Une certaine euphorie règne, malgré la guerre en Ukraine. Le
Covid, c’est fini, du moins, c’est tout comme. Enfin un retour « à la
normale ». Sauf que ce n’est pas vrai. Dans cet article, j’aimerais faire
un tour d’horizon pour prouver pourquoi ce n’est pas vrai. Je vais énumérer ces
affirmations et citer des sources [1]
pour étayer mes dires.
1. Le crime demande justice.
Il ne peut pas être question que
tout va bien quand les criminels derrière le Covid sont libres de recommencer.
Voici deux domaines particulièrement flagrants :
L’origine du Covid. Dès
le début de la pandémie, des généticiens ont tiré la sonnette d’alarme sur le
fait que le SARS-CoV-2 était un produit de laboratoire. Je pense à des gens
comme feu le professeur Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude. On vient de
mettre en lumière une
autre preuve qui implique directement le laboratoire Moderna. J’ignore si
cela a un rapport avec la récente vente d’actions par le PDG de Moderna,
Stéphane Bancel.
Les faits
entourant l’origine du SARS-CoV-2 ne cessent de devenir plus étranges et plus
inquiétants au fil du temps.
Dès le
début, la plupart des preuves semblaient indiquer que le virus était une
création de laboratoire qui avait en quelque sorte échappé aux limites du
laboratoire. Nous n’avons vraiment rien à suggérer autrement.
Maintenant,
une étude publiée le
21 février dans Frontiers in Virology prétend avoir découvert qu’une séquence
de la protéine de pointe du virus correspond à 100% à une séquence d’ARN
messager modifié (ARNm) brevetée par Moderna - en 2016.
[...]
… le SARS-CoV-2
est le seul agent pathogène qui possède cette séquence. C’est un match absolu –
identique à 100%.
Mais la main humaine ne se
limite pas à cela :
Comme
précédemment détaillé par David Martin, Ph.D., le SARS-CoV-2 semble avoir été conçu dans les
années 1990, perfectionné en 1999 et breveté en 2002. Les preuves montrent
également que des plans de vaccinations obligatoires ont été élaborés en 2015. Cette
année-là, lors d’une réunion des Académies des sciences, le Dr Peter Daszak,
président de l’EcoHealth
Alliance, a déclaré :
« … jusqu’à
ce qu’une crise de maladies infectieuses soit bien réelle, présente et à un
seuil d’urgence, elle est souvent largement ignorée. Pour maintenir la base de
financement au-delà de la crise, nous devons accroître la compréhension du
public sur la nécessité des MCM [contre-mesures médicales] telles que le vaccin
pan-grippal ou pan-coronavirus.
Un moteur
clé est les médias, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons
utiliser ce battage médiatique à notre avantage pour aborder les vrais
problèmes. Les investisseurs répondront s’ils voient un profit à la fin du
processus. »
Selon
Martin, « C’est l’aveu d’un crime, et le crime est celui de terrorisme
domestique. »
Une dernière citation du même
article :
… C’est
une preuve évidente de complot criminel, de racket et de collusion, note
Martin. Vous ne pouvez pas développer un traitement pour quelque chose dont
vous ignorez l’existence.
Sanofi
détient également une série de brevets détaillant ce que l’on nous a dit être
de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2, à savoir le site de clivage
polybasique, la protéine de pointe et le domaine de liaison au récepteur ACE2.
Le premier de ces brevets, le brevet américain n° 9193780, a été délivré le 24
novembre 2015.
Entre
2008 et 2017, une série de brevets a également été déposée par une longue liste
d’acteurs, dont Crucell, Rubeus Therapeutics, Children’s Medical Corporation,
Ludwig-Maximilians-Universität à München, Protein Science Corporation,
Dana-Farber Cancer Institute, University of Iowa , Université de Hong Kong et
le Centre national chinois du génome humain à Shanghai.
Selon
Martin, il existe 73 brevets, délivrés entre 2008 et 2019, qui décrivent les
éléments mêmes qui seraient uniques au SARS-CoV-2. On ne sait pas si le dépôt
de brevet de Moderna en 2016 fait partie de cette liste.
