Le culte de la Liberté

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vendredi 15 octobre 2021

Quatre mensonges qui tueront le monde 4/6

 4. Covid : Ta santé ou ta vie ! 

Quatre mensonges pour les asservir tous
et les lier dans les ténèbres.


L’étrange pandémie – toujours en cours – est le quatrième mensonge. Etrange, cette pandémie ? Oui, et pour plusieurs raisons :

  • ·         Son origine est contestée : une origine naturelle, une fuite de laboratoire, une arme biologique ? Un virus naturel ou un virus « bricolé » par des scientifiques ?
  • ·         Une maladie sans traitement. Aucun traitement ne marcherait et le vaccin serait donc l’unique espoir ? Ou des traitements efficaces sont-ils disponibles ?
  • ·         Le masque nous mettrait à l’abri. Entre les avis de nos dirigeants, les études scientifiques et le bon sens, qui croire, et quand ?
  • ·         La distanciation, un variable à géométrie inconnue. Un mètre, deux, trente ? Ou est-elle sans effet ? Fallait-il donc séparer les générations pour créer un monde sans contact physique ?
  • ·         Un virus inactif à table. Assis, debout, l’action du virus varie-t-elle ? Agit-il seulement à partir de 1m40 ? Et pas quand on mange ou quand on fume ?
  • ·         Le confinement, le couvre-feu, réponses miracles. Ont-ils un effet sanitaire ? Ou seulement un effet économique et psychologique dévastateur ?
  • ·         Le vaccin, sauveur obligatoire. Mais quid des mutations qu’il provoque et contre lesquels il est quasi obsolète ?

Tout a commencé … quand ? Les origines du coronavirus qui est la cause de la pandémie sont perdues dans les brumes. Depuis que les mails d’Anthony Fauci, le responsable Covid des Etats Unis, ont été révélés, on sait que des chercheurs et de l’argent américain ont été étroitement impliqués dans l’élaboration du virus, qui semble être un virus naturel amélioré, ou, mieux, empiré. On sait aussi que les origines sont en grande partie à chercher à Wuhan où se trouve le Labo de haute sécurité chinois. On sait aussi que les Chinois sont très peu disposés à ce qu’on en sait davantage, et qui dit Chinois dit obligatoirement le Parti communiste chinois sous la direction du président Xi. On sait aussi que pendant que la Chine a interdit les vols intérieurs au début de l’épidémie à Wuhan, elle n’a pas interdit les vols vers l’étranger, notamment vers le nord de l’Italie, avec les conséquences que l’on sait. On sait encore qu’un certain Bill Gates, devenu Monsieur vaccin, s’attendait en octobre 2019 à une année 2020 extrêmement profitable pour l’industrie du vaccin, selon un tweet publié. Le reste semble être resté une question opaque.[1] Une fuite du laboratoire semble le plus probable mais une arme biologique ne peut guère être exclue, tellement le contrôle total et malveillant du Parti communiste chinois demeure un facteur aussi important qu’impondérable. Ce parti semble aussi pouvoir compter sur la collaboration active d’un certain nombre de scientifiques internationaux.

Cela conduit-il à des certitudes absolues ? Guère. Mais cela conduit bien à des inquiétudes et des questions ouvertes. C’est de toute évidence un terrain miné où le mensonge est maître.

Le mensonge ?

Avant d’aller plus loin, il faut s’arrêter un moment sur la communication autour de la pandémie. Celle-ci est assez différente de ce qui se passe avec les trois autres mensonges dont je parle en ces quelques articles. Peu à peu, tout débat a disparu. On n’a plus qu’un seul son de cloche, tant sur l’avortement, que sur le question LGBT que sur le climat. Toute voix contraire a peu à peu été exclue des média. Mais pour le Covid, on est allé un pas plus loin. Les « fact checkers » sont entrés dans la danse et avec eux, la censure. C’est un fait nouveau, jamais encore utilisé dans le monde « libre » en dehors des périodes de guerre et d’occupation. C’est normal dans les sociétés de type communiste. Dans l’URSS, on avait la Pravda, l'un des média soumis au régime et un journal qui sent bon (mauvais ?) le livre 1984 de George Orwell. La Pravda donnait la seule version autorisée. Toute opinion différente était censurée. Mais voilà qu’une Pravda à l’occidentale a vu le jour. Elle s’est étendue à la plupart des média, et apparemment sans avoir dû être imposée d’en haut. L’unanimité des média semble être spontanée et de conviction. Toute opposition est bannie et ridiculisée. Et sur les réseaux sociaux appartenant aux GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), toute opinion contraire est censurée et « fact checkée », confirmant ainsi que le Covid se développe dans un espace soviétisé. Avec cela est apparu le vocable « fake », peu utilisé avant. Toute opinion qui n’est pas défendue dans la Pravda est « fake ». Entre russe et anglais, le français n’a qu’à bien se tenir !

On se plaint de la grande influence des « fake » sur les « anti-vax », encore un néologisme, et sur les ignorants. Car si tu n’es pas « vacciné » mais que tu n’y est pas forcément opposé, tu dois être ignorant. Il faut donc laisser aux autorités le soin de t’informer, de t’éduquer et bientôt, qui sait, de te rééduquer et, pourquoi pas, dans un camp de rééducation. Mais qui nous assure que les « fact checkers » sont fiables ? En fait, des preuves de leur absence de fiabilité commencent à sortir, comme dans cet article.

