En bas de cet article, une mise à jour qui prouve ce que j'affirme.
Voici presqu’un
mois qu’a été signé par une grande majorité d’états le Pacte mondial pour les
migrations. J’avais été frappé à ce moment par deux choses : la répétition
sans fin que ce pacte n’était pas légalement contraignant, et la difficulté de
trouver le texte du Pacte. On a abondamment critiqué les gouvernements “populistes”
– le mot ne veut rien dire – qui ont refusé de le signer, et les
“progressistes” – toujours autoproclamés – ont pu faire étalage de leur largeur
d’esprit en défendant bec et ongles ce Pacte. Comme ce texte est sans doute appelé
à être transcrit dans la législation européenne, il n’est pas sans intérêt de
le revisiter.
Avant cela,
il est utile de corriger une confusion très répandue entre les mots migrant et
réfugié. En critiquant ceux qui sont opposés au Pacte, on lance facilement l’accusation
de manquer de compassion vis-à-vis des réfugiés. Il se fait qu’il n’y a pas
vraiment beaucoup de divergences sur l’accueil des réfugiés. [1]
Le Pacte ne se préoccupe que des migrants, ceux et celles qui, généralement,
quittent leur pays pour des raisons économiques.
Le texte
Tout d’abord,
voici où vous pouvez le retrouver afin de pouvoir le lire : http://undocs.org/fr/A/CONF.231/3.
Le
19 décembre à l’ONU, ce texte a été approuvé par 152 états. Cinq
états ont voté contre : Les Etats-Unis, la Hongrie, la République tchèque,
la Pologne et Israël. Douze états se sont abstenus : l’Algérie, l’Australie, l’Autriche, la Bulgarie, le Chili, l’Italie, la Lettonie, la Libye, le Liechtenstein, la Roumanie, le Singapour et la Suisse. 24 états n’ont pas participé au
vote dont la Slovaquie, la République dominicaine, le Paraguay et l’Ukraine. [2]
Non contraignant
A deux
reprises, le texte du Pacte répète ceci :
“Le présent Pacte mondial établit
un cadre de coopération juridiquement non contraignant, qui repose sur les
engagements convenus par les États Membres dans la Déclaration de New York pour
les réfugiés et les migrants.” (art. 7)
Et “Le Pacte mondial est un cadre
de coopération juridiquement non contraignant créé en considération du fait
qu’aucun État ne peut seul faire face aux migrations, compte tenu de la nature
transnationale du phénomène. Porteur de coopération et de dialogue aux niveaux
international, régional et bilatéral, le Pacte fait autorité de par sa nature
consensuelle, sa crédibilité, l’appropriation collective dont il fait l’objet,
sa mise en œuvre conjointe et ses mécanismes de suivi et d’examen” (art. 15b).
Dans la même
veine, on cite aussi l’article 15c :
“Le Pacte mondial réaffirme le
droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et
leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect
du droit international.”
Si tel est le
cas, on a bien sûr un peu de peine à comprendre les réticences de tant de pays !
En Belgique, le gouvernement est donc tombé pour
ça ? Si le texte ne renferme que des suggestions, des “éventuellement”,
des propositions et des souhaits, pourquoi autant de hargne contre ceux qui osent
avoir des réticences ? Si tout cela n’est pas juridiquement contraignant,
pourquoi la répétition, des dizaines de
fois, de ce contraignant “Nous nous engageons …” ? Pourquoi alors dire
à la fin, dans l’article 41 :
“Nous nous engageons à atteindre
les objectifs du Pacte mondial et à honorer les engagements qui y sont pris, en
accord avec notre vision et nos principes directeurs, en prenant des mesures
concrètes à tous les niveaux pour favoriser des migrations sûres, ordonnées et
régulières à toutes les étapes. Nous appliquerons le Pacte dans nos pays
respectifs et aux niveaux régional et mondial, en tenant compte des différences
entre la situation, les capacités et le niveau de développement de chaque pays
ainsi que des politiques et priorités nationales.” ?
Cela n’est
pas vraiment un langage non-contraignant. En Onuspeak, la langue onusienne, cela parle plutôt d’une contrainte.
Du bon ?
Ce texte contient
pourtant beaucoup de bonnes choses ! Il suffit de parcourir les 23 objectifs
pour s’en convaincre.