Vous avez sans doute retenu les
mots crime, terrorisme domestique, complot, racket, collusion. Il fut un temps
où toute mention d’intervention humaine dans la fabrication du virus était
qualifiée de complotisme fantaisiste. Maintenant, c’est prouvé. On dit
maintenant que ce virus « se serait échappé » du laboratoire ce qui
fut le début de la pandémie. Une pandémie causée par ce qu’il faut sans doute
appeler une arme biologique. La « fuite », serait-elle tout sauf
accidentelle ? Combien de morts ont ainsi été provoqués ?
Traiter le Covid. La
pandémie a commencé avec l’interdiction étrange de l’hydroxychloroquine. J’avais
mentionné cela dans
un article sur mon blog. Plus tard, on a découvert l’efficacité de l’ivermectine
pour traiter les malades du Covid. Un
article vient d’être publié sur l’évaluation de ce médicament sous les
auspices de l’OMS. Voici quelques citations :
En
octobre 2020, l’OMS … a demandé [au Docteur Andrew Hill] d’examiner les preuves
qui s’accumulaient rapidement selon lesquelles l’ivermectine était un
traitement sûr et efficace contre le COVID.
Dire que
beaucoup dépendait des conclusions de Hill était un euphémisme. S’il s’avérait
que ce médicament générique, bon marché à fabriquer et déjà largement
disponible, pouvait guérir le COVID, alors il pourrait être rapidement déployé.
D’innombrables vies pourraient être sauvées.
Hill
semblait éminemment qualifié pour la tâche qui lui avait été assignée. En tant
que chercheur principal invité au département de pharmacologie de l’Université de Liverpool,
il faisait des recherches sur les virus et leurs traitements depuis 30 ans. Il était
également, et ce n’est pas un hasard, conseiller de la Fondation Bill et Melinda
Gates ainsi que de la Fondation Clinton.
[…]
Au fur et
à mesure que Hill rassemblait ses données, il était de plus en plus
impressionné par ce qu’il découvrait. Il a fait une présentation au NIH avec d’autres
défenseurs de l’ivermectine et s’est prononcé en faveur de son utilisation. Le
29 décembre 2020, il a écrit sur Twitter que « l’ivermectine montre des
effets sur l’élimination virale, l’hospitalisation et la survie dans un large
éventail d’essais randomisés dans différents pays ». Il a même admis que
si son frère de 58 ans contractait le COVID, il lui donnerait de l’ivermectine.
Il a dit
aux médecins de première ligne avec lesquels il avait collaboré jusqu’à
présent, qui avaient eux-mêmes sauvé des milliers de vies en utilisant l’ivermectine,
que son rapport était presque prêt. Ils attendaient sa sortie avec impatience.
Et ils n’étaient pas les seuls.
Big
Pharma regardait aussi. Ils avaient développé une thérapie génique expérimentale pour traiter le COVID. Mais ce ‘vaccin’ – comme ils
ont pris soin de l’appeler – ne pourrait pas être approuvé par la FDA s’il
existait un médicament thérapeutique efficace et disponible. Si l’OMS disait
que l’ivermectine était sûre et efficace, ils risquaient de perdre des
centaines de milliards de dollars de ventes.
Le
rapport du Dr Hill, à sa sortie le 18 janvier 2021, regorgeait de preuves que
ce médicament bon marché et largement disponible était l’arme dont l’humanité
avait besoin pour vaincre le COVID. Mais au lieu d’arriver à la conclusion
évidente, il a remarqué : « L’ivermectine devrait être validée dans des
essais randomisés contrôlés de manière appropriée avant que les résultats ne
soient suffisants pour être examinés par les autorités réglementaires. »
[…]
Pourquoi
Hill a-t-il effectivement tué le médicament thérapeutique le plus prometteur
pour traiter le Covid ? Qui lui était-il arrivé ? Qui lui avait
imposé cette conclusion déchirante ?
Le Dr
Tess Lawrie a maintenant répondu à
cette question. Dans une brillante vidéo de 18 minutes (également disponible
sur Rumble),
elle raconte ses interactions avec Andrew Hill, y compris la vidéo d’un dernier
appel Zoom dans lequel elle le supplie de réécrire la conclusion de son article
et de sauver des vies : « Déclarez votre soutien pour l’ivermectine
», plaide-t-elle. « Vous savez que la science le soutient. Nous pouvons sauver
des vies. Les gens meurent inutilement. »
Le Dr
Hill hésite et finalement – avec la culpabilité écrite sur son visage – dit qu’il
se prononcera en faveur de l’ivermectine « dans six semaines. … Je fais
tout ce que je peux. »
Le Dr
Lawrie répond : « Vous ne faites pas tout ce que vous pouvez. Faire tout ce que
vous pouvez impliquerait de dire à ceux qui vous paient : « Je ne vais pas défendre
ce que vous voulez ».