Dans un long échange que j’ai eu sur Facebook, j’avais posé la question comment il fallait considérer les médecins et professeurs de médecine en désaccord avec la thèse officielle et qui défendaient des traitements plutôt que la « vaccination » contre le Covid. Sont-ils des charlatans ? Sa réponse est intéressante. Il a soulevé qu’on ne peut accepter qu’une médecine fondée sur des preuves, une « evidence based medicine ». Qui peut ne pas être d’accord avec cela ? Mais de quelles preuves s’agit-il ? Aujourd'hui, les seules preuves acceptées sont celles issues des laboratoires et dûment présentées dans les journaux médicaux autorisés. Si dans ces journaux tout traitement préventif ou curatif du Covid est mis en doute, les médecins qui l’utilisent quand même doivent être considérés comme des charlatans. Autrement dit, le succès de ces traitements – le rétablissement des malades – ne constitue pas une preuve. Mais un tel préjugé contre la réalité sur le terrain ne peut guère être appelé scientifique ! Le faux article du Lancet sur l’Hydroxychloroquine d’il y a un peu plus d’un an doit nous rendre prudents devant l’apparent consensus scientifique de la Pravda occidentale. En plus, les mots consensus et scientifique sont mutuellement contradictoires.

Cela nous conduit à un problème évident : comment évaluer ce que nous lisons ou entendons ? Cela concerne bien sûr autant les média dits officiels que les média sociaux. Il me semble que nous ne devons ni accepter tout ce qu’un auteur avance, ni rejeter tout. Un auteur peut écrire un excellent article, avec des sources sérieuses, et, à un autre moment, écrire des choses éminemment critiquables. Logiquement, nous devrions aussi connaître les conflits d’intérêt de l’auteur. Quelqu’un qui touche beaucoup d’argent de l’industrie pharmaceutique – et la chose est courante – ne peut guère prétendre être une source fiable sur la question des « vaccins » ! Par ailleurs, un médecin naturaliste n’est pas d’office un charlatan ! Nous devrons nécessairement nous servir de notre bon sens et écouter différents sons de cloche. Le rejet sans plus de toute voix discordante doit nous inciter à une grande prudence. Contrairement à ce qu’on nous fait croire souvent, un médecin ou un professeur de médecine en désaccord avec le récit officiel devrait plutôt susciter notre curiosité et notre intérêt. Taire les voix discordantes a toujours été la marque du totalitarisme, de l’inquisition.

Dès lors, ne vous offusquez pas quand je cite des sources qualifiées un peu vite de « fake ». Il n’y a que là que vous pourrez trouver ces autres voix qui vous aideront à mieux discerner ce qui se passe autour de nous.

Pas de traitements efficaces ?

L’interdiction en France, dès le début de la pandémie – dès le 13 janvier 2020 – de l’Hydroxychloroquine par la ministre de la santé, Agnès Buzyn, est problématique. France Soir a soulevé plusieurs des questions à poser, notamment financières. Ce médicament, tombé dans le domaine public, ne rapportait plus grand-chose. Pourtant, il a été utilisée avec une bonne efficacité à lIHU de Marseille dans l’équipe du professeur Raoult, et dans plusieurs autres endroits en France et ailleurs. Voici une étude dans le journal Virology de 2005 (déjà !) qui analyse l’effet bénéfique de la Chloroquine sur le SARS-CoV. Je détecte aujourd’hui une joie à peine dissimulée que le professeur Raoult soit évincé de l’IHU. Puis-je tout simplement rappeler le CV de ce scientifique hors pair ? J’avais « découvert » ce professeur par un article dans le Parisien en mars 2020.

On raconte aujourd’hui que la « vaccination » diminue la gravité du Covid si on devait l’attraper. Mais la vitamine D et le zinc font cela sans aucun risque supplémentaire ! Alors, pourquoi courir autant de risques avec un produit qui soulève tant de questions ? Et pourquoi n’avoir jamais rien dit au public sur ces traitements préventifs ? Est-ce parce qu’on avait tant de moyens efficaces à proposer ? On n’avait rien à proposer, sinon la mort pour des dizaines de milliers de personnes. Pourquoi ce dogmatisme mortifère ? Même si ce qu’on disait sur la vitamine D et le zinc etc. était surfait – ce n’est pas le cas –, même un petit effet n’est-ce pas infiniment mieux que la catastrophe qu’on a imposée à la population ?

Entretemps, l’Ivermectine et d’autres traitements se sont ajoutés aux possibilités de guérir le Covid. Mais nos gouvernements n’en ont cure (sans jeu de mots). Il faut croire que l’on n’aime pas soigner ceux qui attrapent le Covid. Là où on le fait, les résultats parlent pour eux-mêmes. Voyez ici, ici et ici trois articles sur l’expérience avec l’Ivermectine en Inde. Et voici une évaluation toute récente dans le Journal américain de thérapeutique et l’effet de ces traitements dans l’Uttar Pradesh[2]

Apparemment, le problème est ailleurs. Le refrain trop entendu est qu’il faut se faire « vacciner » parce qu’il n’y a aucun traitement qui permet de guérir de cette maladie. C’est pour cette raison qu’il a fallu absolument court-circuiter le processus d’autorisation de ces « vaccins ». Car mieux valait un produit expérimental et « être protégé » qu’aucun vaccin et avoir des morts par millions, comme on l’a fait entendre. Mais s’il devait exister des traitements efficaces du Covid, cette raison ne peut plus être invoquée et la politique officielle s’effondre et avec elle, les plantureux bénéfices financières. [3] Ne dites pas que l’argent n’y joue aucun rôle. Quand il entre dans les caisses par milliards, il joue nécessairement un rôle prépondérant. Nier cela c’est être naïf.

