Le culte de la Liberté

Le culte de la Liberté

mardi 12 janvier 2016

Allemagne, suite et pas fin. « C’était une situation de guerre civile. Ça va exploser ! »

Le but de ces deux posts n'est pas d'encourager un sentiment anti-musulman. Mais la vérité a le droit d'être connue. Rebâtir notre société occidentale par le mensonge ne doit pas être une option. Le mensonge ? Délibérément taire le comportement criminel d'une partie (non négligeable ?) de la population musulmane. Est-ce donc “stigmatiser” les musulmans ? Cela veut-il dire que nommer un coupable ferait maintenant du tort aux coupables ? Notre monde danse sur sa tête. Ayant rejeté Dieu, il est devenu fou. Ayant jeté la foi chrétienne aux ordures, il voit revenir les barbares. Ayant payé les terroristes qui s'attaquent aux femmes et aux enfants d'Israël, il est remboursé cash.
Faut-il se plaindre ? Ou faut-il se repentir ?

jan 10, 2016
Un témoignage qui fait froid dans le dos : Ivan Jurcevic est un professionnel des rings de sports de combat. Depuis 1989, il est aussi chaque année « videur » à l’entrée de l’Hôtel Excelsior de Cologne le soir du réveillon de Nouvel An. Il était bien placé pour voir le calvaire qu’ont vécu de nombreuses femmes ce soir-là.
Dans une vidéo postée sur son compte Facebook, il raconte que des femmes venaient le supplier de les laisser entrer dans l’hôtel car elles étaient pourchassées par des immigrés qui voulaient les violer.
Ivan Jurcevic décrit la nuit d’horreur. Des immigrés crachaient sur les clients de l’hôtel, les frappaient. Ils ont attrapé des gens, les ont tabassés et piétinés. Les policiers étaient en nombre insuffisant pour mettre fin à ces horreurs. Des groupes d’immigrés tiraient avec des fusées en direction des gens, des policiers, des voitures de police, de la cathédrale aussi.
Témoignage:
« Une personne a été poignardée, gravement blessée. Une ambulance et la police sont arrivées. Et puis ce fût l’escalade.»
« Les gens que nous avions accueillis il y a à peine trois mois à la garde de Cologne ont commencé à tirer sur la Cathédrale et sur la police…»
« Des policiers chevronnés m’ont confié qu’ils n’avaient jamais rien vu de tel dans leur vie : c’était une situation de guerre civile. »
« Aucune couverture médiatique. »
« Pendant toutes la soirée des femmes me demandaient si elles pouvaient rester près de moi pour les protéger. Nous sommes poursuivis par ces gens là ! Ils s’en sont pris alors à moi.
« Je leur ai donné une raclée car je n’avais jamais vu cela.»
Ivan Jurcevic dit mot pour mot : « Je croyais que c ‘était de la propagande d extrême droite, de Pegida, mais non ! C’était bien réel ! »
D’autres violences ont eu lieu dans la nuit « Ils ont donné des coups de pieds dans la tête d’un type allongé au sol. »
« La police anti-émeute est arrive, nous les videurs sommes intervenus. Mais aucun panier à salade n’est venu les chercher, ils étaient tous occupés et les cellules débordaient déjà. La police a dû relâcher les contrevenants.» 
« Lesquels se sont rassemblés devant les véhicules de police pour gueuler “Nique la police” et cracher sur leur pare-brise… »
« Cela va empirer. Lors du carnaval de Cologne, ça va vraiment exploser ! »
« Je me suis toujours tenu en dehors de la politique… Mais là c’est la réalité ! Des filles tremblaient debout devant moi ! »
Ivan Jurcevic a par la suite donné des interviews à la presse sur ce qu’il avait vu.
« Beaucoup sont arrivés sur place en début de soirée avec des bouteilles de bière et d’alcool à la main. La plupart d’entre eux étaient déjà ivres. »
Les clients de l’hôtel qui fument à l’extérieur de l’entrée sont accostés. Ils voulaient s’emparer des femmes.
Il voit des femmes fuir vers lui et le supplier de les aider. Leurs poursuivants suivent et menacent l’entraîneur d’arts martiaux bien connu. «Je fais 1m98 et je pèse 130 kilos. Il ne faut pas me chercher.», dit-il.
Il frappe l’un des assaillants et se retire dans l’entrée de l’hôtel. D’autres immigrés lui promettent de le tuer.
De l’intérieur, Ivan et les clients de l’hôtel assistent incrédules à des scènes d’une violence inouïe. Des agressions sexuelles, des bagarres au couteau, des gens tabassés…



« Nous avons des instructions de la hiérarchie d’ignorer les crimes et délits perpétrés par les migrants »
jan 10, 2016
Les terribles attaques et agressions sexuelles survenus à Cologne et dans d’autres villes d’Allemagne n’en finissent pas de secouer le pays. De plus en plus, de nouveaux délits sont mis en lumière.
Version originaleHessen: Ein hochrangiger Polizeibeamter aus Frankfurt/M. erklärt BILD: „Bei Straftaten von Tatverdächtigen, die eine ausländische Nationalität haben und in einer Erstaufnahmeeinrichtung gemeldet sind, legen wir den Fall auf dem Schreibtisch sofort zur Seite.“Der Beamte weiter: „Es gibt die strikte Anweisung der Behördenleitung, über Vergehen, die von Flüchtlingen begangen werden, nicht zu berichten. Nur direkte Anfragen von Medienvertretern zu solche Taten sollen beantwortet werden.“
Traduction :
Région du Hesse : Un policier haut gradé de Francfort explique au BILD : « Pour les délits commis par des criminels possédant une nationalité étrangère et qui sont enregistrés dans un centré de réfugiés, nous classons immédiatement le dossier sans suite ».
Le policier continue : « Il y a de strictes instructions venant de la hiérarchie pour ne pas reporter les crimes et délits perpétrés par les migrants. Seules des requêtes directes émises par des journalistes ou des médias peuvent être suivis d’effet ».

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