Ainsi, le 2e objectif concerne le
besoin de “lutter contre les facteurs négatifs et les problèmes structurels qui
poussent des personnes à quitter leur pays d’origine”. Ainsi, sous le point b,
on propose d’ :
“Investir dans des programmes qui
permettent aux États d’atteindre plus vite les objectifs de développement
durable, afin d’éliminer les facteurs négatifs et problèmes structurels qui
poussent des personnes à quitter leur pays d’origine, ce qui passe notamment
par l’éradication de la pauvreté, la sécurité alimentaire, l’éducation, une
croissance économique profitant à tous, le développement d’infrastructures, le
développement urbain et rural, la création d’emplois, le travail décent,
l’égalité femmes-hommes et l’autonomisation des femmes et des filles, la
résilience et la réduction des risques de catastrophe, l’adaptation aux
changements climatiques et l’atténuation de leurs effets, la lutte contre les
conséquences socio-économiques de toutes les formes de violence, le principe de
non-discrimination, la primauté du droit et la bonne gouvernance, l’accès à la
justice et la protection des droits de l’homme, ainsi que l’édification et la
préservation de sociétés pacifiques et inclusives dotées d’institutions
efficaces, transparentes et tenues de rendre des comptes”.
Malheureusement,
rien n’est dit sur comment arriver à une bonne gouvernance, comment agir contre
les dictateurs qui, avec des religions totalitaires, sont presque toujours les
raisons principales derrière les migrations. Cela donne un peu l’impression qu’on
veut faire beaucoup pour lutter contre les symptômes, et très peu pour agir sur
les causes.
L’objectif 10 concerne le fait de “Prévenir,
combattre et éliminer la traite de personnes dans le cadre des migrations
internationales.” Le texte précise :
“Nous nous engageons à prendre des
mesures législatives ou autres afin de prévenir, combattre et éliminer la
traite des personnes dans le cadre des migrations internationales, en
renforçant les capacités existantes et la coopération internationale aux fins
des enquêtes, des poursuites et des sanctions, en décourageant la demande qui
favorise l’exploitation puis la traite, et en mettant fin à l’impunité des
réseaux de trafiquants. Nous nous engageons en outre à améliorer
l’identification des migrants devenus victimes de traite ainsi que la
protection et l’assistance qui leur sont offertes, s’agissant notamment des
femmes et des enfants.”
De bonnes
choses ? Bien sûr qu’il y en a ! Des choses où l’on voudrait bien voir
dépasser le stade des vœux pieux et voir les autorités agir avec plus de fermeté
contre la souffrance infligée aux gens, souvent par leurs propres
gouvernements. Encourager et canaliser un vrai développement dans les pays
moins favorisés en mettant un frein aux industries d’armement et leur commerce –
un point totalement absent de ce Pacte –, en promouvant un enseignement de
qualité pour que des dizaines de milliers d’étudiants n’aient pas le besoin de
migrer pour trouver une formation adéquate, et en libérant l’ONU du poids mort
des dictatures.
Qu’est-ce qui cloche alors ?
Le Pacte vise
un monde sans frontières nationales et sans gouvernements nationaux. On
rétorque à cela l’article 15c, cité
plus haut, ou cette phrase de l’article
7 : Le Pacte “respecte la souveraineté des États et les obligations
que leur fait le droit international.” Le problème est que le Pacte veut que
les migrants puissent non seulement voyager et s’établir où ils veulent, mais
que les états devraient leur faciliter les choses en leur permettant de choisir
là où ils veulent aller vu les circonstances favorables dans tel ou tel pays de
destination. Cela ressort, par exemple, de l’article
3a, où il est stipulé que les états qui accueillent les éventuels migrants
doivent
“Mettre en ligne à l’échelle
nationale et promouvoir un site Web centralisé et accessible au public qui
offre des informations sur les options de migration régulière, comme les lois
et politiques en matière d’immigration, les critères et formalités d’obtention,
le coût et les modalités de conversion des visas, les critères d’obtention d’un
permis de travail, le niveau de qualification professionnelle requis, les
modalités d’évaluation des titres de compétences et les équivalences, les
perspectives de formation et d’études et le coût de la vie et les conditions de
vie dans certains pays, afin que les migrants puissent prendre des décisions
informées”.
Cela doit
donc se faire en aval du départ du candidat migrant. Mais on doit aussi lui
rendre plus simple la route, art. 3c :
“Installer le long de certaines
routes migratoires des points d’information pouvant orienter les migrants vers
des services d’appui et de conseil adaptés aux enfants et sensibles à la
problématique femmes-hommes, donnant la possibilité de communiquer avec des
représentants consulaires du pays d’origine et mettant à disposition des
renseignements utiles, notamment sur les droits de la personne et les libertés
fondamentales, la protection et l’assistance souhaitables, les options et
filières de migration régulière et les possibilités de retour, dans une langue
comprise par la personne concernée”.
Il faut aussi
que le nouveau migrant, une fois arrivé à sa destination choisie, puisse s’y
sentir à l’aise. Art 16a : Les
états doivent
“Promouvoir le respect mutuel des
cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d’accueil et les
migrants grâce à l’échange et à la mise en œuvre de pratiques optimales en
matière de politiques, programmes et activités d’intégration, y compris en ce
qui concerne les moyens de promouvoir l’acceptation de la diversité et de
faciliter la cohésion sociale et l’inclusion”.