De nouveaux traitements feront-ils changer cette politique vaccinale ? Il se fait que l’Union européenne est en train d’évaluer des traitements – chers, sans nul doute car nouveaux et destinés à continuer à abreuver les finances des labos. Nous verrons – ou nous ne verrons pas … – l’impact que cela aura sur la question. Mais il n’est pas question, actuellement, d’autoriser des traitements prouvés efficaces comme l’Ivermectine ou l’Hydroxychloroquine. La perte financière serait trop importante ? Le plus triste est qu’une telle question doive être posée. Pourtant, on continue à travailler sur ces moyens efficaces.

La politique des masques

On a tout entendu à propos des masques. Cela a commencé par l’affirmation qu’obliger Monsieur tout-le-monde à le porter ne servait à rien, affirmation répétée par divers ministres dans plusieurs pays. Puis est venu le revirement total. Tout-à-coup, les masques étaient devenus essentiels comme « mesure barrière ». Qu’en est-il ?

Il est pour le moins possible que la première réaction de nos ministres était tout simplement le bon sens, soutenu par la science. [4] Car la science est massivement pessimiste sur le port généralisé du masque. Permettez-moi de citer quelques articles.

En juillet 2020, le journal Contrepoints avait publié un article du Docteur Christophe de Brouwer sur le port du masque à l’extérieur. L’article est plutôt modéré dans ses affirmations. Il conclut ainsi :

« Et pour le reste, comme je viens de le développer, j’ai beaucoup de doutes, tout en laissant de côté la question de la proportionnalité du risque par rapport à d’autres risques.

Les personnes âgées, ainsi que celles dont les fonctions pulmonaires sont altérées, ne devraient pas porter de masques, certainement pas en extérieur et même en lieu couvert, si le temps de séjour, donc d’exposition, est raisonnable.

Pour les autres, je pense que la liberté devrait être laissée à chacun, car les bénéfices attendus sont vraiment très faibles, lorsque ce n’est pas l’inverse car le port du masque est inadéquat, défaillant. Or, la compliance pour un bonne utilisation n’est pas simple à obtenir.

L’éducation des personnes est certainement plus efficace dans ce cas que l’obligation avec menaces d’amendes et autres. »

Le 11 février 2021, une équipe de chercheurs sous la direction du docteur Paul Alexander a publié une étude fouillée sous le titre « Masking: A Careful Review of the Evidence » (Le masque : une analyse prudente des preuves). Ce texte me semble d’une telle pertinence pour la question que j’en citerai plusieurs extraits.

« En mettant l’accent sur les masques faciaux, où en sommes-nous ? Eh bien, notre position est basée sur la science. Nous soutenons que les masques chirurgicaux et en tissu sont essentiellement des revêtements faciaux qui manquent de données scientifiques pour étayer leur utilisation. Ils sont en grande partie cosmétiques et fonctionnent davantage pour donner à l’utilisateur un sentiment de confiance et de sécurité en ce qui concerne la pandémie de Covid. Nous nous basons sur un examen de l’ensemble des éléments de preuve à ce jour présentés ci-dessous. À l’exception des masques N95 (généralement pour les hôpitaux et les milieux à haut risque et généralement accompagnés de blouses, de gants et d’autres EPI) et uniquement lorsqu’ils sont correctement ajustés pour permettre une étanchéité optimale au visage, et uniquement lorsqu’ils sont changés souvent, y a-t-il une efficacité pour atténuer la propagation d’un virus respiratoire ? »

Qu’en est-il de la protection contre la propagation asymptomatique du virus ?

« … des preuves récemment apparues que la propagation de Covid-19 est si extrêmement rare chez les personnes asymptomatiques qu’elle n’a pratiquement aucun impact sur la question. Étant donné qu’il existe des données très solides pour étayer cette affirmation, nous déclarons d’emblée que le masquage universel n’a aucun mérite et ne peut être étayé par des données ou des recherches fiables. »

« Dans un article publié dans Nature Communications (novembre 2020) qui a étudié 10 millions de personnes éligibles, il a été démontré que la propagation asymptomatique n’était pas seulement rare mais qu’en fait, elle ne semble pas du tout se produire ! »

Sur l’efficacité des masques :

« … nous savons qu’il existe plusieurs États américains où il peut être clairement démontré qu’après la mise en œuvre de l’obligation de porter un masque (à l’intérieur comme à l’extérieur), le nombre de cas a augmenté ! »

« Un argument fort contre l’utilisation de masques dans la pandémie actuelle de Covid-19 a gagné du terrain lorsqu’une récente étude de cas-témoins du CDC a rapporté que bien plus de 80% des cas portaient toujours ou souvent des masques. Cette étude du CDC a en outre remis en cause l’utilité des masques dans l’urgence actuelle du Covid-19. »

Le New England Journal of Medicine (NEJM) a récemment publié un article sur le Covid-19 et les masques qui semblait suggérer que les masques ne sont rien de plus qu’une béquille psychologique, et il a déclaré que « nous savons que le port d’un masque à l’extérieur des établissements de santé offre peu, voire aucune protection contre l’infection. »

« À la suite de la publication dans le Lancet de l’examen parrainé par l’OMS, des chercheurs dirigés par le professeur d’épidémiologie de l’Université de Toronto, Peter Jueni, ont maintenant demandé au Lancet de retirer l’étude, citant de nombreux défauts méthodologiques graves.

