En regardant un sujet dans les
actualités sur notre chaine nationale, j’ai dû penser à ce titre étrange. Il
s’agissait du réchauffement du climat et la montée dramatique de la mer de 5-7
mètres, suivi du cri d’alarme habituel que nous devons faire quelque chose pour
sauver le climat, et la planète avec.
“Palestinisés” ? Ce mot
barbare implique pour moi le mélange dangereux de trois choses : la
propagande, la crédulité et l’ignorance. C’est à la fois inonder le public avec des opinions présentées comme des vérités
absolues qui doivent être reçues sans critique, croire ce que les média nous distillent sans aller vérifier avec
une naïveté qui frise l’incroyable, et ignorer
que, derrière tout cela, il y a sans doute des objectifs qu’on nous cache.
Autrement dit, on nous mène par le bout du nez. Tantôt cela traduit le mensonge
flagrant, tantôt on laisse faire le sale boulot par des idiots utiles qui
croient sincèrement à leur affaire, mais qui sont probablement aussi bernés que
le bon peuple. “Palestinisé”, vous l’aviez compris, est dérivé de l’exemple
magistral dans ce domaine qu’est la propagande palestinienne.
Il y a une génération, le
Reichsminister Joseph Goebbels, ministre de propagande des Nazis, était
l’exemple type de ceux qui agencent cette déliquescence de l’opinion publique.
De nos jours, les champions hors catégorie sont les deux leaders palestiniens,
Yasser Arafat et son successeur, Mahmoud Abbas, ou, de son nom de guerre – ou
de terroriste – Abou Mazen. Avec un visage de grand-père innocent et une
persistance aussi admirable que diabolique, ce dernier inonde les média de sa
propagande. Mensonges et distorsions de la vérité sont manifestement le seul
mode opératoire connu à Ramallah avec un effet redoutable dans les opinions
publiques du monde entier.
Ainsi, les meurtres commis sur
instigation de l’Autorité palestinienne sont presque totalement invisibles. On
ne retient que “la violence extrême et gratuite” des Israéliens. Ils sont “les
occupants illégitimes” d’un pays dont ils devraient être chassés pour qu’enfin
règne la paix dans le Moyen Orient. Et toute action de terrorisme contre
“l’Etat hébreu” est donc une action soudainement et miraculeusement légitime.
J’ai mis des guillemets, parce que la phrase est fallacieuse. Les actes de
terreurs sont en fait systématiquement perpétrés contre des individus, des civils. Or, cela tombe obligatoirement
sous le coup d’une interdiction du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Voici l’article 3 de la
résolution 1566 de 2004 de ce conseil :
3. Rappelle que les actes criminels, notamment ceux dirigés contre des
civils dans l’intention de causer la
mort ou des blessures graves ou la prise d’otages dans le but de semer la
terreur parmi la population, un groupe
de personnes ou chez des particuliers, d’intimider une population ou de
contraindre un gouvernement ou une organisation internationale à accomplir un
acte ou à s’abstenir de le faire, qui sont visés et érigés en infractions dans
les conventions et protocoles internationaux relatifs au terrorisme, ne sauraient en aucune circonstance être
justifiés par des motifs de nature politique, philosophique, idéologique,
raciale, ethnique, religieuse ou similaire, et demande à tous les États de
prévenir ces actes et, à défaut, de
faire en sorte qu’ils soient réprimés par des sanctions à la mesure de leur
gravité; [1]
Inutile de vous dire que ce bel
article reste systématiquement lettre
morte quand le terrorisme touche Israël. Et tout le monde, ou presque, gobe
cela sans froncer un sourcil. Pourquoi ? Parce que nous avons été
“palestinisés”. Nous sommes manifestement prêts à accepter les pires exactions
tant que le but en est de porter atteinte à Israël et au peuple Juif, et pas à
nous.
Des terroristes de l’Etat
islamique sèment la mort à Paris, et le monde entier se lamente et s’insurge.
On réitère de belles phrases pour condamner ce terrorisme, mais en même temps on continue à soutenir
politiquement et financièrement l’horreur palestinienne, encouragé, encadré,
récompensé et justifié par les régimes de terreur de Ramallah et de Gaza.
Sommes-nous hypocrites ? Schizophrènes ? Sans doute. Nous avons été
“palestinisés”.
Nous, Européens, sommes des gens
civilisés et intelligents. Nous sommes opposés au terrorisme sous toutes ses
formes – à l’exception du terrorisme palestinien que nous subventionnons.
Nous, Européens, nous bombardons
les forces de l’Etat islamique et nous soutenons l’Autorité palestinienne qui
fait pourtant la même chose !
Nous, Européens, sommes
tellement surs de nous-mêmes que nous ne sommes plus capables de discerner
l’horreur perpétuée avec notre argent, notre appui et notre silence. Nous
filtrons les mouches de notre petite politique intérieure et nous avalons les
chameaux de notre politique extérieure.
Nous, Européens, nous avons
tellement chassé le Juif, depuis 800 ans !, que Dieu a dû se dire qu’il
était temps de nous envoyer des Arabes à la place pour que nous apprenions à
sentir le poids de l’Islam. Nous avons écarté le Dieu de la Bible et Dieu, un
gentleman, nous laisse en la compagnie de l’Allah du Coran.
Nous avons été “palestinisés”.
Comment avons-nous pu en arriver
là ?
Nous avons acceptés des mensonges
énormes parce que cela nous convenait, ou parce que nous avons fait confiance
aveuglement aux blouses blanches, à la presse ou aux législateurs.
