet ? Mais nous savons déjà que c’est le cas. Ils appellent cela « le grand reset ». Ce projet n’est pas récent. Klaus Schwab y travaille patiemment depuis des années. Le programme des Young global leaders, qui en est l’un des pivots, a commencé en 2004 comme une refonte d’un programme précédent datant de 1992. [2] Le projet dure donc depuis au moins 30 ans. Le but est le pouvoir sur le monde.

Est-ce que cela se limite au Forum économique mondial ? Lorsque j’ai commencé à m’y intéresser, durant la pandémie, je me suis très vite rendu compte que le WEF réunit du « beau » monde. Il suffisait de regarder ses vidéos : le secrétaire-général des Nations Unies, la directrice du FMI, le prince Charles (très en évidence) et bien d’autres s’y expriment dans un même sens. J’avais conclu qu’il y avait là des gens à la fois très puissants, très riches et très pressés. Avec les rencontres à Davos, la formation des « Young global leaders », la collusion avec l’OMS, nous avons ici « un machin » très puissant. Le WEF est le contraire d’une ONG, une organisation non-gouvernementale. Chaque jour un peu plus, il est le gouvernement dans l’ombre des gouvernements, derrière eux, au-dessus d’eux. Il est le pouvoir. Bien sûr, il n’est pas le seul. Mais comparé à ces organisations souvent secrètes, le WEF ne se cache guère, même s’il y a sans doute des zones d’ombre importantes. En commun entre plusieurs de ces organisations se trouve la vieille idée des Francs-maçons, ordo ab chaos, l’ordre à partir du chaos. Pour établir un nouvel ordre, il faut créer le chaos afin de pouvoir se profiler comme le sauveur.

Le chaos. Pensez à la pandémie, la guerre en Ukraine, la panique autour du climat, la variole du singe, le prix du gaz. Tout va de travers. Nous risquons l’extinction climatique. Sans les mesures proposées par nos gouvernements, le Covid aurait causé des centaines de millions de morts, dit-on. Il faut donc accepter des mesures draconiennes pour survivre. Il faut tuer la liberté d’opinion et faire taire la désinformation. Mieux vaut être esclave que mort. Bien sûr, on aura l’un sans pouvoir éviter l’autre.

On en est déjà là. La trahison a été commise. Mais la plupart des gens ne voient rien, ils ont été comme hypnotisés. Le « Vous n’aurez rien » de Schwab est en train de se dérouler sous nos yeux. « Vous n’aurez rien » veut dire : « nous vous enlèverons tout. » Un vol organisé commence à se dessiner. Comment cela est-il possible ? En changeant les lois. Prenez les lois climatiques par lesquelles on a volé leur voiture à bien des citadins, comme à Bruxelles. « Votre voiture est trop vieille selon nos critères, elle ne peut plus rouler ici. Vous n’avez pas les moyens pour vous en acheter une autre ? Dommage pour vous. » Pensez aux agriculteurs néerlandais : « Votre production d’ammoniac est écologiquement inadaptée. Vous devez arrêter votre ferme. On vous le reprendra à notre prix. » Pensez-vous vraiment qu’ils n’inventeront pas de nouvelles lois pour vous reprendre votre maison ? Pour bloquer vos comptes ? Vous vous rappelez des lois Covid ? On a créé une panique et enlevé les libertés aux gens. Sans fondement réel. Sans efficacité aucune. Sans besoin. Et la plupart n’y ont vu que du feu. Mieux, on remercie le gouvernement et ses experts de nous avoir si bien protégés par de si bons vaccins. Mêmes les Eglises ont suivi, les yeux fermés.