Une publication britannique de 1981 du Dr Neil Orr : « Fait important, il a été démontré que le port d’un masque ne réduisait pas les incidents de contamination dans la salle d’opération. En fait, les résultats suggèrent le contraire en ce que le non-port de masque est corrélé avec les plus grandes réductions de contamination. »

Qu’en est-il des méfaits possibles du port d’un masque ?

« Les informations qui s’accumulent concernent les porteurs de masques dans un environnement Covid-19 et soulèvent de nombreuses inquiétudes, notamment en ce qui concerne les dommages psychologiques et en particulier chez les nourrissons et les enfants, avec des impacts catastrophiques potentiels sur le développement cognitif des enfants. Ceci est encore plus critique en ce qui concerne les enfants ayant des besoins spéciaux ou qui sont autistes et qui doivent être capables de reconnaître les expressions faciales dans le cadre de leur développement continu. Les preuves accumulées suggèrent également que l’utilisation prolongée du masque chez les enfants ou les adultes peut causer des dommages :

1)       difficulté à respirer

2)       l’inhalation de substances toxiques telles que les microplastiques et les composés chlorés situés dans les masques (ce sont des risques potentiellement graves)

3)       Intoxication au CO2

4)       arrêt cardiaque soudain observé chez les enfants

5)       une diminution de l’oxygénation du sang (hypoxie) ou une élévation du CO2 sanguin (hypercapnie)

6)       dommages psychologiques

7)       (masques N95) une réduction du niveau de PaO2, une augmentation de la fréquence respiratoire et une augmentation de la survenue d’inconfort thoracique et de détresse respiratoire en cas d’utilisation prolongée

8)       vertiges et étourdissements, maux de tête en particulier chez les travailleurs de la santé

9)       accumulation de bactéries et de moisissures dans les masques pour enfants qui peuvent ensuite être inhalés

10)   anxiété et troubles du sommeil, troubles du comportement et peur de la contamination chez les enfants

11)   désoxygénation pendant la chirurgie

12)   des dommages potentiellement mortels aux poumons (par exemple, les ingénieurs de Stanford signalent que les masques peuvent rendre la respiration beaucoup plus difficile, estimant que les masques N95, par exemple, réduisent l’apport d’oxygène de 5 à 20% s’ils sont portés pendant un période prolongée)

13)   tel que rapporté par Koops, des infections de la peau du visage, des infections du nez/de la gorge et des sinus, un changement dans les habitudes respiratoires.

Notre point de vue est que les masques tels qu’ils sont portés actuellement, et les masques qui sont utilisés, n’offrent aucune protection. Ils peuvent être considérés comme inefficaces alors que d’autres les considèrent comme étant mieux que rien mais sans preuves pour étayer ce point de vue.

Le port du masque suscite la peur dans la population et un sentiment éternel de « maladie » qui est paralysant. Comme l’a déclaré avec éloquence Weiss, « Notre utilisation universelle de couvre-visages non scientifiques est donc plus proche de la superstition médiévale que de la science, mais de nombreuses institutions puissantes ont investi trop de capital politique dans le récit du masque à ce stade, ce qui perpétue le dogme. »

« Nous ne pouvons pas non plus ignorer les dommages possibles pour notre système immunitaire et notre santé en général d’une utilisation aussi constante et prolongée de masques, étant donné que nous ne l’avons jamais fait auparavant. Nous sommes en territoire inconnu et surtout avec les implications possibles pour nos enfants. Leurs systèmes immunitaires sont toujours en cours de développement et nous imposons des confinements, des fermetures d’écoles et des masques à un enfant en développement et nous n’avons aucune expérience préalable sur les résultats ultérieurs concernant le développement, la santé et le bien-être de ces enfants.

Le plus triste est que les bureaucrates du gouvernement en charge et en particulier les « experts médicaux » persistent à ne pas admettre qu’ils s’étaient trompés en ce qui concerne la plupart des choses qu’ils ont déclarées en termes de politique et de réponse à la pandémie de Covid. Ils ont nui aux sociétés mêmes qu’ils étaient censés protéger. Ils ont omis d’examiner les preuves ou de les suivre, et continuent d’agir d’une manière arbitraire, non scientifique et non fondée sur des preuves. Ils « attaquent », avec l’aide des médias de masse, ceux d’entre nous qui remettent en question leurs politiques et leurs actions malgré les résultats désastreux de ces politiques de santé publique. En effet, nous sommes souvent blâmés pour les échecs et les dommages écrasants de leurs politiques alors que ce sont en fait leurs actions et recommandations spécieuses, illogiques et malsaines qui méritent le tollé général. »

« Nous blâmons nos chefs de gouvernement, tout en maintenant que les soi-disant « experts médicaux » qui font partie des groupes de travail et des comités scientifiques Covid ont été en grande partie peu scientifiques, illogiques et irrationnels dans leurs conseils et leurs déclarations.