Hill ne s’est
pas prononcé en faveur de l’ivermectine, ni six semaines plus tard, ni jamais.
Au lieu de cela, il est devenu complètement anti-ivermectine. Le 1er octobre
2021, on le retrouve sur Twitter annonçant une conférence qu’il devait donner.
Il s’intitulait « Effets de la partialité et de la fraude médicale
potentielle dans la promotion de l’ivermectine ». La trahison était
complète.
Alors,
qui étaient « ces gens », comme les appelle le Dr Lawrie, qui payaient Hill ?
Elle lui demande à plusieurs reprises de lui dire qui l’a poussé à modifier sa
conclusion. Encore et encore, Hill tergiverse, lui disant qu’il est dans
"une situation délicate". Il admet finalement, tout en détournant les
yeux de la caméra avec embarras, que "Unitaid" a participé à la
révision de son article.
Unitaid
se trouve être l’ONG très liée à la santé qui a aidé à parrainer la
méta-analyse de Hill en premier lieu. Ses payeurs, si vous voulez.
Et
Unitaid est une grosse affaire : affilié à l’Organisation mondiale de la
santé, il a accordé des milliards de dollars de subventions de recherche depuis
sa création en 2006. Et le 12 janvier 2021, quelques jours seulement
avant qu’Andrew Hill ne torpille l’ivermectine, Unitaid a accordé une autre
subvention. Il a débloqué 40 millions de dollars de financement à l’autre payeur du Dr Hill, l’Université de
Liverpool, pour un "centre pour les médicaments à longue durée d’action".
Cela n’a guère besoin de
commentaire. L’ivermectine, comme sans doute l’hydroxychloroquine et d’autres
médicaments efficaces contre le Covid, a été rejeté CONTRE l’avis scientifique
pour une basse question de gros sous.
Ces deux questions exigent
réparation. On ne peut pas tourner la page sans cela. Qui pourrait ne pas être
d’accord là-dessus ?
2. Les effets de la « vaccination »
Même dans les pays où on enlève
les restrictions on continue à « vacciner ». Les pass vaccinaux sont
seulement suspendus, prêts à être réintroduits. Les législations sont adaptées
pour être mieux à même de museler la liberté des gens comme au
Royaume uni. Les morts et les malades pour cause de
« vaccination » continuent à se multiplier dans la plus grande
discrétion médiatique. Voici un
long article d’origine allemande où l’auteur cite cas après cas qui lui ont
été communiqués d’un peu partout. Je n’en citerai qu’un seul :
Mon père
de 90 ans a reçu son rappel début janvier de cette année (Moderna). Il est
assez fragile, souffre de démence modérée et est diabétique de type 2. Dans les
3 semaines suivant le rappel, il ne pouvait plus marcher et a commencé à
devenir agité et agressif envers ma mère de 90 ans (également boostée). Il est
allé à l’hôpital et après le troisième jour, il a contracté omicron. Il est
décédé 7 jours plus tard. Ma mère a été autorisée à visiter. Elle a eu un léger
mal de gorge, mais sinon, elle allait bien pendant les funérailles. Aucun autre
membre de la famille n’a été autorisé à le voir à cause des règles ridicules.
Il est mort seul tard dans la soirée car ma mère devait rentrer à la maison
pour se reposer. Elle a 90 ans après tout.
Voici un rapport
intermédiaire d’un médecin généraliste américain issu de ses propres
observations. A quoi faudra-t-il s’attendre dans les mois et années qui
suivent ? Personne ne le sait. Mais ces effets délétères ne vont pas s’en
aller d’eux-mêmes. L’attaque frontale contre le corps humain que représentent
les « vaccins » pourrait avoir des conséquences à long terme
extrêmement graves. Les statistiques de la surmortalité
(voir
aussi ici), les rapports des centres
funéraires (et
ici) comme des assurances
ont de quoi inquiéter.