Nous préparer

Sous nos yeux se dessine peu à peu la société qu’annonce l’Apocalypse. Cela veut dire qu’un temps de grandes souffrances est à nos portes. La persécution qui a frappé pendant si longtemps les chrétiens ailleurs dans le monde s’étendra sur l’Occident. Il faut donc nous préparer à vivre dans un monde totalement différent. Voici sept suggestions pour nous y préparer en terminant cet article :

  1. Il est plus que jamais temps de chercher premièrement le Royaume de Dieu et sa justice, car plus que jamais, ce qui doit arriver se concrétise sous nos yeux. La nuit est fort avancée et sans discernement spirituel, nous risquons fort être balayés par la séduction de la Bête et de son vendeur, ou par les visions mensongères qui nous aveuglent si facilement.
  2. Vivre modestement. La vie ne dépend pas de ce que l’on possède, nous le savons. Mais nos possessions créent une dépendance qu’il nous faut briser. Cette modestie devrait aussi toucher à notre alimentation. Il faut réduire nos appétits. « Bref, que tous ceux qui jouissent des biens de ce monde vivent comme s’ils n’en jouissaient pas. Car le présent ordre des choses va vers sa fin. » (1Corinthiens 7.31)
  3. Nous déshabituer de nos écrans. Ces derniers sont le vecteur privilégié par lesquels on cherche à nous inquiéter, nous paralyser et nous asservir. Et cela vaut aussi pour nos enfants. « Fixer nos regards sur Jésus » n’est pas seulement une discipline spirituelle. C’est aussi une discipline des yeux.
  4. Trouver notre inspiration dans les ressources écrites qui bâtiront notre foi, notre résilience et notre créativité. Puis-je pousser l’évidence à l’extrême en rappelant que la Bible devrait figurer à la première place de ces ressources ? Cela va sans le dire, mais cela va encore mieux en le disant. Il faut nourrir notre âme. Si non, un autre la nourrira pour notre perte.
  5. Nous préparer à la solitude. Le temps des cultes publics et autres rassemblements est peut-être compté. L’Eglise de demain pourrait bien se limiter à de petits groupes, sans l’assistance d’un tas de béquilles artificielles (musique, activités, bâtiments, …).
  6. Nous armer : « Ainsi donc, puisque le Christ a souffert dans son corps, armez-vous aussi de la même pensée. En effet, celui qui a souffert dans son corps a rompu avec le péché afin de ne plus vivre, le temps qui lui reste à passer dans son corps, selon les passions humaines, mais selon la volonté de Dieu. » (1Pierre 4.1,2)
  7. Ne pas nous inquiéter. C’est peut-être la chose la plus difficile dans cette liste ! C’est tellement humain. Comment y arriver ? Jésus nous le dit dans le Sermon sur la montagne. On le fait en pratiquant ce que j’ai mis au point 1. Cela fait de cette liste un genre de cercle vertueux. L’apôtre Paul ne dit pas autrement dans ce passage connu : « Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos besoins à Dieu. Adressez-lui vos prières et vos requêtes, en lui disant aussi votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ. Enfin, frères, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui mérite respect et louange. Ce que vous avez appris et reçu de moi, ce que vous m’avez entendu dire et vu faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous. » (Philippiens 4.6-9)

 


[1] Les guillemets pour ce mot indiquent que ces produits ne sont pas vraiment des vaccins. Ils ne protègent ni contre la transmission, ni contre la maladie, ni contre la mort. Bien au contraire, ils semblent plutôt les favoriser.

[2] Voir ici une liste restreinte d’hommes et de femmes sortis de ce programme.

mercredi 31 août 2022

Agissons contre la désinformation !

 
On prétend assez facilement que certains répandent de la désinformation. J'ai donc décidé de traduire cet article rempli de bon sens qui s'attaque à cette question.

Si vous voulez prouver à l'auteur qu'il a tort, vous pouvez m'envoyer votre réaction. Je la traduirai et je la lui ferai parvenir.
Agissons contre la désinformation !


Comment vous pouvez nous aider à retrouver la vérité

Steve Kirsch

29-8-2022

 

Je viens de recevoir un mail d’un ancien médecin de Stanford qui m’a écrit :

« Steve, je vous respecte et je respecte tout ce que vous avez accompli. J’ai regardé attentivement les articles que vous avez envoyés et je n’ai rien vu qui m’impressionne. Je ne veux pas m’engager plus en avant avec vous sur ce sujet. Comme je l’ai déjà dit, j’espère que vous trouverez un autre usage pour votre temps, votre talent et votre argent – le monde en a besoin. »

Je serais heureux de trouver un autre usage de mon temps si quelqu’un voulait bien prendre quelques minutes pour nous expliquer, à moi et à mes collègues, en quoi nous nous sommes trompés. Mais jusqu’à présent, il n’y a eu aucun personne.

