Que nous soyons en
crise, depuis le début du Covid, personne ne le niera. Mais, selon ce que vous
soyez (très) riche ou de revenu modeste, cette crise se vit très différemment. « Ma
petite entreprise connaît pas la crise » est un peu à côté. Il faudrait plutôt
lire : « ma très grande entreprise … » Quelques rappels pour le
démontrer.
En 2020, la crise
du Covid (je sais que la pandémie a commencé en 2019, mais l’effet s’est fait
sentir réellement depuis début 2020) a été accompagnée par des confinements
dans bon nombre de pays, notamment dans les pays occidentaux. Le résultat en
fut un appauvrissement généralisé (et inutile car sans effet sur la pandémie) notamment
pour les classes moyennes et en même temps, des bénéfices plantureux
chez les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft). Comme le
commerce était devenu inaccessible par décision des gouvernements, tout s’est
concentré sur le numérique. Ainsi, il y a eu un genre de transfert des
richesses hors des poches des classes moyennes dans les poches de ces
entreprises dirigées par les hommes les plus riches de la planète.
Dès début 2021, nous
voici au temps de la deuxième épisode. Les « vaccins » [1]
arrivent avec leur publicité organisée de façon appuyée par les gouvernements
et leurs cohortes de scientifiques. Depuis la signature des contrats (secrets)
avec les grandes compagnies pharmaceutiques, les bénéfices de ceux-ci ont été
astronomiques. Pfizer, par exemple, a gagné quelques 80 milliards de dollars et
le compteur tourne toujours. D’où est venu cet argent ? Vous le savez,
n’est-ce pas ? De nos poches de contribuables. Ce sont nos gouvernements
qui paient des prix plutôt intéressants, du moins, si vous êtes du côté de
l’industrie, ou plutôt inquiétants si vous êtes simple citoyen. Il y a donc de
nouveau un gigantesque transfert de richesse. De la poche de nos pays dans les
caisses de « Big Pharma » et de ses patrons qui de toute évidence ne
doivent pas connaître la crise.
Une année plus
tard, début 2022, voici l’étape suivante. Poussée par la politique occidentale,
la guerre éclate en Ukraine. Sans discuter ici des responsabilités, notons tout
simplement les conséquences financières de ce conflit. Elles sont doubles. D’un
côté, l’industrie de l’armement est entrée dans une période particulièrement faste.
Partout on augmente les budgets, tant pour les besoins nationaux que pour
envoyer des armes sophistiquées en Ukraine. Sans que nous ayons eu quelque
chose à dire, nos gouvernements sont entrés dans un état de guerre de facto
contre la Russie. Cela entraîne de nouveau un transfert d’argent, en cours, des
moyens nationaux vers une industrie qui se porte très bien, merci.
L’autre
conséquence fait la une de nos média : faute de gaz, les prix de l’énergie
explosent. Si vous regardez les profits des compagnies pétrolières (Shell,
Total énergies, etc.), vous constaterez un autre transfert énorme de vos poches
vers ces compagnies. Cela se passe sous le regard approbateur des écologistes,
peu importe leurs couleurs politiques, qui semblent jurer par la disparition
des voitures personnelles, et par les fermetures forcées dans le monde de
l’alimentation, à commencer avec les fermiers, comme aux Pays-Bas (et dans
plusieurs autres pays). Ainsi, on va « sauver le climat » comme on a
sauvé le soldat Ryan. Ce qu’on ne dit pas c’est qu’ainsi on va aussi dépeupler
le monde. Car on est trop nombreux, beaucoup trop nombreux, des milliards trop
nombreux.
On commence donc par
prendre votre argent et vos biens. Mais ce n’est que le début.
L’ensemble de ces
transferts est toujours en cours avec une intensité variable, mais toujours
dans le même sens. « Vous ne posséderez rien, mais vous serez
heureux ! » avait dit Klaus Schwab du Forum économique mondial. A tout
cela il faut ajouter la transition en cours du paysage économique, de l’argent
privé vers l’argent numérique contrôlé totalement par « les
autorités ». Si vous vous comportez comme elles le veulent, vous aurez
accès à votre argent. Dans le cas contraire, … Ce sera un monde merveilleux
dans lequel les seuls criminels seront ceux qui auront le pouvoir.
Une drôle de
crise ! Les uns s’enrichissent comme jamais auparavant, les autres
s’appauvrissent lentement mais surement, jusqu’à devenir superflus, quantités
négligeables et candidats à l’esclavage ou à la suppression.