[…] Ces experts médicaux […] sont-ils conscients de la dévastation qu’ils ont fait subir à tant de gens ? »

Faut-il continuer ? Les auteurs passent en revue un certain nombre d’études, mais voici quelques autres articles (en anglais) sur le même sujet :

 

Et que dire de l’obsession avec le CO2 ? Il faut absolument aérer les salles dans la lutte contre le Covid, mais personne ne semble se poser la question du taux de CO2 sous les masques ! Là, miraculeusement, l’absence d’aération ne nuirait pas ?

Je pourrais ajouter des remarques sur d’autres « mesures barrière ». Par exemple, la distanciation très variable selon les pays et selon les situations, comme dans les transports où elle a été supprimée. On pourrait aussi parler de l’usage du masque obligatoire quand on est debout, mais pas quand on est assis, comme à la terrasse d’un restaurant, ou même debout quand on téléphone ou quand on fume. Heureusement, le ridicule ne tue pas ! Mais qui peut sérieusement considérer que tout cela est fondé sur des raisons solides et scientifiques ?

Mais cet article est déjà long et il me faut absolument parler de la « vaccination ».

 

Salva vaccina ?

On pourrait comprendre quelqu’un qui affirmerait que le but du coronavirus était la « vaccination » du monde entier. (Concernant le pass sanitaire, on a enlevé toute équivoque. On annonce publiquement que la principale raison d'être en est de pousser les non-vaccinés à se faire "vacciner".) La remarque est complotiste à volonté, bien sûr, mais tellement compréhensible ! Car on « sait » que le virus est un accident, un hasard. Ou ne le sait-on pas ? La pression énorme pour faire passer le virus comme un accident survenu par hasard – ce qu’il ne semble justement pas être – trouve une raison d’être très compréhensible derrière la pression encore plus grande de « vacciner » l’humanité dans sa totalité. Pour cela, on a investi des milliards afin de développer à un train d’enfer les quatre « vaccins » sauveurs du monde. [5] Le fait que même le Lancet (repris par certains média) commence à douter de la théorie d’une origine animale « naturelle », donne-t-il un peu d’espoir que l’on revienne enfin à des questions essentielles qui pourront mettre en doute le récit officiel ? Je l’ignore.

Ces produits sont toujours en phase expérimentale. Cela n’est nié par personne, même si peu aiment le rappeler. Jusqu’en 2023, en moyenne, les quatre « vaccins » n’auront pas une autorisation définitive de mise sur le marché, mais seulement une AMM conditionnelle, bien qu’on se demande de quelles conditions il s’agit ! En effet, jusque-là, il y a beaucoup de souci à se faire. A ce jour, le « vaccin » a déjà causé plus de 25.000 morts et plus d’un million d’effets « secondaires » graves d’après les données européennes officielles, sans compter le Royaume uni, la Suisse, Israël ou l’Amérique du nord… [6] Ces statistiques sont, en plus, en deçà de la réalité. De nouveau, l’autorisation de mise sur le marché est conditionnée par quoi ? Combien faudra-t-il de morts et de handicapés à vie pour arrêter cette gabegie ? Et encore, je ne mentionne ici que les effets à court terme.

Pourquoi n’entendons-nous pas parler de cela dans les média ? Si on refuse de nous en parler, comment pourra-t-on jamais donné son consentement éclairé à la proposition – bientôt l’obligation ? – de se faire « vacciner » ? Or, le Code de Nuremberg, actualisé en 1966, stipule : « Nul ne peut être soumis sans son consentement à une expérience médicale ou scientifique » Ce code a été transcrit dans les lois nationales un peu partout.

En Israël, on commence à avoir des résultats à moyen terme. C’est un des pays les plus « vaccinés », avec le « vaccin » Pfizer annonçant une protection à 90% et plus. Mais les statistiques récentes sont catastrophiques. Beaucoup de « vaccinés » tombent malade et meurent du Covid… L’efficacité du Pfizer est drastiquement corrigée vers le bas. Les voyageurs venant d’Israël commencent à être refusés l’entrée dans plusieurs pays européens. On commence aussi à voir des études alléguant que ce sont les « vaccins » et les « vaccinés » qui causent le virus à muter. Pourtant, la course vaccinale folle vers l’abime continue à pleine vitesse dans nos pays. On dirait qu’on n’apprend rien de ce qui se passe ailleurs, comme si on est aveugle de ce que l’on ne veut pas voir.

Pourquoi mettre le mot vaccin systématiquement entre guillemets ? [7] Parce que le mot vaccin peut induire en erreur. Cela nous fait penser aux vaccins auxquels on était habitué, comme ceux contre le tétanos ou contre les maladies infantiles. Mais les produits qu’on veut injecter aujourd’hui à toute la population humaine ne correspondent pas à ces vaccins-là. Non seulement leur mortalité et leurs effets secondaires sont à une toute autre échelle, largement supérieurs à l’ensemble des autres vaccins réunis, non seulement leur efficacité à moyen terme est remise en question, mais d’autres questions importantes sont à poser. Voici plusieurs paragraphes d’un autre article du docteur Paul Alexander qui résume bien la question :

« Pour qu’un produit soit un vaccin, plusieurs critères doivent être remplis :

  • -      l’injection doit conférer au receveur une immunité par anticorps contre un agent pathogène (virus ou bactérie);
  • -      il doit être démontré que les anticorps produits après l’injection confèrent une protection contre ce virus ou cette bactérie;
  • -      l’injection doit démontrer qu’elle réduit les hospitalisations ou les décès causés par l’agent pathogène;
  • -      l’injection doit démontrer qu’elle réduit les symptômes graves de l’agent pathogène;
  • -      l’injection doit démontrer qu’elle empêche le receveur d’être porteur de l’agent pathogène;
  • -      l’injection doit démontrer qu’elle empêche la transmission de l’agent pathogène du receveur de l’injection à d’autres personnes.