Ajoutons à cela les obligations
de se faire « vacciner » dans plusieurs endroits ou pour plusieurs
professions, sans aucun bénéfice, puisque ces obligations tombent les unes
après les autres. Sans bénéfice, mais avec combien de dommages pour la santé
des concernés ?
3. La mort de l’intégrité scientifique
Masques, distanciation et
confinements ont été appliqués religieusement sans aucun réel fondement
scientifique et souvent en contresens de la science.
Pour les masques, il a été
prouvé qu’ils font plus de tort que de bien. Il est démontré que la plupart des
masques utilisés ne donnaient aucune protection contre le virus. Cela était
même imprimé en toutes lettres sur les boîtes de masques chirurgicaux. Dans
l’article déjà cité, j’avais consacré une section à ce problème en
fournissant les références. Imposer le masque est donc une mesure fantaisiste
dont le seul but semble être d’instiller et d’entretenir la peur. Quant à l’obligation
du masque pour les enfants, il faudrait parler d’un acte criminel. Non
seulement les masques ne protègent personne, mais les enfants ne sont guère
atteints du Covid. Par contre, les priver de l’oxygène indispensable laissera
des traces. Il faut y ajouter le ridicule et l’incohérence des mesures – masque
quand on est debout, dispense quand on est assis etc. Et la science en tout
cela ?
Pour la distanciation, quelle
est la distance prouvée par la science qui permet de se sauvegarder des gouttelettes
expirées peut-être chargées de virus ? Il n’y a jamais eu de réponse définitive
à cette question et différents pays prescrivent différentes distances. J’ai lu
l’opinion d’un professeur japonais qui parlait de 30m (à l’intérieur, bien sûr –
distanciation et masque à l’extérieur ne font que souligner l’absence de toute
science).
Parlant de gouttelettes. Si le
danger de contagion par ce biais était si réel et si donc la bouche était un
vrai milieu de culture du virus, pourquoi doit-on pousser un écouvillon au fond
du nez, dans un endroit à risque physique afin de faire un test ? Et
pourquoi a-t-on continué des tests PCR après que la science avait démontré que
leur fiabilité était quasi zéro ?
Et les confinements ? On a démontré
leur inutilité en comparant les
régions ou les pays qui l’ont introduit avec ceux qui ne l’ont jamais
appliqué. Les confinements n’ont pas réussi à ralentir la pandémie, mais ils
ont réussi à détruire nos pays et à créer un sentiment de panique. Autrement
dit, là encore, nous avons été manipulés.
Tout en
faisant croire que les mesures étaient fondées sur la science, la réalité
était tout autre.
Steve
Kirsch vient de publier un
article avec ce même titre (« Scientific
integrity is dead. Here’s proof. ») en parlant d’autres évidences du même
mal scientifique.
4. L’invisibilité des églises
Quand les églises ont-elles levé
la voix contre les mesures tyranniques prises en ces deux années de Covid ?
Jamais. Elles ont suivi le mouvement comme de vrais moutons. Aucune remise en
question, aucune protestation. Les masques ont fleuris partout et la politique
de « vaccination » a été largement suivie sans commentaire. Et si on
avait exigé le pass vaccinal pour pouvoir assister aux offices, la majorité
parmi elles aurait probablement appliqué la mesure sans poser de questions. Au
lieu d’être la conscience des nations, elles se sont cachées derrière la
soumission obligatoire aux autorités, exactement comme l’avaient fait la
plupart des églises sous l’occupation nazie. Elles ont refusé toute opposition
officielle au récit imposé par l’Etat. Elles ont préféré se cantonner à des
questions « plus spirituelles. » Ont-elles ainsi trahi leurs membres ?
5. Ceux qui veulent redessiner le monde
Ces deux années de Covid n’ont
pas été perdues pour tout le monde. Certains se sont enrichis démesurément. Une
partie des richesses de nos pays a été transférée dans les poches de certaines
entreprises et de leurs responsables. Je n’ai même pas besoin de les citer, nous
les connaissons.
Il faut aussi garder en mémoire
que certaines personnes ont eu une influence hors du commun en cette période et
au-delà. Le Forum économique mondial (WEF) et son président-fondateur, Klaus
Schwab, ont été à la tête d’un mouvement d’une très grande ampleur. Un livre
est devenu le symbole de son objectif : The
great reset, La grande réinitialisation.