Je serais même prêt à payer quelqu’un pour qu’il prenne le temps de nous convaincre. Mais ils abandonnent assez vite lorsque je leur demande d’expliquer toutes les anomalies que nous avons observées, comme énumérées sur la liste ci-dessous.

Je voulais donc expliquer clairement comment nous nous sommes retrouvés coincés sur le mauvais chemin et ce qu’un Bon Samaritain pourrait faire pour nous remettre sur le bon chemin.

Des volontaires ?

Comment nous convaincre que nous avons tort : une liste pratique

Voici une liste des choses qui me dérangent, ainsi que mes collègues "diffuseurs de fausses informations" :

1.            Personne dans le domaine de la santé publique, où que ce soit dans le monde, ne demande l’autopsie des personnes décédées dans les 30 jours suivant la vaccination (en utilisant les techniques de coloration appropriées pour détecter la protéine spike). Pourquoi les autorités sanitaires ne voudraient-elles pas connaître la vérité et prouver que nous avons tort ? Si les vaccins sont sûrs, cela les disculperait, nous démasquerait tous en tant que diffuseurs de fausses informations et réduirait l’hésitation à se faire vacciner. À notre avis, la seule raison de ne pas vouloir connaître la vérité est le fait de savoir que cela révélerait que les vaccins sont dangereux. Si ce n’est pas la raison, quelle est-elle ?

2.            Le nombre impressionnant de décès de jeunes médecins au Canada après la vaccination est vraiment troublant. Il est clair que nous nous sommes tous trompés et que les vaccins ne les ont pas tués du tout. Alors, pouvez-vous nous dire simplement ce qui l’a fait ? Le taux de décès parmi les jeunes médecins au Canada est 23 fois le taux habituel après le 2e booster. Dites-nous simplement comment vous savez avec certitude qu’aucun de ces médecins n’est mort à cause du vaccin. Nous demander de "faire confiance aux autorités" ne va pas nous convaincre.

3.            Les données et études officielles sur lesquelles les gouvernements s’appuient pour faire leurs affirmations ne sont pas fiables. Avons-nous fait fausse route ? Discutons-en. Ces études comprennent :

a)    Les données de l’essai Pfizer. Voir cet article qui documente la fraude.

b)    L’étude Rosenblum qui n’a pas réussi à expliquer de manière adéquate les taux de mortalité élevés signalés dans le VAERS. Ce ne sont pas les médecins qui ont signalé un plus grand nombre de décès, c’est l’argument qu’ils avancent, appuyé sur aucune donnée dans l’article. Ça ne passe pas. Lorsque nous avons essayé de parler aux auteurs pour obtenir des éclaircissements, le CDC a ignoré nos demandes. Ce n’est pas ainsi que l’on inspire confiance. Cet article s’appuie également sur un article VSD absurde (l’article "fontaine de jouvence") que le CDC refuse également de défendre.

c)    Les données de l’ONS britannique. Voir cet article.

4.            Il n’y a pas d’études observationnelles prospectives fiables après la mise sur le marché qui montrent que les vaccins sont justifiés. S’il y en a, donnez-nous les URL. Nous avons dû les manquer.

a)           Nous avons des anecdotes troublantes qui sont incompatibles avec le discours sur des vaccins "sûrs et efficaces". Même si nous prenons les deux anecdotes (mariage et podologue) d’une célébrité (Wayne Root), personne ne peut les expliquer.

b)           Où sont les études "appropriées" montrant que les vaccins sont "sûrs et efficaces" ? Nous ne les avons vues pour aucun vaccin. Les études que nous avons montrent le contraire (voir cet article). Où sont les études contraires ?

