Der Spiegel
s’est procuré un rapport interne de la
police qui décrit l’ampleur du chaos de la nuit du nouvel An où, dans
plusieurs villes allemandes, des hordes de migrants, de réfugiés, de nord
africains et d’arabes ont « chassé comme du gibier », agressé, violé,
violenté, volé des jeunes femmes allemandes.
Le
rapport interne de la police fait froid dans le dos, car il permet au delà de
toute langue de bois que nous laissons aux imbéciles journalistes des grands
médias, de s’imaginer ce que pourrait donner une révolte massive et organisée
de l’islam importé par les migrations récentes. Dans la nuit du 31 décembre, les
policiers ont totalement perdu le contrôle de la situation, et ont redouté des
morts.
Des
femmes et des jeunes filles ont été assaillies de toutes parts par des hordes
de musulmans qui n’ont pas été impressionnés par la présence policière et n’ont
pas reculé.
La
police indique dans son rapport avoir croisé, impuissante, d’innombrables
passants, essentiellement des femmes et des jeunes femmes, en larmes,
bouleversées, paniquées, qui déclaraient avoir été volées, frappées, et
victimes de violences sexuelles.
Tous
les témoins sans exception décrivent les meutes d’homme comme étant des
«migrants masculins».
Des
scènes de chaos dignes de films d’horreur
La
police était tellement débordée, explique le rapport, l’ampleur des violences
ressemblait à des films d’horreurs ou de scènes avec des morts-vivants tuant
tout sur leur passage, que «les forces de l’ordre ne contrôlaient
plus ni les incidents, ni les agressions, ni les délits». Incapables d’aider les victimes,
incapable d’identifier les coupables, encore moins de les arrêtés, les
policiers ont été submergés, impuissants, frustrés.
Voici quelques une des atrocités dont
les policiers ont été témoins – et encore une fois, incapable d’arrêter :
- Les meutes d’hommes encerclaient leurs proies féminines et empêchaient les forces de l’ordre d’approcher pendant qu’ils se livraient à des attouchements, des violences, et les volaient.
- Un migrant a même lancé aux policiers : "Je suis Syrien, vous devez bien me traiter. Madame Merkel m’a invité".
- Des témoins ont été menacés de mort s’ils dénonçaient les coupables.
- Des réfugiés ont déchiré leur permis de séjour sous le nez des policiers en ricanant : "Vous pouvez rien contre moi, donnez m’en un nouveau."
- Les hordes de musulmans refusaient d’obéir aux ordres de la police, refusaient de quitter les lieux, et débordés par le nombre et l’agressivité de ces arabes, ils ne pouvaient procéder à aucune interpellation.
- Les forces de l’ordre ont été la cible de fusées et de jets de bouteilles.
- Il était impossible d’arrêter qui que ce soit sans risquer d’être lynché.
- Des bagarres ont éclaté entre les migrants pour prendre les trains d’assaut.
- Quand ils ont réussi à évacuation la gare centrale, les vols et agressions sexuelles ne se sont pas arrêtées, elles avaient lieu à plusieurs endroits à la fois.
- Les services de police ont craint qu’ils ramassent des jeunes femmes mortes ou gravement blessées sur la chaussée.
L’auteur
du rapport précise que jamais, en 29 ans de service, il n’avait vécu un
tel chaos et une telle indifférence vis-à-vis de la police.
On
apprend également du rapport que parce que les policiers n’étaient pas assez
nombreux, « ils ont très vite atteint les limites de leur manœuvre
d’action », bien que leurs opérations ont duré toute la nuit, de 21h45 à
7h30, sans pouvoir éviter les viols et agressions sexuelles.
Pour
l’instant, on compte 160 plaintes pour violences sexuelles, vols, et
agressions, mais la police suppose que le nombre réel a de quoi faire
peur.
Et
personne n’osera classer cela pour ce que c’est : un acte terroriste.
Combien vont devoir payer pour le laxisme de nos gouvernants?
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