Le Great Reset. Le
WEF a organisé dès 1993 une formation pour leaders mondiaux. La
liste de ceux qui ont suivi cette formation est assez impressionnante. 1.400
personnes influentes, dont beaucoup de chefs d’état et de ministres se trouvent
sur cette liste. Voici comment le WEF présente ce groupe :
La
communauté Young Global Leaders® est un accélérateur pour une communauté
dynamique de personnes exceptionnelles avec la vision, le courage et l’influence
nécessaires pour conduire un changement positif dans le monde.
Notre
adhésion croissante de plus de 1.400 membres et anciens élèves de 120
nationalités comprend des innovateurs civiques et commerciaux, des
entrepreneurs, des pionniers de la technologie, des éducateurs, des militants,
des artistes, des journalistes, etc.
Conformément
à la mission du Forum économique mondial, nous cherchons à favoriser la coopération
public-privé dans l’intérêt public mondial. Nous sommes unis par la conviction
que les problèmes urgents d’aujourd’hui offrent une opportunité de construire
un avenir meilleur à travers les secteurs et les frontières.
Le but du great reset est
de redessiner le monde. Klaus
Schwab : « La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare
mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde ».
Nous devons « build back better », reconstruire en mieux. Un des
meilleurs exemples de ce que cela implique est de regarder à l’œuvre deux des
grandes lumières du WEF, Justin Trudeau et son ministre des finances, Christia
Freeland (qui porte plutôt mal son nom de famille). Les deux sont des anciens
étudiants des Young Global Leaders.
En réaction
au convoi des truckers, le gouvernement canadien a fait voter une Loi d’urgence :
La loi a
été invoquée pour permettre au gouvernement de disperser physiquement le convoi
de camionneurs sans réellement écouter leur plainte, et pour punir quiconque a
soutenu la manifestation.
En vertu
de la loi, les banques sont habilitées à saisir les comptes bancaires
personnels de toute personne soupçonnée d’avoir participé à la manifestation ou
de la soutenir avec aussi peu qu’un don de 25 dollars. Fait troublant, les
pouvoirs de surveillance des transactions financières accordés par la loi sont
en fait destinés à devenir permanents.
… En
invoquant la Loi, Trudeau s’est donné le pouvoir unilatéral de détruire la vie
des Canadiens qui ne sont pas d’accord avec lui, quel que soit le problème en
cause.
Sans
ordonnance du tribunal ni procédure régulière, le gouvernement peut désormais
geler des comptes bancaires, annuler des polices d’assurance et révoquer des
permis de conduire, et les victimes n’ont aucun recours ni remède.
Un peu plus loin, le
même article dit :
Ce qui se
passe au Canada devrait être un signal d’alarme qui donne à réfléchir au monde
entier. Ils nous montrent exactement ce qui nous attend tous. Les gouvernements
contrôleront essentiellement la dissidence par la tyrannie financière et le
chantage.
La
prochaine étape dans cette direction est la mise en œuvre de monnaies
numériques programmables dans le monde entier. Comme l’a rapporté The Telegraph en juin 2021, la Banque d’Angleterre
a déjà commencé à adopter une monnaie numérique de banque centrale programmable
(CBDC), et il ne fait aucun doute que c’est le plan de toutes les banques
centrales du monde.
[…]
Qu’entend-on
par monnaie "programmable" ? Comme l’explique The Telegraph, « l’argent
numérique pourrait être programmé pour s’assurer qu’il n’est dépensé que pour
des biens essentiels ou des biens qu’un employeur ou un gouvernement juge
raisonnables ». En d’autres termes, l’émetteur de l’argent aurait un
contrôle total sur la façon dont vous, le destinataire, le dépensez.
« Tom
Mutton, directeur de la Banque d’Angleterre, a déclaré lors d’une conférence...
que la programmation pourrait devenir une caractéristique clé de toute future
monnaie numérique de la banque centrale... », a rapporté The Telegraph.
« Il a
dit… que se passe-t-il si l’un des participants à une transaction impose une
restriction sur [l’utilisation future de l’argent] ? Il pourrait en résulter
des résultats socialement bénéfiques, empêchant une activité considérée comme
socialement nuisible d’une manière ou d’une autre. Mais en même temps, cela
pourrait être une restriction des libertés des gens. »
La liberté individuelle opposée
au contrôle des élites. [2]
Y a-t-il vraiment l’annonce d’un monde heureux et paisible, comme l’assure le
WEF dans sa communication ?