5.            Toutes les anecdotes du monde réel comparant les taux de blessures et de décès entre les deux groupes (vaccinés et non vaccinés) que nous avons vues montrent de manière très cohérente que les vaccins causent plus de dommages que de bénéfices. Mon Substack est rempli de ces articles. Par exemple, lisez les histoires des travailleurs de la santé ici. Comment les expliquer si les vaccins sont si sûrs ? Voir aussi l’étude de Mathew Crawford à San Diego, qui montre que les vaccins sont plus susceptibles de vous conduire à l’hôpital ou de vous tuer, contrairement à ce que l’on nous dit. Si c’est faux, expliquez pourquoi c’est faux et dites-nous où trouver les articles "tout va bien dans notre hôpital", nous aimerions bien vérifier les données qui s’y trouvent. Jusqu’à présent, personne dans aucun hôpital ne veut nous montrer les données pour une raison quelconque. C’est frustrant pour nous.

6.            Il y a un manque d’anecdotes pro-vaccins où le groupe vacciné a fait nettement mieux en termes de mortalité et de morbidité que le groupe non vacciné.

a)    Voici ce qui s’est passé quand je les ai demandées : Je n’ai rien eu. Voir cette enquête Gab, par exemple : 


b)    Je ne prétends pas que les histoires pro-vax n’existent pas; je prétends simplement que je n’en ai trouvé aucune dans aucune des enquêtes que j’ai réalisées (y compris des enquêtes réalisées par des tiers impartiaux).

7.            Nous pensons que les vaccins COVID ont tué des centaines de milliers d’Américains et en ont blessé des millions d’autres. Il existe de nombreuses méthodes indépendantes que les gens ont utilisées pour valider cela. Fox News et Media Matters ont mis en doute les chiffres mais ont refusé d’enquêter sur les données. Pourquoi ? Les preuves sont là. Le Dr Naomi Wolf a vérifié les chiffres de manière indépendante en utilisant ses propres sources. Personne d’autre ne s’est intéressé à la vérification de ces faits, ceux que j’avance ou ceux de toute autre personne ayant des opinions similaires.

8.            Il nous semble que le système de santé est poussé de manière perverse à promouvoir le vaccin, à suivre les protocoles gouvernementaux et à maximiser le nombre de personnes pouvant être comptabilisées comme décès dus au COVID. Ils ne sont pas récompensés pour leur créativité et pour avoir sauvé des vies. Ceci est documenté à de nombreux endroits. Si nous récompensions les hôpitaux pour avoir sauvé des vies, la pandémie serait terminée instantanément. Mais notre gouvernement ne veut clairement pas faire ça. Ils encouragent les résultats qu’ils veulent obtenir : un nombre massif de décès dus au COVID. Avons-nous tort ?

9.            Le nombre de décès dus au COVID nous semble avoir été exagéré par un facteur supérieur à 5. C’est ce qui ressort des données du Nouveau-Mexique, où l’un de mes contacts a examiné tous les dossiers de décès et a constaté que 5 des 6 décès dus au COVID avaient des codes CIM10 incompatibles avec un décès dû au COVID. Voir cet article pour plus de détails sur le Nouveau-Mexique. Avons-nous fait une erreur ? Pouvons-nous voir votre analyse des mêmes données ?

10.         Les conseils des Centers for Disease Control ne sont pas fondés sur des données scientifiques rigoureuses, par exemple, les masques, les confinements, le dernier vaccin combiné ne peut être administré si l’on n’a pas reçu la série primaire, etc. Par exemple, l’étude la plus récente montre une corrélation statistiquement significative entre les pays où le respect du masque est élevé et une mortalité plus élevée. Le Dr Scott Atlas a fait une excellente présentation de toutes ces absurdités. A-t-il tort ? Peut-on en parler ?

11.         Plus de personnes sont mortes à cause du traitement qu’elles ont reçu à l’hôpital pour le COVID qu’à cause du virus lui-même. La preuve en est que je me fais taper sur les doigts chaque fois que je fais une enquête demandant aux gens combien de personnes sont mortes du COVID par rapport au vaccin COVID. On me répond : "Tel membre de ma famille est mort des protocoles de traitement du COVID, pas du COVID". Cela est confirmé par des enquêtes comme celle-ci qui montrent que la pandémie est causée par les hôpitaux et non par le virus. Donc, si c’est le virus qui tue les gens, pourquoi tant de gens croient-ils que ce sont les protocoles hospitaliers ? 