J’espère que vous
avez remarqué que jusqu’ici, ce que j’écris n’a aucun rapport avec un quelconque
complotisme. Ce sont les simples faits de ce que notre monde est déjà devenu ou
en train de devenir.
Mais il faudrait
aller un peu plus loin. Il faudrait se poser la question de la collusion
possible entre les élites auxquelles j’ai fait référence. Autrement dit, est-il
possible que nos politiques, nos responsables sanitaires, nos banquiers, nos
média et nos principaux industriels agissent d’un commun accord, conscient ou
non ?
L’article suivant
décrit les pourtours d’une telle collusion :
Le Forum
économique mondial : héros ou méchant ?
Joel Agius
27 juillet 2022
Dans les films et les
émissions de télévision, nous sommes souvent exposés à l’histoire du bien
contre le mal. Généralement, l’intrigue implique un héros qui fait tout ce qui
est en son pouvoir pour arrêter les plans perfides du méchant. Nous regardons, nous
applaudissons et nous sommes satisfaits lorsque le héros gagne.
Nous avons vu ce trope si
souvent que la société s’est désensibilisée à ce récit, incapable tragiquement
de le reconnaître dans le monde réel.
Le 24 janvier 1971, un
ingénieur et économiste allemand nommé Klaus Schwab a fondé une fondation à but
non lucratif appelée Forum économique mondial (WEF). Basée à Genève, en Suisse,
l’organisation se décrit comme « indépendante, impartiale et non liée à
des intérêts particuliers ».
Quelle ironie !
Depuis sa création, le WEF
s’est transformé en une organisation internationale non gouvernementale de
lobbying à huis clos ayant des liens avec la plupart des gouvernements, des
bureaucraties et des entreprises du monde. En fait, le mot ‘liens’ est un euphémisme.
Le WEF a créé des programmes de formation pour les futurs dirigeants mondiaux,
dont beaucoup occupent aujourd’hui des postes stratégiques dans les
gouvernements et les bureaucraties du monde entier. La religion n’est pas en
reste, puisque le pape François figure sur la liste des contributeurs à l’agenda.
Quel que soit le pays d’où
vous venez, un rapide coup d’œil à votre gouvernement révélera probablement la
présence de dirigeants, de responsables de l’élaboration de l’agenda et de
collaborateurs du WEF. S’ils ne sont pas directement impliqués, certains
d’entre eux ont probablement travaillé pour des entreprises partenaires ou dans
le cadre d’un programme intégré. Cette affaire internationale incestueuse
conduit à ce que des individus qui promeuvent l’agenda du WEF s’immiscent dans
la politique intérieure, dans ce qui serait ordinairement appelé un conflit
d’intérêts.
Quant à savoir si l’agenda
du WEF est ‘mauvais’ ou non, cela dépend de ce que vous pensez du démantèlement
du capitalisme, de la propriété privée, de la vie privée et de la liberté pour
les remplacer par un gouvernement mondial centralisé et non élu qui se nomme
lui-même.
Ce programme n’est pas
caché. Il est exposé dans des centaines de milliers de pages, de romans, de
forums et de longues vidéos promotionnelles. Dans les protestations mondiales de ces
derniers mois, organisées directement contre l’ingérence du WEF, on a qualifié
cette organisation de sinistre.
Une partie de l’agenda du
WEF peut être lue sur son site web. En 2022, ils se
concentrent sur le changement climatique, l’intelligence artificielle, la
cybersécurité, l’éducation, l’emploi, le Metavers, la fabrication, l’économie
numérique, l’identité numérique, le commerce, l’investissement, la santé,
l’énergie, la diversité, l’inclusion, etc. Cette organisation se vante d’avoir
un plan pour remodeler chaque aspect de la société. Pour la réinitialiser. Pour
reconstruire en mieux. Pourquoi ? Rappelez-vous que la macro-gestion du
monde est le domaine des méchants des films de James Bond et des pires tyrans
de l’histoire.
Et ça se passe toujours
mal.
Mais c’est peut-être le
but. Les fortunes changeront de mains pendant le chaos et une fois que la
société se sera effondrée sur elle-même, elle pourra être reconstruite dans un
format rentable – un format où les gens sont plus facilement contrôlés et où
les élites jouissent d’une position encore plus élevée, régnant sur le reste
d’entre nous comme dans les anciens systèmes féodaux. La dystopie politique
n’est pas un fantasme. Ils vont faire du socialisme mondial une réalité.