Le même genre de contrôle totalitaire
est planifié pour les soins de santé – sous la responsabilité de l’OMS – et pour
l’alimentation mondiale. L’OMS veut un traité pandémique qui lui donnera ce
contrôle.
Dans un
article sur le sujet, le docteur R. Verkerk, président de l’Alliance for Health International, jette un coup d’œil critique sur ce
projet.
L’OMS l’a
fait [démarrer un processus global pour renforcer la prévention pandémique] à l’unanimité
de ses 194 pays membres lors de sa deuxième
session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé depuis la
création de l’OMS en 1948, le 1er décembre 2021.
La
réalité est que la forme précise de l’instrument qui sera utilisé est encore
indécise. Cela peut passer par le renforcement du Règlement sanitaire
international existant (2005), la négociation d’un «traité pandémique» en tant
qu’amendement à la Constitution de l’OMS ou, plus probablement, les deux.
Le
contrôle sera délégué à ces instruments au cas où l’OMS déclarerait une
pandémie mondiale. Comme nous l’avons vu, cela peut être fait assez facilement –
même s’il ne semble y avoir aucune justification scientifique ou médicale – la situation
même dans laquelle nous nous trouvons actuellement.
Il y a un
large soutien de membres puissants de l’OMS, y compris les États-Unis et la
Commission européenne, par l’intermédiaire de la présidente Ursula von der
Leyen.
L’article consiste d’un
entretien imaginaire où l’auteur répond systématiquement aux affirmations du
chef de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Cela se concentre entre autres sur une
présentation faussée des faits autour du variant Omicron et de la vaccination.
Une citation :
Affirmation :
Plus l’inégalité des vaccins persiste, plus ce virus a de chances de se
propager et d’évoluer d’une manière que nous ne pouvons ni prévoir ni prévenir.
Réponse :
Il n’y a aucune preuve à l’appui de cette affirmation. Il existe cependant de
nombreuses preuves pour étayer l’opinion selon laquelle plus longtemps les
mesures sont prises pour éviter que les populations développent une immunité
naturelle (par exemple, les confinements, l’isolement social, la distanciation
sociale) et plus les interventions, telles que les injections de COVID-19,
perturbent la capacité de notre système immunitaire à développer cette immunité
durable et robuste, plus le virus a de chances de se propager.
Et un peu plus loin :
Si le
traité sur la pandémie devait entrer en vigueur en 2024, vous pouvez garantir
une surveillance sanitaire mondiale encore plus élevée en utilisant le séquençage en temps réel
pour le diagnostic et l’épidémiologie. Celle-ci reposerait sur des technologies
de plus en plus portables avec des délais d’exécution de plus en plus rapides.
Mais ne
pensez pas seulement aux injections d’ARNm ou aux intranasales. Ou à des
technologies d’édition de gènes basées sur CRISPR
pour le diagnostic. Pensez que CRISPR pour
améliorer la réponse immunitaire prendra probablement une place de choix. C’est
une facette du transhumanisme,
tout comme la surveillance
numérique.
Pour
reprendre les
mots de Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial, il y aura d’autres
tentatives pour fusionner « les mondes physique, numérique et biologique,
impactant toutes les disciplines, économies et industries, et même remettant en
question les idées sur ce que signifie être humain. »
Ukraine. Y a-t-il un lien
entre les deux années de Covid (et tout ce qui a préparé ces années) et la
guerre en Ukraine ? Pour beaucoup, la suggestion même prête à rire. Cependant,
notez ceci :
Après deux années de matraquage
médiatique pendant lesquelles on a systématiquement noirci tous ceux qui ont
osé exprimer leur opposition aux thèses « officielles » – pensez aux
professeurs Raoult et Montaigner – nous avons basculé pratiquement du jour au
lendemain dans un même matraquage médiatique avec un nouvel ennemi et un nouvel
ami. Mais, comme dans l’épisode précédente, tout est en noir et blanc. Il n’y a
de place pour aucune nuance.
Rien n’est dit sur les racines
du conflit qui se trouvent être la politique de l’OTAN. Dans un article
précédent, j’avais cité l’étude
fouillée à ce sujet par Olivier Berruyer. Pourquoi ce silence assourdissant ?