12.         Aucun responsable gouvernemental n’accepte d’avoir une discussion ouverte sur tout cela avec des scientifiques qualifiés qui ne sont pas d’accord. Au lieu de cela, ces scientifiques sont censurés, enlevés des discussions et intimidés. Voici un exemple de ce qui s’est passé lorsque trois scientifiques canadiens de haut niveau ont défié un membre du gouvernement : le gouvernement s’est défilé. Sont-ils trop occupés pour défendre leur position ? Avons-nous choisi un jour inopportun où personne n’était disponible ? Nous ne comprenons pas pourquoi ils ne répondent pas du tout à l’invitation.

13.         Les médecins qui veulent parler de ce qu’ils voient sont menacés de se voir retirer leur licence ou leurs titres, notamment Paul Marik, Peter McCullough, Pierre Kory et d’autres. Nous ne comprenons pas pourquoi les médecins qui parlent de ce qu’ils observent devraient être réduits au silence. Cela semble contraire à la science.

14.         Les médecins qui proposent des traitements viables pour le COVID ont été ignorés, comme le FLCCC, Fareed et Tyson. Nous ne comprenons pas pourquoi ils agissent ainsi, car nous pensions qu’ils voulaient sauver des vies. Puisque cela ne semble pas être l’objectif, pouvez-vous expliquer quel est l’objectif ?

15.         Le CDC n’est pas intéressé par la découverte de signaux de sécurité (il n’a pas examiné les données du VAERS avant avril 2021), et il ne dira pas non plus aux médecins légistes d’effectuer les tests appropriés pour découvrir si les vaccins ont tué des gens ou non. Selon nous, toute personne décédée dans les 30 jours suivant l’administration de ces vaccins devrait subir les tests appropriés pour déterminer si le vaccin est impliqué dans le décès et les résultats devraient être rendus publics. Nous pensons qu’ils ne le font pas parce qu’ils savent ce qui va se passer. Mais si ce n’est pas la raison, quelle est la vraie raison ?

16.         La Maison Blanche, le Médecin General, les CDC, la FDA et le Président Obama ont déclaré que la désinformation est un problème sérieux et qu’elle a coûté des vies. Nous sommes d’accord. Nous voulons aussi mettre fin à la désinformation. Nous ne sommes pas d’accord sur la question de savoir qui est responsable, c’est tout. À cette fin, nous avons offert nos têtes sur un plateau d’argent au CDC pour qu’il nous démystifie. Ils ont refusé notre offre. Notre offre était simple : nous voulons parler de 20 sujets que nous leur donnerons à l’avance et vice-versa. Il s’agit d’un appel enregistré en livestream puisqu’il présente un intérêt pour le public. Nous ferons venir 10 experts pour couvrir tous les sujets. Le CDC peut faire venir autant d’experts qu’il le souhaite. Le CDC fixe les règles, l’heure et la date. Nous avons été sidérés par l’absence d’intérêt. Pourquoi ne voudraient-ils pas faire comprendre au public américain que nous sommes du mauvais côté de l’histoire ? Puisqu’ils prétendent avoir les faits de leur côté, cela devrait être une victoire facile. Pouvez-vous nous dire comment lancer ce débat ?

17.         Bobby Kennedy a également essayé d’obtenir un débat sur la sécurité de tous les vaccins au cours des 20 dernières années. Pouvez-vous nous dire pourquoi personne ne veut débattre avec lui ? C’est manifestement un expert à en juger par son livre. Que devons-nous faire pour obtenir un débat ?

18.         Êtes-vous d’accord avec cette tribune libre du professeur Vinay Prasad de l’UCSF ? Si non, pourquoi ? Nous sommes perplexes car lorsque nous demandons à des scientifiques d’autres domaines ce qu’ils pensent de cet éditorial, ils disent sans hésiter que le professeur Prasad a tout à fait raison. Mais lorsqu’il s’agit du COVID, tous les débats sont écartés. Nous ne comprenons pas ce qui, dans la science, fait que ce n’est pas une solution quand le sujet est les vaccins.