Examinons de plus près ces critères pour voir s’ils ont été respectés dans le cas du « vaccin » contre le coronavirus :

  • -      Nous avons maintenant découvert que l’injection ne confère pas d’immunité par anticorps au virus COVID-19 (SRAS-CoV-2); elle favorise la production d’anticorps contre la « protéine synthétique spike » que vos cellules ont fabriquée. Cette protéine spike n’est pas spécifique au virus du SRAS-CoV-2.
  • -      Les anticorps produits doivent vous protéger contre l’agent pathogène (virus du SRAS-CoV-2); aucune étude n’a démontré que c’était le cas. Les concepteurs du vaccin ont déclaré ouvertement qu’ils ne savaient pas si l’injection conférait une protection.
  • -      L’injection n’a pas été étudiée pour montrer qu’elle réduit les hospitalisations ou les décès; les études menées n’ont pas évalué cet aspect.
  • -      L’injection n’a pas été étudiée pour montrer qu’elle réduit les symptômes graves.
  • -      L’injection n’a pas été étudiée pour montrer qu’elle empêche les receveurs d’être porteurs de l’agent pathogène.
  • -      L’injection n’a pas été étudiée pour montrer qu’elle empêche la transmission d’une personne à une autre.

La conclusion est donc négative. L’injection de COVID-19 n’est pas un vaccin, mais plutôt une plateforme d’administration de gènes. »

« Nous disposons même de preuves claires émanant des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui ont fait état d’une épidémie d’infections par le SRAS-CoV-2, y compris des infections par le COVID-19, associées à de grands rassemblements publics dans le comté de Barnstable, dans le Massachusetts, en juillet 2021 : “469 cas de COVID-19 ont été identifiés parmi les résidents du Massachusetts qui avaient voyagé dans la ville du 3 au 17 juillet; 346 (74%) sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées. Les tests ont permis d’identifier le variant Delta dans 90% des spécimens provenant de 133 patients. Les valeurs seuils des cycles étaient similaires entre les spécimens des patients entièrement vaccinés et ceux qui ne l’étaient pas” (c’est nous qui soulignons).

L’étude israélienne de Gazit (rapportée le 25 août 2021) pourrait être le clou dans le cercueil car elle montre que “l’immunité naturelle confère une protection plus durable et plus forte contre l’infection, la maladie symptomatique et l’hospitalisation causées par le variant Delta du SRAS-CoV-2, par rapport à l’immunité induite par le vaccin à deux doses BNT162b2”. Ces résultats suggèrent que l’infection naturelle contribue à une immunité bien plus importante que l’injection. »

« Le système de santé publique britannique, Public Health England (PHE), dans son dernier rapport sur la propagation et l’analyse du “variant Delta” (rapport 21), plonge encore cette injection dans un plus grand désarroi en montrant qu’environ 60% des décès après l’infection du variant Delta sont survenus chez des personnes doublement vaccinées.

On nous rapporte même maintenant que des personnes ayant reçu la troisième injection de rappel en Israël ont été infectées. Les injections ne fonctionnent pas et certains affirment même qu’elles n’ont pas fonctionné depuis leur création. »

Tout cela devient encore plus inquiétant lorsqu’on se rend compte que l’objectif de ces « vaccins » n’est pas tant de vous guérir, mais de vous transformer. Cela a été clairement affirmé par Tal Zaks, directeur médical chez Moderna. Dans une courte vidéo datant de 2017 – et qui ne court aucun risque d’être censurée –, il explique que le but de Moderna est de « pirater le logiciel de la vie ». Les produits ARNm cherchent à réécrire le code génétique et cela est un progrès énorme, selon lui. Cela ne correspond pas exactement à ce que l’on nous ressasse aujourd’hui : les « vaccins » ARNm ne peuvent changer l’ADN. Sauf qu’on commence à découvrir que cela n’est pas aussi impossible que cela. Il y a donc un lien inquiétant entre les « vaccins » et le transhumanisme. Le nom Moderna signifie : modified RNA, ARN modifié. Quelle assurance a-t-on qu’introduire dans la cellule de l’ARNm est sans conséquences ? Aucune, puisqu’on n’a aucun recul sur cette injection. On joue aux apprentis-sorciers. Peut-on « pirater le logiciel de la vie » impunément ? Olivier Nguyen et Roselyne Legall écrivent :

« La grande différence entre un vaccin classique et une injection génique à ARNm est que le premier induit une réaction naturelle immédiate du système immunitaire, alors que dans la seconde, le système immunitaire lui-même est contraint à un certain type de fonctionnement le faisant agir de manière différée, sans doute disproportionnée ou tout au moins de façon totalement imprévisible à ce jour dès lors qu’il comprend qu’il est attaqué. Certaines études sembleraient même suggérer que les anticorps répondant au spike en viendraient à altérer voire à détruire toute l’immunité naturelle car ils deviennent dominants ne permettant plus aux autres anticorps d’exercer leur fonction. Nous savons déjà que les vaccins à virus atténués diminuent l’immunité naturelle. »

Plus loin, ils ajoutent :

« En transgressant la cellule, on transgresse l’unité de base du vivant, ce qui ne peut pas ne pas avoir des effets sur la manière dont nous acceptons la notion de limite dans l’éthique elle-même. On ne joue pas avec ces équilibres de la cellule comme si on jouait avec de simples dés dans la main. Ils sont le fruit d’une sagesse et d’agencements qui nous dépassent. »

Et que dire de cette transgression et de ses effets quand on analyse les effets de la « vaccination » visibles à l’autopsie ? Le docteur Ryan Cole, pathologiste, explique et montre ces effets dans cette vidéo traduit en français. Regardez à partir de la minute 5.20. Et voyez ici plus particulièrement ce que le « vaccin » fait dans le sang.