Le but n’est aucunement d’excuser le président Poutine. La guerre, toute
guerre, est une horreur. Autant le bombardement de la Lybie par les avions de l’OTAN
que le bombardement de l’Ukraine actuel. Mais si l’OTAN a sciemment préparé
cette guerre, pourquoi n’en parle-t-on jamais ?
Pourquoi ne dit-on rien sur les
liens qui relient le président ukrainien à Klaus Schwab et à Justin Trudeau ?
Cet
article a levé le voile sur ces liens. L’auteur remarque avec justesse :
Alors que
beaucoup sont sceptiques à l’égard du président russe Vladimir Poutine et de
ses anciens liens avec le KGB, l’examen de l’autre côté du conflit semble
absent dans les médias grand public, ce qui en a inquiété beaucoup compte tenu
de la nature radicale du WEF et de ses objectifs de grande réinitialisation.
Y avait-il un besoin de guerre
pour avancer la politique du Grand Reset ? N’est-il pas inquiétant que l’on
devrait au moins se poser la question ? L’auteur suivant a écrit deux
articles autour
de cette question qui méritent réflexion. Juste une citation du premier de
ces deux articles :
Comme je
l’ai dit, je ne vais pas défendre les actions de la Russie. À l’heure actuelle,
je n’ai pas vu suffisamment de preuves pour me faire croire que Vladimir
Poutine travaille à partir d’une prémisse juste. Si je devais mettre des cotes
sur les motivations probables qui l’animent en ce moment, je dirais que c’est
50-50. Il y a une chance qu’il fasse ce qu’il croit être le mieux pour sa
nation en éliminant les armes et les laboratoires biologiques à sa frontière
tout en aidant à unifier une autre partie de l’ex-Union soviétique. Il y a une
chance égale qu’il ne soit qu’un autre leader mondial marionnette du Forum
économique mondial et de Klaus Schwab [3], faisant sa part pour mettre en marche l’étape 2 du
plan The Great Reset.
Ces
chances sont meilleures que ce que je ressens à propos des motivations de Zelensky.
Je dirais qu’il y a 90% de chances qu’il soit une autre marionnette de
Soros-Schwab participant à la quatrième révolution industrielle et 10% de
chances qu’il soit juste un leader mondial dans un pays brisé qui n’a pas eu la
prévoyance de garder son pays neutre pour ne pas devenir une cible de la
Russie.
Du complotisme ?
Pour certains lecteurs, tout
ceci n’est que complotisme. Laissez-moi vous surprendre : Vous avez raison !
Oui, cet article maintient qu’il y a un complot. Vous voyez, ce n’est guère
possible d’attribuer tout ce qui se passe à de simples coïncidences.
- - Le travail de haute précision pour rendre plus virulent un virus : une coïncidence ?
- L’interdiction des moyens existants pour guérir du Covid : une coïncidence ?
- Le comptage bidon des morts Covid : une coïncidence ?
- L’unanimité absolue des média pour exclure toute autre explication : une coïncidence ?
- La constitution intentionnelle du réseau WEF dans les plus hautes sphères politiques et économiques : une coïncidence ?
- L’unanimité absolue des média autour de la guerre en Ukraine : une coïncidence ?
- …
Cela en fait quand même un peu
beaucoup ! Et c’est loin d’être tout. Dans l’article déjà cité de J.
Mercola, “Technocrats behind the Great Reset
are pushing ahead with digital IDs”, l’auteur parle des
efforts du WEF de créer une identité digitale. Il cite le
commentaire suivant de Tim Hinchliffe dans The Sociable :
« L’identité
englobe tout ce qui vous rend unique, note Hinchliffe, et votre identité est ce
qui intéresse vraiment le WEF. Sortez des sentiers battus et chaque interaction
sur les réseaux sociaux à laquelle vous participez, chaque centime que vous
échangez et chaque mouvement que vous faites pourra être utilisé contre vous. »
En effet,
avoir accès à l’identité numérique de chacun est la clé d’une manipulation et d’un
contrôle réussis de la population mondiale. Écrivant pour Coin Telegraph,
le hacker et directeur technique Trent Lipinski a également souligné que :
« Avec
quelques ajustements de code, la blockchain peut être corrompue par des
autoritaires pour construire des systèmes d’asservissement du crédit social. Si
les gouvernements du monde légifèrent sur la technologie de cryptage à leurs
propres fins et pervertissent les mécanismes de consensus pour leurs propres
systèmes d’asservissement centralisés, nous nous retrouverons avec des monnaies
numériques qui pourront être utilisées contre les peuples du monde. »
Serions-nous vraiment plus
heureux une fois que nous serons soumis à un système de crédit social comme
pratiqué aujourd’hui en Chine ? Hinchliffe écrit encore : « Le
grand reset n’est pas un mandat du peuple – C’est une idéologie fabriquée
concoctée par un groupe de mondialistes non élus essayant d’influencer les
«parties prenantes (stakeholders)» pour créer une nouvelle économie et une
nouvelle structure sociale à partir de la destruction de l’ancienne… Mais le
sort de la société devrait-elle être mandaté par l’élite de Davos ? »
Mercola ajoute :
Ils ne se
soucient pas de ce que vous voulez, car pour eux, vous n’êtes même pas humain. Eux,
ils sont humains; vous n’êtes qu’une marchandise, et ils ont compris
comment tirer profit de chaque mouvement que vous faites, et plus encore.