Il y a quelques mois, Klaus
Schwab a déclaré, tel un méchant
monologuant son plan de maître :
« Ce dont nous sommes
vraiment fiers aujourd’hui, c’est de la jeune génération comme le premier
ministre Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons donc dans
les cabinets ».
Ce n’est pas un bon choix
de mots si vous cherchez à paraître héroïque. Schwab a poursuivi en disant que
plus de la moitié des membres du cabinet de Trudeau « sont issus de nos
jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial ». C’est terrifiant
mais vrai.
Parmi les anciens Young Global
Leaders figurent le président français Emmanuel Macron, la première ministre
néo-zélandaise Jacinda Ardern, le premier ministre belge Alexander De Croo et
toute une série d’autres politiciens occupant des postes gouvernementaux.
Sont également associés au
WEF des noms célèbres tels que le Premier ministre britannique sortant Boris Johnson, ainsi qu’une bonne partie des députés conservateurs – dont la plupart
étaient candidats à la direction du parti.
Si vous essayez d’éviter le
statut de méchant, ce n’est pas une bonne idée d’organiser votre conférence
annuelle dans un village de ski suisse. La liste des orateurs de l’Agenda de
Davos 2021 et 2022 comprend la désormais ancienne chancelière allemande Angela
Merkel, le président chinois Xi Jinping, le premier ministre indien Narendra
Modi, le premier ministre israélien Naftali Bennett, le premier ministre
japonais Kishida Fumio, le premier ministre indonésien Joko Widodo, le
secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, la directrice générale
du Fonds monétaire international (FMI) Kristalina Georgieva et notre ancien
premier ministre [australien] Scott Morrison.
Les débats sont une chose,
mais le WEF a-t-il un réel pouvoir ? De plus en plus, la réponse est : beaucoup
trop.
Le projet 100 millions de fermes est au cœur
d’une grande partie de la destruction agricole. Prenez, par exemple,
l’industrie agricole néerlandaise. Les agriculteurs ont subi un impact
financier considérable en raison de la politique climatique inepte mise en
œuvre par le gouvernement néerlandais, qui cherchait désespérément à se
conformer à l’agenda climatique Net Zero du WEF et aux objectifs de durabilité
des Nations unies. Les agriculteurs ont été informés qu’en raison des niveaux
élevés d’ammoniac résultant du ruissellement de leurs vaches, et afin de
protéger la population de moustiques, ils devront perdre 30% de leur bétail.
Mark Rutte, Premier ministre des Pays-Bas, est un contributeur à l’agenda du WEF.
L’histoire est similaire au
Sri Lanka, où le WEF a retiré l’article du Premier ministre Ranil
Wickremesinghe intitulé « This is how I will make my country rich by
2025 » (Voici comment je vais rendre mon pays riche d’ici 2025), après
qu’un conflit civil ait renversé le gouvernement en raison de l’interdiction
des engrais pour les objectifs climatiques. Les manifestants pauvres et affamés
ont été qualifiés de fascistes par le régime. Le gouvernement britannique leur
a emboîté le pas en annonçant l’année dernière qu’il paierait les agriculteurs
âgés pour qu’ils prennent leur retraite en échange de
leurs terres. Cela fait partie d’une mesure visant à centraliser la propriété,
de sorte que les exploitations agricoles privées soient regroupées entre le
gouvernement, les entreprises et une poignée de riches propriétaires. Ce n’est
peut-être pas ce qu’ils annoncent, mais c’est ce qui se passe.
Cela nous ramène au slogan
effrayant du Forum économique mondial : « Vous ne posséderez rien et vous
serez heureux ». Ou dans ce cas, comme le dit Nick Dixon de Lotus Eaters, « Vous
ne sèmerez rien et vous serez heureux ».
Outre l’agriculture,
l’engagement du WEF auprès de l’OMS s’est renforcé tout au long de la pandémie
de Covid, où les entreprises partenaires se sont lancées dans la production de
vaccins, d’EPI et de systèmes numériques pour les passeports vaccinaux. Dans un
article publié par le WEF le 5 mai 2021, il est dit dans « Qu’est-ce
qu’un ‘passeport vaccinal’ et en aurez-vous besoin lors de votre prochain
voyage ? » :
Il est important que nous
nous appuyions sur l’organisme normatif (l’OMS) pour créer les exigences en
matière de titres de vaccination. Le Forum est impliqué dans le groupe de
travail de l’OMS pour réfléchir à ces normes et penser à la manière dont elles
seraient utilisées.