La désinformation est devenue un fléau accompagnant le Covid. Bien des informations sont passées sous silence par les rédactions, comme la survenue de décès et d’effets secondaires graves suite à la « vaccination », ou le fait que des doublement « vaccinés » tombent malade, sont hospitalisés et meurent. Non seulement, ces choses ne sont pas jugées bonnes à dire, elles sont falsifiées. Parmi d’autres, le docteur Joseph Mercola l’affirme dans un article sur son site[8] Il relate comment on fait pour falsifier des statistiques. On entend que le Covid touche aujourd’hui une majorité de non-vaccinés. Mais on oublie de dire que ceux – nombreux – qui n’ont eu qu’une seule injection Pfizer, Moderna ou AstraZeneca [9] sont comptés parmi les non-vaccinés. Ceux qui ont eu la double dose sont comptés pareillement tant qu’il n’y a pas plus ou moins 14 jours passés après la deuxième dose. Or, ces deux groupes font environ 80% de ceux comptés aux USA par les CDC. De même, cet organisme donne des directives concernant les tests PCR faites pour falsifier les résultats. [10] Comment se fait-il, demande-t-il, que « les vaccinés » forment la majorité des malades dans les hôpitaux du fait du variant Delta ? Et il cite ce qui se passe en Israël, à Gibraltar, en Ecosse et en Islande. Il réfère aussi à une étude apparue dans le Lancet sur la transmission du variant Delta parmi le personnel soignant au Vietnam. Tout cela, conclue-t-il, pour un produit expérimental pour lequel chaque « vacciné » participe à un test clinique de phase 4 sans même le savoir.

Je n’ai pas encore touché au point précis où les mensonges sur l’avortement et sur le Covid se rencontrent. La fabrication des quatre « vaccins » en discussion est à divers moments reliée à l’industrie de l’avortement. Le docteur Alvin Wong a écrit une étude sur la question particulière de l’utilisation de la souche embryonnaire HEK 293 (le texte complet se trouve ici). HEK veut dire : human embryonnic kidney (rein d’embryon humain). Permettez-moi de citer quelques paragraphes de sa conclusion :

« Le danger de la “pente glissante” est loin d’être imaginaire. Si nous acceptons l’utilisation de HEK 293, ne commencerons-nous pas à justifier l’utilisation de lignées cellulaires, telles que PER.C6, qui ont été développées dans des circonstances plus scandaleuses ? Ceux qui utilisent HEK 293 par ignorance ou en référence à ses “origines incertaines” ne font qu’un pas de plus vers l’utilisation de PER.C6, qui sert les mêmes objectifs et a ses avantages. Une fois les rouages d’une démarche scientifique enclenchés, il est extrêmement difficile de revenir en arrière. Ils seront nombreux ceux qui considéreront l’utilisation tolérée de HEK 293 comme un précédent. Pourquoi aurions-nous alors besoin de nous interroger sur la source d’une lignée cellulaire particulière, puisque la réponse peut être “finalement inconnue ?” Les catholiques et tous les objecteurs de conscience doivent établir des normes strictes concernant leur utilisation comme seule défense possible contre le flot de nouveaux matériaux et produits biologiques liés à des crimes flagrants.

La demande industrielle de tissus provenant de fœtus avortés a déjà été mentionnée. Dans la recherche ordinaire, les lignées cellulaires doivent être remplacées, et le développement même d’une lignée cellulaire telle que HEK 293 génère des demandes supplémentaires. Le Catéchisme [de l’Eglise Catholique] (§1869) évoque l’inévitable mise en place d’une chaîne de production dans une société qui n’hésitera pas à tirer des bénéfices matériels des faibles et des sans défense, lorsqu’il parle des conséquences sociales des mauvaises actions. Les “structures du péché” ont influencé la culture de la mort à un degré énorme.

C’est triste à dire mais la “pente glissante” a déjà été largement parcourue. Si de nombreuses personnes sont devenues engourdies et moralement “immunisées” contre le fait que les lignées cellulaires développées à partir de fœtus avortés sont utilisées depuis des décennies, c’est la preuve du grand tort causé par l’utilisation généralisée de HEK 293 et de ses semblables. Rien dans la publicité actuelle autour des cellules souches embryonnaires ne peut nous garantir que la société ne suivra pas la même voie qu’elle a prise avec HEK 293, certainement pas lorsque la promesse des cellules souches semble d’autant plus sensationnelle. Si nous avons justifié et cédé à l’utilisation du 293, comment pouvons-nous espérer endiguer la vague d’utilisation des cellules souches embryonnaires ? »

Notre usage des « vaccins » Covid, souvent influencé par des avis cherchant à diminuer notre responsabilité morale, et trop souvent motivé par le désir de « vivre normalement » ou par la peur – toujours mauvaise conseillère –, nous entraîne vers des compromis lamentables qui sapent notre capacité de résistance contre la lame de fond qui ne fait que commencer à subjuguer l’humanité.