Toutes
ces discussions sur le bien commun, la justice et l’équité, ce n’est que de la
pub. L’idée de justice et d’équité des technocrates est que tout le monde soit
au même niveau de dénuement. Comme l’a déclaré le WEF, "d’ici 2030, vous
ne posséderez rien". Qui alors possédera tout ? Eux.
Que faire pour résister contre
ce qu’on est en train de mettre en place ? Rob Verkerk, dans l’article
déjà cité, suggère cinq choses que nous pouvons faire :
1. 1.
Évitez de participer à des programmes d’injection
de masse (voir article
séparé sur les ingrédients potentiellement non divulgués) qui n’ont pas
tenu leurs promesses et causent maintenant plus de mal que de bien. Cela s’applique
particulièrement à l’injection massive d’enfants qui dépendent beaucoup plus de
l’immunité innée
qui est érodée
par les injections COVID.
2. 2. Utilisez votre droit de vote pour élire des
représentants aux niveaux local et national qui soutiennent les libertés
fondamentales et s’opposent aux restrictions inutiles des libertés.
3. 3. Soutenez les efforts de ceux qui, dans d’autres
pays, s’opposent aux restrictions inutiles des libertés, comme les convois de
camionneurs, les manifestations contre les obligations masques et de vaccins
etc..
4. 4. Alors que les négociations pour un "traité
pandémique" s’accélèrent, engagez-vous dans les nombreuses campagnes (y
compris la nôtre) qui se développeront pour attirer l’attention sur ses erreurs
et sur la nécessité d’une opposition politique solide.
5. 5. Aidez les autres à comprendre la base imparfaite
sur laquelle un «traité pandémique» a été construit en partageant cet article
aussi largement que possible.
Ne restons pas passifs. Informons-nous.
Unissons-nous. Et prions. N’oublions pas ce que dit la Parole de Dieu : « …
celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. »
(1Jean 4.4)
[1] Beaucoup de ces sources sont en anglais. Comme il n’est
pas possible de tout traduire in extenso, je résumerai. Vous pourrez traduire
vous-même avec les traducteurs disponibles gratuitement sur internet.
[2] Le Canadian Freedom Convoy et l’invocation de la Loi
sur les mesures d’urgence par le premier ministre Justin Trudeau ont offert un
rare aperçu du pouvoir qu’ils veulent sur vos finances. Ils veulent être en
mesure d’isoler chaque personne qui contribue à une cause anti-establishment,
même si ce n’est que quelques maigres dollars, et de saisir tout ce que vous
avez en guise de représailles. Trudeau a dû invoquer des pouvoirs d’urgence
extraordinaires pour ce faire.
À l’avenir, la cabale au pouvoir veut pouvoir le faire automatiquement
et en continu. Ne vous y trompez pas, la numérisation de votre identité et de
vos finances signifie qu’ils auront le pouvoir d’étrangler vos finances si vous
vous conduisez mal. Dans le pire des cas, ils auront le pouvoir de vous
transformer en une non-entité, vous excluant complètement de vos informations d’identification.
(J.
Mercola, “Technocrats
behind the Great Reset are pushing ahead with digital IDs”)
[3] Voir cet article sur le site du WEF : https://www.weforum.org/press/2021/10/russia-joins-centre-for-the-fourth-industrial-revolution-network/
[EE]