19.         Les mandats scolaires. Nous sommes déconcertés par ceux-ci. Pourquoi les enfants doivent-ils être vaccinés ? La vaccination n’empêche pas la propagation du COVID et, en fait, les données montrent qu’elle rend les gens plus susceptibles d’être infectés, hospitalisés ou de mourir. Même le CDC reconnaît maintenant qu’il n’y a aucune raison de traiter les personnes vaccinées différemment des personnes non vaccinées. Alors pourquoi les vaccins sont-ils toujours obligatoires dans les écoles ? Lorsque les étudiants demandent le raisonnement scientifique, personne dans l’administration ne veut le fournir. Les écoles reçoivent-elles de l’argent du gouvernement pour se conformer à la loi ? Pourquoi ne pas admettre que les écoles obligent les enfants à prendre quelque chose qui pourrait les tuer parce qu’elles sont payées très cher pour le faire ? Kim Iversen n’arrive pas non plus à comprendre. Regardez cet épisode avec Joni McGary de No College Mandates. Joni dit que les universités ne répondent pas lorsqu’on leur demande une justification scientifique, si ce n’est qu’elles s’en remettent au CDC, ce qui est absurde puisque le CDC dit maintenant que vaxxé = non-vaxxé. Alors pourquoi les écoles et les universités rendent-elles obligatoires les vaccins COVID ?

20.         Il y a bien plus de 100.000 personnes qui connaissent quelqu’un qui est mort subitement peu après avoir reçu le vaccin COVID. Ce nombre est vérifiable de manière indépendante. N’est-ce pas beaucoup de décès soudains après l’administration d’un vaccin sûr et efficace qui ne tue personne et pour lequel le groupe de traitement de l’essai clinique a signalé moins d’événements indésirables graves que le groupe placebo ? Expliquez comment cela est possible. Plus de 100.000 personnes, ce n’est pas juste de la "malchance" ou une "coïncidence".

21.         Les embaumeurs du monde entier voient des caillots sanguins bizarres chez les personnes qui meurent soudainement. Ils étaient tous vaccinés. Si ces caillots ne sont pas causés par le vaccin, qu’est-ce qui peut bien les provoquer et comment se fait-il que personne ne les étudie ?

22.         Le professeur Jeff Sachs, qui dirige le groupe indépendant chargé de trouver les origines du SRAS-CoV-2, a déterminé que le virus a probablement été fabriqué par l’homme à l’aide de technologies provenant de laboratoires biologiques américains. Cela correspond à tout ce que nous avons vu. Quand cela a été révélé, tout à coup, personne n’a voulu en savoir plus. Pourquoi cette soudaine perte d’intérêt pour l’origine ? Pourquoi les laboratoires américains et l’Institut de virologie de Wuhan ne coopèrent-ils pas avec les enquêteurs s’ils n’ont rien à cacher ? Peut-on avoir une discussion publique à ce sujet ? Par ailleurs, comment se fait-il que Moderna n’ait jamais expliqué comment sa séquence de 19-nt s’est retrouvée dans le virus SRAS-CoV-2 ? Et comment le professeur Kristian Andersen a-t-il pu déterminer que le virus était d’origine naturelle quelques jours seulement après avoir affirmé qu’il était d’origine humaine, sans aucune donnée supplémentaire ? Et pourquoi a-t-il supprimé tous ses tweets juste après que Chris Martenson l’ait interpellé à ce sujet ? Nous sommes toujours déconcertés par tout cela. Nous sommes sûrs qu’il y a une explication innocente mais le professeur Andersen ne veut pas nous en parler. On dirait qu’il a peur de la caméra tout d’un coup. Pourquoi ?

23.         Nous avions tous de bons emplois avant les vaccins COVID et aucun d’entre nous n’était connu comme "propagateur de désinformation". Pourquoi avons-nous tous accepté une réduction de salaire pour devenir des propagateurs de désinformation sur le même sujet et au même moment ? Qui coordonne tout cela ?

24.         Et enfin, qu’en est-il de Maddie de Garay ? Elle était paralysée moins de 24 heures après son injection Pfizer. Elle est toujours paralysée. La FDA a promis d’enquêter. S’il vous plaît, expliquez-nous : 1) pourquoi cela n’a jamais été signalé dans les essais cliniques, 2) pourquoi personne dans les comités de la FDA et du CDC n’était au courant, et 3) pourquoi la FDA et le CDC ne l’ont jamais appelée. Il s’agit d’une fraude dans les essais cliniques, Janet Woodcock le savait, mais ils n’ont rien fait d’autre que de promettre d’enquêter, ce qu’ils n’ont pas fait. Dites-moi comment je me suis trompé.