Parlant d’avortement, saviez-vous que la « vaccination » Covid semble avoir une influence catastrophique sur la grossesse, causant des avortements spontanés ? Là encore, il n’y a pas de risque de voir cela à la télé. Je connais le sérieux de l’auteur australien qui l'affirme. Je crois donc l’information fiable.

Un dernier point. Je me suis déjà fait reprocher que mon discours contre ces « vaccins » était une atteinte à l’amour du prochain. Se faire « vacciner » permettrait de protéger son prochain contre cette maladie terrible. Le Christianisme aujourd’hui a produit un article intéressant qui répond à cet argument spécieux. Je n’ai pas grand-chose à y ajouter sinon ceci : Nous commençons à découvrir que le « vaccin » porte atteinte à la santé des « vaccinés », tant à court terme qu’à moyen terme (myocardite, diminution importante de la protection, risque de tomber malade et de mourir) qu’à long terme (encore inconnu aujourd’hui, mais vu ce qui se passe à court et moyen terme, on devrait être pessimiste !). Non, manifestement, le « vaccin » ne protège ni les autres, ni soi-même.


La pandémie du Covid est truffée de mensonges, sur l’origine, les traitements existants, la politique des masques, les « vaccins » et, conséquence de cela, les pass-sanitaires dont le seul but semble être de forcer les gens à se faire « vacciner ». Où nous mènera ce refus de la réalité n’est pas encore connu. Le fait de voir s’installer sous nos yeux un système orwellien de surveillance totale, de liberté sacrifiée et de peines démesurées pour toute transgression devrait nous remplir d’appréhension.

John O’Sullivan, à la fin de son article sur le test PCR, termine avec cette remarque remplie de sagesse : « les traitements les plus efficaces sont la logique, le bon sens et la raison. » Apparemment, ces traitements-là ont également été interdits. A moins qu’on les ait seulement oubliés.

Ta santé ou ta vie ? Et si c’était plutôt : ta santé et ta vie ? Car tout y passera. Pauvre humanité.


Article prochain : 5. En guise de conclusion


[1] Comme un exemple parmi d’autres, l’article d’Ethan Huff est à verser dans le dossier, https://www.naturalnews.com/2021-06-29-darpa-built-covid-help-bill-gates-who.html.

[2] Puis-je suggérer la lecture de cette lettre au premier ministre belge en décembre 2020 ou cet article très intéressant sur le développement d’une Ivermectine bis qui permet de continuer à gagner beaucoup d’argent pour l’industrie. J’en possède une traduction en français qu’il suffit de me demander.

[3] Les contrats officiels de l’industrie pharmaceutique semblent se prémunir contre l’éventualité de traitements qui rendraient un « vaccin » inutile.

[4] « Cependant, comme nous le savons, les conseils des experts étaient encore, et au mieux, quelque peu déroutants et carrément non scientifiques et imparfaits au pire. Fait intéressant, ce type de conseil (également donné par d’autres, y compris le médecin-chef du Canada, la Dre Theresa Tam), a été modifié (initialement dédaigneux de l’utilisation du masque) sous l’idée qu’en fait les experts disaient intentionnellement ces choses afin d’éviter une ruée sur les masques chirurgicaux qui étaient rares à l’époque et dont les travailleurs de la santé avaient besoin. Nous avons avancé l’idée que ce n’est pas le cas et qu’en réalité, à ce moment-là, les experts s’appuyaient en fait sur les données disponibles comme évoqué ci-dessus. Tout cela pour dire que de tels changements dans les conseils fournis par les meilleurs experts médicaux n’ont servi qu’à semer la confusion chez un public ayant désespérément besoin d’honnêteté et de conseils optimaux. » Cf. Masking: A Careful Review of the Evidence, article cité plus loin.

[5] Je me limite ici aux « vaccins » distribués en Occident.

[6] L’on nous dit que ces chiffres sont à interpréter autrement et ne veulent pas dire ce qu’ils disent effectivement. Voir par exemple cet article. Je me suis demandé si l’auteur de l’article croit lui-même à ce qu’il avance… On lira avec profit l’article de Laurent Mucchielli à ce sujet : https://baslesmasques.com/o/Content/co602099/la-vaccination-a-l-epreuve-des-faits-une-mortalite-inedite? Aux Pays-Bas, un organisme indépendant de signalement de décès et d’effets secondaires montre que les chiffres de décès européens – causés par les « vaccins » – sont à l’ordre de quatre fois trop bas (https://meldpuntvaccinatie.nl/).

[7] On voit aussi le mot épelé vaxxin, en lieu et place des guillemets.

[8] Encore un site fake ? Mais où voulez-vous aujourd’hui publier des articles fondés qui s’opposent au récit officiel et seul autorisé ? L’omerta politico-scientifico-médiatique a pris des proportions gigantesques !

[9] On vient d’apprendre que l’unique dose Johnson et Johnson ne suffit plus non plus.

[10] Sur les tests PCR, cf. cet article inquiétant de John O’Sullivan. L’avocat allemand Reiner Fuellmich est arrivé à une conclusion semblable. Cf. aussi cet article en néerlandais.