Les passeports vaccinaux
ont été utilisés comme mesure de contrôle. Le WEF, en collaboration avec l’OMS,
cherche à intégrer sa plateforme mondiale d’identité numérique (que l’Australie
et d’autres nations mettent en ligne) à un système international de passeports
sanitaires. L’Union européenne met également en œuvre le certificat numérique COVID de l’UE, qui n’est
valable que pendant neuf mois après la deuxième dose.
L’acceptation d’un
passeport vaccinal numérique s’est répandue par articles successifs. Selon une
enquête Ipsos, « la plupart des adultes sont d’accord avec les passeports
vaccinaux pour les voyages », allant même jusqu’à dire que « plus des
trois quarts des personnes dans le monde pensent qu’ils devraient être
obligatoires pour les voyages ». Si l’on creuse un peu plus, on s’aperçoit
que cette enquête a été commandée par le Forum économique mondial, comme
l’indique Ipsos. Il est peu probable
qu’elle reflète la majorité de l’opinion mondiale.
L’expression « laissez-les
manger des insectes » est peut-être la phrase la plus souvent utilisée
pour se moquer du WEF. Cela s’explique par leur volonté de restreindre le
régime alimentaire de la population générale en fonction de l’empreinte
carbone. Ils visent également à détruire de larges pans de l’agriculture actuelle
et à remplacer le vide commercial par de la viande artificielle produite par
des entreprises chimiques. Et des insectes. Selon un article, « les régimes à base de plantes seront
essentiels à l’avenir de la planète » pour protéger la biodiversité.
Le pape François a
également déclaré aux jeunes Européens que la consommation de viande est ‘autodestructrice’
et mauvaise pour l’environnement. Dans un article consacré à la lettre du pape
à la Conférence des jeunes de l’UE, il
est fait référence à une étude de l’université d’Helsinki qui « suggère
que manger de la viande cultivée en laboratoire et des insectes écrasés est bon
pour l’environnement ». Le WEF propose également de nombreux articles sur
les dangers du changement climatique, dont l’un traite de l’idée absurde selon
laquelle l’action en faveur du climat conduira en quelque sorte à une meilleure inclusion.
Je pourrais continuer, mais
cet article serait alors beaucoup trop long. Il suffit de dire que les insectes
n’étaient pas au menu de l’événement de Davos…
Le but de cet article est
de démontrer que l’agenda du WEF n’est pas une théorie de la conspiration,
comme le prétend la presse. Il est réel. Il se déroule sous nos yeux. Des
personnes réelles commencent à mourir de faim. Le Forum économique mondial met
en place son agenda avec l’aide de nos politiciens et de leur pouvoir
législatif. En fin de compte, ce sont eux qui sont prêts à faire des profits
sur la misère publique.
Il est crucial que chaque
personne qui se soucie de sa liberté, de ses moyens de subsistance, de sa
famille, de ses amis et de l’état général du monde se retourne et regarde le
WEF dans les yeux. Leur programme menace notre mode de vie même et leur mépris
de l’humanité est palpable.
Joel Agius est
un écrivain indépendant. Si vous souhaitez lire la suite de son travail, vous
pouvez le faire sur JJ’s Outlook ou suivre ses réflexions sur Twitter.
Traduit avec
www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
https://spectator.com.au/2022/07/the-world-economic-forum-heroes-or-villains/
Haute trahison ?
Il est à la fois
fascinant et troublant d’observer la route que prend notre société vers
l’avenir tracé par les élites. L’étrange pandémie a été le début d’un transfert
massif d’argent, comme je l’ai indiqué au début de cet article. C’était la
pointe visible de l’iceberg. Mais très vite, on s’est rendu compte que l’argent
n’était pas toute l’histoire. Joel Agius, dans son article, parle d’une
« affaire internationale incestueuse » en décrivant le WEF et ses
agissements. Là, il n’y a plus seulement une affaire de sous. Ce que l’on vise
est le pouvoir. On veut toujours l’argent (« vous ne posséderez
rien » implique que d’autres posséderont tout), mais on veut beaucoup
plus. On veut transformer le monde tel que nous le connaissons. Ce monde
nouveau aura nettement moins d’habitants – des milliards (!) de gens en moins –
et des structures totalitaires.