Ainsi, nous avons jugé normal qu’une
femme puisse décider de tuer l’enfant qu’elle porte. Dès qu’on se met à
réfléchir, on se dit que c’est une horreur. Eliminer les plus faibles de la
société sans une minute de réflexion (la France vient d’abolir le délai de
réflexion) n’est pas humain. Qui peut accepter cela la conscience tranquille ?
Sur base de chiffres truqués (on le sait maintenant), nos parlements ont voté l’inimaginable,
et malheur à qui voudrait revenir en arrière ! C’est un acquis, un droit
de tuer officiel pour le plus grand progrès de la société. Puisqu’on nous dit
qu’un bébé n’est pas encore un bébé avant un certain nombre de mois. Mais
quelle mère peut croire cela ?
Serait-il possible que, puisque
nous avons accepté cela, il n’y aura
plus de limite à notre crédulité ? Qu’une damnation pèse sur nous, et que
nous sommes aspirés par l’abîme, ajoutant foi aux pires choses pour qu’elles
nous conduisent pas à pas jusqu’à la fin de notre société ?
Oui, nous avons été
“palestinisés”, avec notre consentement.
La COP21 est un “bel” exemple de
ce processus. Propagande, crédulité et ignorance sont à l’œuvre à l’unisson. Il
faut sauver la planète : Faire un geste pour la planète; se sentir
coupable d’être la cause du temps plus chaud que d’habitude; paniquer parce que
l’océan va nous engloutir; payer pour empêcher cela.
Les preuves ? Puisqu’on
vous le dit. Les scientifiques sont unanimes. C’est le CO² que nous produisons
qui est le coupable. Un geste pour la planète serait donc d’aller en vélo
plutôt qu’en voiture. Comme d’ailleurs tous ces gens très sages rassemblés pour
l’occasion au Bourget. On y a donc aménagé un énorme garage pour vélos ?
Mais si eux-mêmes n’y croient pas et continuent à voyager inlassablement de par
le monde en avion aux frais des autres, pourquoi devrions-nous y croire ?
Où sont les statistiques fiables
sur l’apport en CO² des différentes sources sur notre planète : les océans,
les mers et les fleuves, les volcans, les animaux. Le CO² humain (notre
respiration autant que nos usines et nos transports) correspond à quel
pourcentage du total ? Vous le savez ? La dernière statistique que j’ai
vue parlait de … 0,34% ! Autrement dit, une fraction. Travailler sur ce
pourcentage à renfort de centaines de millions d’euros aura quel effet ?
Bien sûr, il est difficile à
supporter que nous soyons les victimes impuissantes des soubresauts climatiques.
Comme au Moyen-âge et son petit ère glaciaire et aussi son réchauffement
climatique, réputé pour avoir été un temps de grande abondance. Mais bon, il n’y
avait ni usines, ni avions, ni écologistes pour gâcher le plaisir.
Changer le climat ! Quelle
prétention mégalomaniaque. Eviter une « interférence anthropique
dangereuse avec le système du climat », comme le suggère le site
internet de la COP21 ? Et si nous étions (con)damnés à l’essayer pour
notre malheur, comme le Prométhée de la mythologie ? Pourquoi ? Parce
que nous avons choisi d’être “palestinisés”. La folie sert à notre humiliation.
Savez-vous que veut dire COP21 ?
Le 21 tient pour notre siècle, c’est facile à deviner, non ? Et bien, même là, on se trompe. En fait, cela ne veut rien dire d'autre que la 21me COP depuis l'adoption de la convention des Nations Unies sur le CC (changement climatique). Ainsi, la COP22 aura lieu en 2016. Mais COP ? Comme
moi, vous vous êtes peut-être dit : Conference On the Planet ? Et
bien, non. Cela veut dire : Conference Of Parties. Mais vu la frénésie qui
s’est emparée de la planète – des seuls humains de la planète, en réalité – on aurait
pu l’appeler la Conference On Psychiatry. On est devenu fou. On croit tout,
sauf la vérité.
Permettez-moi de terminer avec
deux textes de la Bible. Ils me semblent décrire notre triste temps avec une
exactitude étonnante :
“Ils ont délibérément échangé la
vérité concernant Dieu contre le mensonge … Ils n’ont pas jugé bon de connaître
Dieu, c’est pourquoi Dieu les a abandonnés à leur pensée faussée, si bien
qu’ils font ce qu’on ne doit pas. Ils accumulent toutes sortes d’injustices et de
méchancetés, d’envies et de vices; ils sont pleins de jalousie, de meurtres, de
querelles, de trahisons, de perversités. Ce sont des médisants, des
calomniateurs, des ennemis de Dieu, arrogants, orgueilleux, fanfarons,
ingénieux à faire le mal; ils manquent à leurs devoirs envers leurs parents;
ils sont dépourvus d’intelligence et de loyauté, insensibles, impitoyables. Ils
connaissent très bien la sentence de Dieu qui déclare passibles de mort ceux
qui agissent ainsi. Malgré cela, non seulement ils commettent de telles
actions, mais encore ils approuvent ceux qui les font.” (Romains 1.25,28-32)
“Voilà pourquoi Dieu leur envoie
une puissance d’égarement pour qu’ils croient au mensonge. Il agit ainsi pour
que soient condamnés tous ceux qui n’auront pas cru à la vérité et qui auront
pris plaisir au mal.” (2Thessaloniciens 2.11,12)
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