Ce qui peut y
contribuer ? Art 16c :
“Appuyer les activités
multiculturelles organisées autour du sport, de la musique, des arts, des
festivals gastronomiques, du bénévolat et d’autres manifestations qui faciliteront
la compréhension et l’appréciation mutuelles des cultures des migrants et des
communautés de destination”.
L’objectif 17 indique un autre moyen
important pour atteindre le but de ce meilleur des mondes.
“Éliminer toutes les formes de
discrimination et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin
de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues”.
Pour cela, 17a, il faut
“Adopter, appliquer et maintenir
en vigueur des textes de loi qui répriment les infractions inspirées par la
haine visant les migrants, simples ou aggravées, et former les fonctionnaires
chargés de faire respecter la loi … pour qu’ils puissent constater, prévenir et
combattre ce type d’infractions et les autres actes de violence visant les
migrants”.
Cela aidera
bien sûr si les états devaient “Permettre aux migrants et aux communautés de
dénoncer …”. Après tout, rien de tel que la délation. Mais surtout, il faudra
mieux éduquer les foules par une presse convenablement muselée, 17c :
“Promouvoir une information
indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet [pense-t-on à la
censure des réseaux sociaux ?], notamment en sensibilisant les
professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie
afférente, en instituant des normes déontologiques pour le journalisme et la
publicité et en cessant d’allouer des fonds publics ou d’apporter un soutien
matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la
xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les
migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse”.
Si vous
voulez que la presse dise ce que vous voulez qu’elle dise, achetez-la ! En
plus, il ne faut pas oublier
“d’éliminer les pratiques de
profilage racial, ethnique et religieux des migrants de la part des autorités,
ainsi que les actes systématiques d’intolérance, de xénophobie, de racisme et
de toutes les autres formes multiples et croisées de discrimination” (17d).
Alors, quoiqu’on
puisse dire sur le respect des états, le but visé est un monde où le migrant
est roi et où le citoyen des pays d’accueil est systématiquement écarté du
processus. Pour lui, la meilleure chose à faire est de … migrer à son tour !
Des signataires surprenants
Parmi les
pays signataires, il y a quelques surprises qui devraient nous inviter à bien réfléchir
sur ce que nos gouvernements veulent à tout prix nous faire avaler.
Le Qatar est
en voie de préparation des championnats mondiaux de foot. Pour cela, il (a)
fait construire des stades avec le concours de migrants [3]
esclaves. A moins que sa signature indique une conversion soudaine et radicale,
voici comment ce pays comprend le Pacte sur les migrations !
L’Arabie
saoudite refuse à tout migrant la pratique de sa religion si celle-ci est
différente de l’Islam. Mais ce pays est signataire … de quoi, au juste ?
Dans la
presque totalité des pays musulmans signataires, la foi chrétienne est
sévèrement persécutée. Autrement dit, ces pays sont des pourvoyeurs, non pas de
migrants, mais, pire, de réfugiés. Mais leur signature est aussi valable que
celle des autres. Or, ces pays forment le bloc le plus puissant à l’ONU avec 57
pays membres …
La Chine est
très en faveur des migrations … des Hans, la population majoritaire du pays,
vers le Tibet. En fait, peut-être nulle
part mieux qu’au Tibet peut-on étudier les effets du Pacte sur les migrations,
et cela fait froid dans le dos.
Mais pourquoi
ces pays ont-ils signé le Pacte ? Est-ce parce que c’est un exercice de
communication à moindre frais ? Comme ce n’est pas contraignant, et comme
personne n’ira jamais voir chez eux parce que personne ne s’y intéresse, ils
peuvent signer tout ce qu’ils veulent sans en tenir compte, et cela sans
conséquence. Le Pacte ne les vise pas tout simplement. Le Pacte semble plutôt viser
les pays avec une tradition de culture judéo-chrétienne. Eux prendront ce Pacte
au sérieux … pour leur propre perte.
Où partent
les migrants, particulièrement africains, chassés de leurs pays par des
dirigeants corrompus mais signataires du Pacte ? Aux pays arabes ? Pourtant,
la Mer Rouge est nettement moins grande que la Méditerranée ! En Chine ?
Au Mexique, qui a présenté le Pacte ? [4]
La question peut être posée autrement : Quels pays paieront la presque
totalité de la facture de ce drôle de Pacte ? Ces pays occidentaux où les
gouvernements en font une lecture très différente des pays mentionnés plus
haut. Pourquoi leurs dirigeants ne voient-ils pas plus clair ? Plus on y
réfléchit, moins on aime les réponses.
Signer le
Pacte onusien semble être une preuve
de compassion. Mais est-ce vraiment le cas ? Permettez-moi d’en douter !