Les médecins traditionnels sont formés à ne prêter attention qu’à ce que disent les autorités (y compris les directives de pratique), à ce qui figure dans les essais randomisés de phase 3 et dans la littérature médicale évaluée par les pairs, et à ignorer tout le reste. C’est une énorme erreur.

Les vrais scientifiques utilisent toutes les preuves disponibles pour déterminer quelle hypothèse est la bonne. Il n’y a qu’une seule vérité ici et nous ne devrions pas ignorer l’abondance de preuves que nous avons sous les yeux.

Norman Doidge a écrit un excellent article à ce sujet, intitulé "Medicine’s Fundamentalists", qui traite de "l’approche fondée sur toutes les preuves disponibles". Il devrait être lu par tous les médecins américains. C’est ainsi que fonctionne la science.

Lorsque nous examinons toutes les preuves disponibles, une histoire très cohérente se dessine pour nous : les vaccins sont un désastre.

Voici un petit échantillon des preuves que nous prenons en compte pour former notre position. Toutes ces sources sont cohérentes entre elles et montrent que les vaccins devraient être arrêtés. Comment cela peut-il se produire si les vaccins sont sûrs ?

  1. Les données du VAERS
  2. Données des gouvernements du monde entier (voir l’étude de Crawford)
  3. Sondages de ceux qui me suivent
  4. Sondages de tiers
  5. Témoignages de professionnels de la santé
  6. Sondages en direct auprès du public
  7. Rapports de blessures et de décès de ceux qui me suivent
  8. Statistiques des contacts directs avec les médecins
  9. Les décès en excès signalés par les assurances, en particulier chez les jeunes Américains (Ed Dowd s’est fait le champion de cette question).
  10. Les statistiques des embaumeurs montrent des caillots sanguins bizarres dans 93% des corps, ce qui n’a jamais été vu auparavant.
  11. Augmentation spectaculaire des commandes de cercueils pour enfants après l’introduction des vaccins pour enfants.
  12. Décès ou incidents d’athlètes, de célébrités ou de pilotes. Il s’agit de décès "à la vue du public" rapportés dans les médias.
  13. Le manque d’intérêt pour la réalisation d’autopsies sur toute personne décédée "de manière inattendue" dans les 60 jours suivant une vaccination/booster COVID, en effectuant les tests appropriés pour déterminer si le vaccin a pu causer le décès.
  14. L’augmentation considérable des taux de syndrome de mort subite des adultes (SADS).
  15. Le nombre de personnes qui meurent en pleine vue devant les caméras (nous n’avons jamais vu cela auparavant).
  16. Le nombre de jeunes médecins qui meurent au Canada peu après une dose de vaccin (jamais dans l’histoire du Canada on n’a vu quelque chose comme 30 décès post-vaccin chez de jeunes médecins).
  17. Le manque d’anecdotes positives. Par exemple, où sont les histoires genre Wayne Root où ce sont les non-vaccinés qui souffrent de blessures et de décès ? Je n’en connais AUCUNE.
  18. Le manque de débats : personne qui soutient le récit dominant ne se mettra d’accord sur la caméra pour débattre avec QUICONQUE de notre côté du récit. Cela inclut le CDC, la FDA, et les compagnies pharmaceutiques.
  19. Des médecins et des infirmières respectés dans les meilleurs hôpitaux ont obtenu de fausses cartes de vaccination. C’est particulièrement révélateur car ils risquent une peine de 10 ans de prison plutôt que d’obtenir un vaccin "sûr et efficace". Pourquoi feraient-ils cela ?
  20. Il existe des articles clés présentant de très graves lacunes, comme l’étude Rosenblum publiée dans Lancet, et le CDC ne laisse personne parler aux auteurs pour les interroger sur l’article.
  21. Le CDC ne divulgue pas l’URF (facteur de sous-rapport) du VAERS. Ils savent comment le calculer mais ne le font jamais. Ils ne l’évoquent même pas lors des réunions de l’ACIP. C’est de la corruption évidente.