Ceux qui
conduisent ce coup d’état – c’en est un – ne sont pas de simples commerçants
qui ne se considèrent jamais assez riches. Ceux-là sont probablement tout
autant utilisés que les autres. Non, au cœur de ce projet il y a des gens
riches, certes, mais surtout assoiffés d’autre chose. Prenez Bill Gates. De
l’argent, il en a plus qu’il n’en faut même s’il croit sans doute n’en avoir jamais
assez. Mais il veut autre chose. Il s’est diversifié dans les vaccins et est
devenu le contributeur principal de l’OMS. Pourquoi ? Il est devenu plus
récemment le plus grand propriétaire de terres agricoles aux USA.
Pourquoi ? Il veut transformer le monde. Par des moyens médicaux
(avortements, vaccins), il veut réduire la population mondiale. En supprimant
la production de viande, il joue à provoquer la famine. Vous voyez, le grand
but n’est pas le fait de gagner plus, mais de devenir incontournable. Notez
qu’il ne s’en cache même pas. Il en parle sans vergogne. Et personne ou presque
ne le prend au sérieux.
Faut-il conclure
que trop de nos dirigeants sont, à des degrés divers, des collabos (au sens de
la guerre 39-45) d’une puissance étrangère ? Vivons-nous un coup d’état
subtil et redoutable ? Est-ce cela qui explique la collusion manifeste entre
les pouvoirs, les finances et les universités ? Ce que nous vivons, est-ce
effectivement la mise en œuvre d’un agenda commun, et donc, nécessairement,
d’un projet ? Mais nous savons déjà que c’est le cas. Ils appellent cela « le
grand reset ». Ce projet n’est pas récent. Klaus Schwab y travaille
patiemment depuis des années. Le programme des Young global leaders, qui en est l’un des pivots, a commencé en
2004 comme une refonte d’un programme précédent datant de 1992. [2]
Le projet dure donc depuis au moins 30 ans. Le but est le pouvoir sur le monde.
Est-ce que cela se
limite au Forum économique mondial ? Lorsque j’ai commencé à m’y
intéresser, durant la pandémie, je me suis très vite rendu compte que le WEF
réunit du « beau » monde. Il suffisait de regarder ses vidéos :
le secrétaire-général des Nations Unies, la directrice du FMI, le prince
Charles (très en évidence) et bien d’autres s’y expriment dans un même sens.
J’avais conclu qu’il y avait là des gens à la fois très puissants, très riches
et très pressés. Avec les rencontres à Davos, la formation des « Young
global leaders », la collusion avec l’OMS, nous avons ici « un machin »
très puissant. Le WEF est le contraire d’une ONG, une organisation
non-gouvernementale. Chaque jour un peu plus, il est le gouvernement dans
l’ombre des gouvernements, derrière eux, au-dessus d’eux. Il est le pouvoir.
Bien sûr, il n’est pas le seul. Mais comparé à ces organisations souvent
secrètes, le WEF ne se cache guère, même s’il y a sans doute des zones d’ombre
importantes. En commun entre plusieurs de ces organisations se trouve la
vieille idée des Francs-maçons, ordo ab chaos, l’ordre à partir du
chaos. Pour établir un nouvel ordre, il faut créer le chaos afin de pouvoir se
profiler comme le sauveur.
Le chaos. Pensez à
la pandémie, la guerre en Ukraine, la panique autour du climat, la variole du singe,
le prix du gaz. Tout va de travers. Nous risquons l’extinction climatique. Sans
les mesures proposées par nos gouvernements, le Covid aurait causé des
centaines de millions de morts, dit-on. Il faut donc accepter des mesures
draconiennes pour survivre. Il faut tuer la liberté d’opinion et faire taire la
désinformation. Mieux vaut être esclave que mort. Bien sûr, on aura l’un sans
pouvoir éviter l’autre.
On en est déjà là.
La trahison a été commise. Mais la plupart des gens ne voient rien, ils ont été
comme hypnotisés. Le « Vous n’aurez rien » de Schwab est en train de
se dérouler sous nos yeux. « Vous n’aurez rien » veut dire :
« nous vous enlèverons tout. » Un vol organisé commence à se
dessiner. Comment cela est-il possible ? En changeant les lois. Prenez les
lois climatiques par lesquelles on a volé leur voiture à bien des citadins,
comme à Bruxelles. « Votre voiture est trop vieille selon nos critères,
elle ne peut plus rouler ici. Vous n’avez pas les moyens pour vous en acheter
une autre ? Dommage pour vous. » Pensez aux agriculteurs
néerlandais : « Votre production d’ammoniac est écologiquement
inadaptée. Vous devez arrêter votre ferme. On vous le reprendra à notre
prix. » Pensez-vous vraiment qu’ils n’inventeront pas de nouvelles lois
pour vous reprendre votre maison ? Pour bloquer vos comptes ? Vous
vous rappelez des lois Covid ? On a créé une panique et enlevé les
libertés aux gens. Sans fondement réel. Sans efficacité aucune. Sans besoin. Et
la plupart n’y ont vu que du feu. Mieux, on remercie le gouvernement et ses
experts de nous avoir si bien protégés par de si bons vaccins. Mêmes les
Eglises ont suivi, les yeux fermés.
