LES
DERNIERS 5000 ANS – FORAGE GLACIAIRE AU GROENLAND (GISP2)
(Présentation Conférence de
BRISBANE en Mai 2007)
Au milieu de toutes les démonstrations “pour la planète” et
de tout le matraquage médiatique, voici l’image choc. Il s’agit des relevés
d’une carotte glaciaire qui donne une indication des températures des derniers
5000 ans. Voici la légende :
Série d’isotopes oxygène/temps des derniers 5000 ans, GISP2, forage glaciaire au Groenland … La période chaude actuelle, fin 20e, début 21e siècle, représente le dernier d’un cycle millénial régulier de périodes chaudes semblables, marquées en vert. Cette période pourrait égaliser celle de la période chaude du Moyen-Age, mais elle n’a toujours pas atteint les températures des périodes chaudes romaine ou minoenne.
Pourquoi cette image
est-elle révolutionnaire ?
Parce qu’elle montre que l’influence
humaine (= l’effet anthropique) sur le climat est négligeable. Il s’agit d’un
cycle. Donc, toutes les mesures draconiennes que l’on voudrait imposer pour
juguler le climat seront totalement sans effet sur le climat. Elles auront
seulement un effet draconien sur l’humanité.
Aujourd’hui, on présente les choses selon l’illustration du
stick de hockey : Par le moyen de cette illustration on prétend qu’il n’y a
jamais eu de hausses de températures aussi dramatiques que de notre temps, et que
la cause en est le CO2 produit par l’homme. Mais cette illustration
est fausse. Bien sûr, on ne reprend plus cette illustration fausse, mais on présente
pourtant les choses comme si elle était
vraie. Autrement dit, on trompe le monde !
Sur ce stick de hockey, cf. l’article suivant : https://www.john-daly.com/hockey/hockey.htm.
Voir aussi, en anglais, la lettre ouverte de 100
scientifiques reconnus dans ce domaine au secrétaire générale de l’ONU : http://scienceandpublicpolicy.org/images/stories/papers/reprint/UN_open_letter.pdf
Un article plus technique, par un professeur à l’ULB, sur l’effet
du CO2 sur le réchauffement climatique se trouve ici : http://www.science-climat-energie.be/2019/02/14/le-rechauffement-climatique-dorigine-anthropique/.
En voici les conclusions (c’est moi qui accentue) :
De cet exposé on peut conclure que :
1° L’effet de serre, qui résulterait de la désactivation
radiative (fluorescence) de molécules ayant absorbé une fraction du rayonnement
thermique de la Terre, ne peut exister au niveau des basses couches
atmosphériques.
2° Au niveau des basses couches atmosphériques, les molécules
ayant absorbé une fraction du rayonnement thermique de la Terre se désactivent
par collisions avec les molécules environnantes principalement N2 et O2.
3° La conversion d’énergie de vibration des molécules de CO2 en énergie de translation
des molécules environnantes ne modifie pas le bilan énergétique global de la
Terre.
4° Le CO2 ne peut contribuer
en aucune manière à un réchauffement ni de la surface terrestre ni des basses
couches atmosphériques.
5° La théorie du
réchauffement climatique d’origine anthropique basée sur l’existence d’un effet
de serre n’a aucune justification ni théorique ni expérimentale.
Cela ne veut pas dire que le réchauffement est illusoire.
Cela veut dire que l’homme n’y est pour rien. Voici une dernière graphique
officielle sur l’état actuel de ce réchauffement :
Il semble possible d’en conclure que le pic est derrière
nous. Mais là, il manque bien sûr du recul.
La conclusion ?
Ces questions sont beaucoup trop importantes pour les
abandonner à des groupes de pression qui veulent semer la panique.
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