Je recommande
les articles sur le Pacte des migrations parus sur Gatestone Institute. Voici
les liens vers deux de ces articles : https://fr.gatestoneinstitute.org/13483/canada-pari-faustien
et https://www.gatestoneinstitute.org/13263/un-migration-human-right.
[1]
Une exception est peut-être l’Angleterre qui a toujours eu une politique très
accueillante envers les migrants de son ancien empire, mais qui est plus que
réticente à accueillir des réfugiés chrétiens de ces pays. Son premier ministre
a refusé une demande d’asile d’Asia Bibi, faussement accusée de blasphème dans
son pays, le Pakistan et déclarée innocente après avoir passée huit (!) ans en
prison. La raison du refus : cela risquerait de créer des problèmes pour
les diplomates britanniques au Pakistan … (https://www.thesun.co.uk/news/7826161/theresa-may-rejects-pleas-asia-bibi/).
[2]
Voir les résultats ici : https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_la-belgique-a-bien-approuve-le-pacte-migratoire-a-new-york?id=10102361.
[4]
Avec la Suisse qui n’a pas signé le Pacte !
Macron et Merkel ont caché
la vérité sur le caractère contraignant du pacte sur les migrants, le pacte de
Marrakech
Mai 22, 2019
On
le savait, mais on en a maintenant la preuve. En signant le Pacte de Marrakech,
Macron a menti au peuple français, le gouvernement a menti et les médias ont
menti.
Il y a bien eu intention de cacher la
vérité sur le caractère contraignant du pacte, contrairement aux dires du
gouvernement.
C’est le gouvernement allemand qui
l’a reconnu comme le dévoile le Tagesspiegel :
Le ministère a d’abord refusé de
fournir des informations complémentaires sur le déroulement des cycles de
négociation. En particulier, les concessions faites par la
délégation allemande à d’autres partenaires de négociation n’ont pas été
divulguées. Il a été dit que l’information ne serait
communiquée aux médias que dans le cadre de discussions de fond et
uniquement à titre confidentiel. Ce n’est qu’après une demande
d’accès aux documents, en vertu de la liberté d’information, que le ministère a
divulgué les rapports des délégations internes issus des cycles de
négociations. Ceux-ci sont publiés en ligne par le Tagesspiegel.
Les documents montrent que les Etats
membres de l’UE ont dû faire de nombreux compromis. Selon les rapports, l’une
des raisons était les “exigences maximales” de certains pays qui voulaient
rendre le traité juridiquement contraignant et parvenir à “une nette
amélioration de la situation des migrants irréguliers”.
Source Tagesspiegel.de
En France, pas un seul média n’a
évoqué le sujet alors que les discussions ont duré plus d’un an ! C’est dire
combien Macron est fiable et digne de confiance !
Réunions secrètes, discussions
confidentielles, communication partielle, tout s’est fait volontairement dans
le dos des peuples européens.
Non seulement ce Pacte est
contraignant pour les Etats européens, mais il entend interdire aux citoyens de
dénoncer les ravages de la submersion migratoire.
D’ailleurs, la CEDH l’applique déjà
sans restriction. Il n’est même plus possible d’expulser un réfugié auteur de
crime.
Ce Pacte qui impose une immigration
de masse et accorde les mêmes droits aux clandestins qu’aux réfugiés, signe la
mort de l’Europe. Voilà pourquoi Macron et les médias nous l’ont caché.
Ce pacte, c’est “Immigration no limit”.
“Il fait disparaître
le concept de clandestinité. Il exige la discrimination positive, favorise le
regroupement familial et facilite les transferts d’argent”,
pour Marine Le Pen.
Ce texte, prétendument non
contraignant, “a bien une valeur juridique et engage tous les pays
signataires qui devront le respecter”, ajoute-t-elle.
“Ce texte néfaste
instaure un appel d’air mondial et une forme de droit international à la
migration”, dit Eric Ciotti.
Il faudrait, au contraire, durcir la
politique migratoire pour enrayer l’invasion.
“Les flux illégaux
ont augmenté de 174% en Espagne alors qu’ils ont baissé de 80% en Italie”,
rappelle Brice Hortefeux.
C’est donc un signal catastrophique
que Macron et Merkel ont envoyé à toute l’Afrique et à tout le Moyen-Orient.
La liste des pays qui jugent le pacte
dangereux et qui ont refusé de se rendre au sommet de Marrakech pour le signer
est longue.
En dehors des Etats-Unis, opposés au
texte dès le début des discussions, ce sont la Hongrie, la Pologne, l’Autriche,
l’Australie, la République tchèque, la Croatie, Israël, la Belgique et la
Bulgarie qui disent non à l’invasion.
Ce pacte va livrer l’Europe à toute
la misère du tiers-monde. L’avoir signé est un crime. Il suffit de le lire pour
comprendre que Macron a bel et bien trahi le peuple français.
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