Nous préparer
Sous nos yeux se
dessine peu à peu la société qu’annonce l’Apocalypse. Cela veut dire qu’un
temps de grandes souffrances est à nos portes. La persécution qui a frappé
pendant si longtemps les chrétiens ailleurs dans le monde s’étendra sur
l’Occident. Il faut donc nous préparer à vivre dans un monde totalement
différent. Voici sept suggestions pour nous y préparer en terminant cet article :
- Il est plus que jamais temps de chercher premièrement le Royaume de Dieu et sa justice, car plus que jamais, ce qui doit arriver se concrétise sous nos yeux. La nuit est fort avancée et sans discernement spirituel, nous risquons fort être balayés par la séduction de la Bête et de son vendeur, ou par les visions mensongères qui nous aveuglent si facilement.
- Vivre modestement. La vie ne dépend pas de ce que l’on possède, nous le savons. Mais nos possessions créent une dépendance qu’il nous faut briser. Cette modestie devrait aussi toucher à notre alimentation. Il faut réduire nos appétits. « Bref, que tous ceux qui jouissent des biens de ce monde vivent comme s’ils n’en jouissaient pas. Car le présent ordre des choses va vers sa fin. » (1Corinthiens 7.31)
- Nous déshabituer de nos écrans. Ces derniers sont le vecteur privilégié par lesquels on cherche à nous inquiéter, nous paralyser et nous asservir. Et cela vaut aussi pour nos enfants. « Fixer nos regards sur Jésus » n’est pas seulement une discipline spirituelle. C’est aussi une discipline des yeux.
- Trouver notre inspiration dans les ressources écrites qui bâtiront notre foi, notre résilience et notre créativité. Puis-je pousser l’évidence à l’extrême en rappelant que la Bible devrait figurer à la première place de ces ressources ? Cela va sans le dire, mais cela va encore mieux en le disant. Il faut nourrir notre âme. Si non, un autre la nourrira pour notre perte.
- Nous préparer à la solitude. Le temps des cultes publics et autres rassemblements est peut-être compté. L’Eglise de demain pourrait bien se limiter à de petits groupes, sans l’assistance d’un tas de béquilles artificielles (musique, activités, bâtiments, …).
- Nous armer : « Ainsi donc, puisque le Christ a souffert dans son corps, armez-vous aussi de la même pensée. En effet, celui qui a souffert dans son corps a rompu avec le péché afin de ne plus vivre, le temps qui lui reste à passer dans son corps, selon les passions humaines, mais selon la volonté de Dieu. » (1Pierre 4.1,2)
- Ne pas nous inquiéter. C’est peut-être la chose la plus difficile dans cette liste ! C’est tellement humain. Comment y arriver ? Jésus nous le dit dans le Sermon sur la montagne. On le fait en pratiquant ce que j’ai mis au point 1. Cela fait de cette liste un genre de cercle vertueux. L’apôtre Paul ne dit pas autrement dans ce passage connu : « Ne vous mettez en souci pour rien, mais, en toute chose, exposez vos besoins à Dieu. Adressez-lui vos prières et vos requêtes, en lui disant aussi votre reconnaissance. Alors la paix de Dieu, qui surpasse tout ce qu’on peut concevoir, gardera votre cœur et votre pensée sous la protection de Jésus-Christ. Enfin, frères, nourrissez vos pensées de tout ce qui est vrai, noble, juste, pur, digne d’amour ou d’approbation, de tout ce qui mérite respect et louange. Ce que vous avez appris et reçu de moi, ce que vous m’avez entendu dire et vu faire, mettez-le en pratique. Alors le Dieu qui donne la paix sera avec vous. » (Philippiens 4.6-9)
[1]
Les guillemets pour ce mot indiquent que ces produits ne sont pas vraiment des
vaccins. Ils ne protègent ni contre la transmission, ni contre la maladie, ni contre
la mort. Bien au contraire, ils semblent plutôt les favoriser.
[2] Voir
ici une liste restreinte d’hommes et de femmes sortis de ce programme.