  22. Il y a eu plus de décès dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné dans l’essai Pfizer. Alors comment pouvons-nous savoir qu’aucune des personnes qui sont mortes dans le groupe vacciné n’est morte à cause du vaccin ? Nous ne le savons pas, car ils n’ont jamais effectué les tests appropriés pour faire cette évaluation. Nous sommes simplement censés leur faire confiance.
  23. Il n’y a pas d’études prospectives suivant 1000 personnes ou autres dans les groupes vaccinés et non vaccinés pour suivre la mortalité et la morbidité pour tout vaccin où il n’y a pas d’exclusions (contrairement aux essais de vaccins). Pourquoi pas ? Si c’est si sûr, le CDC devrait nous montrer les données.
  24. Il semble que les hôpitaux n’enregistrent pas avec précision le statut vaccinal des patients qui sont admis. Il est donc facile de prétendre qu’il s’agit d’une "pandémie de non-vaccinés".
  25. Vous n’êtes pas considéré comme "vacciné" jusqu’à deux semaines après votre deuxième injection. Je ne suis pas sûr de ce qu’il en est pour les boosters. Mais si vous mourez dans les deux semaines qui suivent votre deuxième injection, tous ces décès sont comptabilisés comme des décès "non vaccinés", ce qui est très trompeur.
  26. Les hôpitaux sont récompensés pour avoir tué des gens au lieu de les sauver. Pourquoi une société avancée ferait-elle cela ? Pourquoi aucun législateur de Washington ne s’y oppose ?
  27. Les irrégularités dans l’essai Pfizer telles que celles documentées ici.
  28. Les taux énormes d’événements indésirables chez les personnes vaccinées.
  29. Les hôpitaux gardent secrètes leurs statistiques globales. Donc quand les accidents vasculaires cérébraux sont multipliés par 5 après le lancement de la vaccination, le public n’en entend jamais parler. Lorsque nous essayons d’obtenir ces données des hôpitaux, ils ne répondent pas.
  30. Le CDC n’a jamais été en mesure d’expliquer les décès d’enfants rapportés dans le VAERS. Ces décès ne correspondaient pas aux statistiques de base sur les décès. L’analyse du CDC a juste dit : voici de quoi ils sont morts, puis a prétendu que ce n’était pas inhabituel et a changé de sujet. Wow ! Personne dans la communauté médicale traditionnelle ou dans la presse traditionnelle ne les a interrogés à ce sujet. C’est comme si le CDC avait dit, "Rien à voir ici les gars... circulez."
  31. L’analyse des données gouvernementales donne des résultats troublants (voir par exemple l’étude de Mathew Crawford à San Diego).
  32. Les autorités gouvernementales utilisent des données non valables pour justifier leurs programmes (voir par exemple cet article).

Ces 32 exemples illustrent ce que j’entends par "toutes les preuves disponibles". Ces 32 sources seraient toutes ignorées par la communauté médicale traditionnelle. Ce n’est pas comme ça que la science est censée fonctionner.

La science nous encourage à utiliser toutes les preuves.

Si vous avez la bonne hypothèse, toutes les preuves devraient être cohérentes avec votre hypothèse.

Nous trouvons impressionnant que les 32 sources soient cohérentes avec l’hypothèse selon laquelle "les vaccins sont trop dangereux pour être utilisés".

Résumé

Les soi-disant "diffuseurs de désinformation" comme moi et mes amis sont tous guidés par les données.

La façon dont vous pouvez nous convaincre que nous avons tort est de nous montrer que votre hypothèse explique mieux les données que notre hypothèse incluant les 32 points de données.

Les appels à l’autorité ne fonctionneront pas.

À ce jour, aucun membre de la communauté médicale dominante ou de la presse ne souhaite nous engager dans une discussion sur l’adéquation des données.

Le monde devrait trouver cela très troublant.

 

Source : https://stevekirsch.substack.com/p/how-to-convince-us-we-are-wrong?utm_source=substack&utm_medium=email

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